mercredi 25 septembre 2019

LE PROCÈS

Aucun média n'en parlera car ce procès en diffamation intenté par Olivier Berruyer contre ses détracteurs, semblent bien marqué le trait sur une presse meanstream qui s'évertue a démolir toutes sources contradictoires à la pensée unique. En cause, plus particulièrement, le décodex du Monde, qui c'est évertuer a juger les autres comme des faker news, surtout quand ils démontraient ce que Le Monde s'évertuait a affirmer sans devoir démontrer.

NDL : Le site de Berruyer a toujours été sans parti prit pour une idéologie ou une autre, faisant de l'analyse pour apporter des éléments factuels a une réflexion, et faire des constats, qui en effet dans certaines affaires, comme le MH17 d'Ukraine, la révolution Maïdan, la guerre en Syrie, ou même le 11 septembre 2001, affinaient des éléments que d'autres médias comme Le Monde, n'ont jamais exposer ni analyser, afin de vendre une soupe idéologique au lieu de faire du vrai journalisme. Les comportements des prévenus lors de ce procès est à l'image de leurs comportements journalistiques que la cours n'a sans doute pas manqué de constater. C'est à dire du mépris, un comportement hautain, et irrespectueux non seulement de leurs propres éthiques (témoignant comme des petits soldats qui ont toujours raisons) mais aussi par rapport à la cours elle même, lors par exemple, l'usage de son téléphone portable pendant une plaidoirie qui n'a pas été du goût de la présidence.

https://fr.sputniknews.com/france/201909241042148947-proces-dolivier-berruyer-contre-le-monde-qui-peut-on-traiter-de-complotiste/

En complément pour réflexion : “On sait, en effet, que la propagande totalitaire n’a pas besoin de convaincre pour réussir et même que ce n’est pas là son but. Le but de la propagande est de produire le découragement des esprits, de persuader chacun de son impuissance à rétablir la vérité autour de soi et de l’inutilité de toute tentative de s’opposer à la diffusion du mensonge. Le but de la propagande est d’obtenir des individus qu’ils renoncent à la contredire, qu’ils n’y songent même plus. Cet intéressant résultat, l’abasourdissement médiatique l’obtient très naturellement par le moyen de ses mensonges incohérents, péremptoires et changeants, de ses révélations fracassantes et sans suite, de sa confusion bruyante de tous les instants. Cependant, si chacun, là où il se trouve, avec ses moyens et en temps utile, s’appliquait à faire valoir les droits de la vérité en dénonçant ce qu’il sait être une falsification, sans doute l’air du temps serait-il un peu plus respirable.” [Encyclopédie des Nuisances, George Orwell devant ses calomniateurs, Quelques observations.]

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