Un article du Pr Lluis Lujan consacré à l’aluminium vaccinal chez le mouton a fait l’objet d’une censure scandaleuse, qui ne repose sur aucune base scientifique. L’omerta sur le rôle joué par l’aluminium utilisé comme adjuvant vaccinal dans la survenue de pathologies diverses se poursuit.
Les faits
Un article intitulé « Cognition et comportement chez le mouton vacciné (de manière répétée) avec des vaccins contenant un adjuvant d’aluminium ou avec un adjuvant d’aluminium seul », dont l’auteur correspondant est le Pr Lluis Lujan (Vétérinaire – Université de Saragosse – Espagne), a été accepté et publié en ligne dans Pharmacological Research (Elsevier) le 3 novembre 2018.
Le 11 janvier 2019, Lluis Lujan reçoit un courrier électronique de l’éditeur qui avait accepté le document (E. Clementi, Université de Milan). L’éditeur fait part à Lluis Lujan de son inquiétude après avoir reçu des questionnements anonymes, et il demande à Lluis Lujan une réponse urgente ainsi que toutes les data brutes. A défaut, il retirera l’article. Il invite aussi Lluis Lujan à le retirer de lui-même. Bien que choqué par la démarche, Lluis Lujan répond rapidement à ces questionnements qu’il juge sans fondement scientifique sérieux.
Après avoir reçu cette réponse de Lluis Lujan, E. Clementi fait appel à un expert en statistiques (Elia Biganzoli – Université de Milan) pour en « analyser le contenu ». E. Biganzoli décide d’effectuer un nouvel examen du texte original, sans tenir compte du questionnement anonyme et des réponses apportées par Lluis Lujan.
E. Biganzoli fait quelques observations et mentionne comme principal problème de l’article le fait qu’il ne fait pas référence à des écrits de David Hawkes (Virologue – VCS foundation, ( http://tinyurl.com/y3rgkk2p ) organisation fortement impliquée dans la vaccination HPV en Australie depuis 2008), mais recommande de publier le document tel quel.
E. Clementi avertit alors Lluis Lujan qu’il va retirer la publication, sur la base de certaines des « observations » faites par E. Biganzoli, et sans tenir compte de la conclusion principale de E. Biganzoli. Lluis Lujan réagit immédiatement, montrant que pas une seule observation d’E. Biganzoli n’est scientifiquement valable, et qu’il maintient son article sans modification.
Le document est finalement retiré le 8 mars par E. Clementi.
Cette décision de E. Clementi n’a aucune base scientifique. Le rôle joué par la déléguée d’Elsevier (A.M. Pordon) est tout aussi scandaleux. Elle soutient pleinement cette inconduite scientifique en essayant de justifier l’injustifiable. La décision de retirer l’article avait probablement déjà été prise (entre elle et E. Clementi) avant le premier contact avec Lluis Lujan.
Les preuves de ce qui est écrit ci-dessus sont dans un exposé de Lluis Lujan, disponible sur demande.
Les responsables de cette censure
1) Emilio Clementi – Editor, Pharmacological Research. Professor at the University of Milan.
2) Anne Marie Pordon – Publisher of Pharmacology and Pharmaceutical Sciences titles for Elsevier.
Inconduite scientifique : ils ont tous les deux décidé de retirer le document sans aucune raison scientifique. Eux seuls en connaissent les raisons. Ils doivent donner les explications qu’ils ont refusées de donner à Lluis Lujan.
Complice :
1) Elia Biganzoli – Department of Clinical Sciences and Community Health. University of Milano.
Inconduite scientifique : complice nécessaire d’un examen statistique factice et biaisé, soulignant des « limites » qu’il est le seul à voir. Il doit expliquer la raison de ses actes.
Ghost Ship Media (organe de presse indépendant qui propose un journalisme d’investigation et une analyse approfondie de l’actualité médicale) a publié un article intitulé « Anatomie d’une censure d’étude scientifique ».
Les commentaires d’E3M
L’Omerta sur le rôle joué par l’aluminium utilisé comme adjuvant vaccinal dans la survenue de pathologies diverses (syndrome de fatigue chronique – encéphalomyélite myalgique, troubles du spectre autistique, hyperactivité chez l’enfant…) se poursuit.
Les autorités de santé refusent de financer les recherches, tant en France qu’au Royaume-Uni par exemple, malgré les alertes fortes émanant de scientifiques sérieux, honnêtes et indépendants de l’industrie pharmaceutique. Des éditeurs censurent des articles, refusant ainsi tout débat scientifique, comme nous le voyons aujourd’hui. Certains médias relayent des accusations de fake news concernant la dangerosité de l’adjuvant aluminium, au mépris de la vérité scientifique.
Alors, nous rappelons les propos qui suivent :
• Dominique Martin (Directeur Général ANSM) : « il ne faut pas balayer d’un revers de la main certaines questions comme l’aluminium dans les vaccins ou les effets secondaires des médicaments » (février 2018).
• La revue Prescrire : « Toutes les informations critiques sur les vaccins ne sont pas des fake news ou des stupidités. Le débat aurait beaucoup à gagner si les pouvoirs publics et les soignants les plus favorables à la vaccination n’en exagéraient pas les bénéfices et n’en minimisaient pas les risques » (mars 2019).
Pour notre part, nous poursuivons notre mission d’information, puissent tous les lecteurs de ce bulletin scientifique ( https://www.vaccinssansaluminium.org/wp-content/uploads/2019/04/2019.04-Actu-scientifique-planches.pdf )ouvrir les yeux ! Car les victimes sont des êtres humains…
(Source, article Moutons Enragés https://lesmoutonsenrages.fr/2019/06/26/censure-dun-article-consacre-a-laluminium-vaccinal-par-e3m/#more-121882)
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