Texte au vitriole à l'encontre des artistes de premier plan, qui semblent ne pas trop s'impliquer dans un soutient envers le peuple, qui pourtant, sont ceux qui les font vivre. L'affaire Dubosc aura été révélatrice de l’ambiguïté de ceux qui font pleuré dans les chaumières pour allé chercher la compassion et la charité, mais qui en réalité sont aussi acteurs d'un système contre lequel ils ne peuvent pas s'opposer, du fait qu'ils les subventionnes. C'est un peu comme les acteurs d'Hollywood, qui sur certains sujets, ne doivent pas s'exprimer outre mesure, car sinon, se retrouvent black listés.
Mais en France, certains d'entre eux sont aujourd'hui les pieds aux murs, du fait que leurs carrières dépend justement de ces gilets jaunes, dont ils ne peuvent ni soutenir, ni promouvoir le mouvement, au risque de ce mettre à dos le système, qui les subventionne, ou tous du moins les producteurs qui les font travailler. Le pire, sera sans doute pour ceux qui nous ont donner des leçons de morale, mais dont les français sauront se souvenir de leurs noms, comme étant des gens qui ont fait un choix. Celui de protéger leurs intérêts, leurs avantages, leurs privilèges.
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