PIRE

On le sait, la crise financière de 2008, n'a pas été suffisante pour donner les leçons. Et les marchés, la finances, les banques, n'ont eut de fait que de tous faire pour influencer, contrôler, dicter leurs ordres aux régulateurs, aux états, aux politiciens, pour que rien ne se passe. Au point que dans le soucis de vouloir toujours gagner plus, le système a jouer des coudes pour préservé son existence. Quitte même a laisser les banques se bouffer entre elles, ou laisser des influences rediriger les institutions de surveillances vers de vilains petits tricheurs, qu'on était pourtant bien content de trouver le moment venu, pour faire de la gagne à haut risque. Mais comme toutes choses a ses limites, cela fait depuis quelques années que les indices tentent a nous démontrer qu'on va vers un tsunami financiers. Mais a chaque fois qu'on se fait peur avec des marchés instables, à la baisse, ou en panique, l'intérêt de tous est de calmer le jeu, tirer au mieux les gains qu'on peu tirer, et redéfinir les marchés pour ne pas se retrouver dans un champs de mines. Mais pour combien de temps, les bidouilles, les bricolages, les arrangements tiendront ils ? L'agressivité notoire qui s'exprime de plus en plus, va t-elle finir par mettre le feu aux poudres quelque part ? Jacques Sapir nous donne son point de vue sur la question.