On le dit souvent, l'un des indicateurs d'une santé économique, c'est la pierre, autant dire, l'immobilier. Mais depuis des années, le marché jongle entre offres, besoins, et..... spéculation. On ne reviendra pas sur le marché américain qui est nettement sur évaluer mais en ce qui concerne la France, on le sait, du, logement, il y en a. Seul problème, c'est qu'il est de moins en moins accessible pour les revenus modestes, et encore moins pour ceux qui n'ont pas le sou pour même se payer des locations aux loyers toujours plus chers, et toujours plus contraignants. Mais à force de spéculé à la hausse, il arrive un moment ou l'offre ne s'adapte que partiellement à une demande. Car si Paris reste évidemment attractif, il y aura un moment ou la proportion de gens qui auront les moyens d'y vivre se réduira, du fait de la disparition de une ou deux générations de rentiers, qui en général, n'ont pas d'héritier suffisamment fortuné pour se permettre du 200m2 en plein la capitale.
Mais l'année 2018 a donner un signe de faiblesse qui n'est pas anodin. Le neuf commence a prendre l'eau, et on commence aussi a voir de l'intérêt à rénover ou restaurer de l'ancien. Signe que l'on cherche une valeur sur l'ancien, plutôt que construire du neuf. Ce qui n'arrange en rien la demande plus particulièrement HLM, qui dépérit.
https://insolentiae.com/quand-le-batiment-va-tout-va-mais-la-il-ne-va-pas-bien-du-tout/
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