Le droit international, au nom de qui ? Car en laissant l'ONU soustraire leurs souverainetés à l'Irak et la Syrie, afin de permettre a chacun d'aller y faire leur guerre, sans même demander leurs avis aux principaux concernés, on se dit qu'on ne doit pas parler de la même idée du droit international.
Parlons plutôt de gendarmes du monde, qui veulent construire un monde unipolaire, sous l'autorité des mêmes qui autrefois, se sont partager la planète sous les statuts de colonies, de comptoirs, ou d'occupations. L'ONU est en train de prendre la voie de la SN, la fameuse Société des Nations qui s'était très vite fissurée dés les années 20; lorsque les conflits d'intérêts ont commencer a torpiller les souhait de paix et d'ententes (en plus d'un Traité de Versailles qui avait mis à genoux les perdants de la première guerre).
Alors évidemment, quant on entend Macron, çà résonne comme un vieux discours érodé qui cherche a asseoir la légitimité de se monde occidentale, comme maître des clés de la paix mondiale.
Macron a tapé à plusieurs reprises du poing sur le pupitre lors de son discours à l'ONU : « Nous sommes en train aujourd'hui de voir se déliter ce droit international [...] Non, moi je ne m'y résous pas ! »— Olivier Berruyer (@OBerruyer) September 25, 2018
Dommage donc qu'il l'ait violé en bombardant la Syrie avec Trump en avril pic.twitter.com/v7yYDC7caz
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire