dimanche 23 septembre 2018

RÉALITÉ

Ou comment la réalité structurelle de nos sociétés modernes montrent ses failles face aux éléments naturels. Sous entendant ce que je dis souvent concernant le changement climatique. Des phénomènes plus conséquents, violents, que nos infrastructures ne sont plus adaptées pour les affronter. Et les côtes américaines de Carolines démontrent encore une fois de plus, la fragilité d'infrastructures par rapport aux risques connus des lieux. Mais dont ni les pouvoirs publics, ni l'état fédéral tente d'y remédier. L'architecture peu coûteuse du carton patte, commence a montré sa limite, quand des gens ne peuvent pas payer des assurances trop cher, trop coûteuses, par rapport aux niveaux de risques connus de certaines régions. Alors que dire, concernant les agriculteurs et éleveurs qui eux aussi, vont avoir des difficultés a redresser la barre, surtout pour les petites exploitations.


NDL : aux USA, il n'y a pas réellement d'obligation ou de réglementation qui oblige certains types de constructions dans des zones à risques naturels. Il y a des recommandations, qui sont souvent renforcé par des normes souvent liées a des assurances. Mais l'américain a la liberté de ne pas appliqué ces normes, au risque, un jour, de devoir tous perdre, par manque de moyen a assumer un "rêve" qui tourne au cauchemar. Et c'est le cas souvent de gens qui vivent dans des conditions de rêve, dans des endroits de rêve, mais extrêmement fragilisé en cas de phénomène naturel dévastateur, ou ils finissent par tout perdre. Et souvent parce que leurs rêves à un prix, ils ne sont pas assuré pour des phénomènes naturels qui sont très cher en option, auprès des assurances. Raison souvent pour laquelle, l'état fédéral est obliger plus ou moins de mettre la main à la poche, pour ne pas laisser des américains finir à la rue, parce que ayant évidemment tout perdu (perte des biens, maisons, voitures, et de ce fait, peuvent aussi perdre leurs travails car ne pouvant plus se loger, ni se déplacer, du fait parfois d'être obliger d'avancé les frais, même quant ils sont assurés).


http://lesakerfrancophone.fr/lamentation

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