Dans ma ville natale, Rouen, l'incendie de l'usine Lubrizol a donner des images surréalistes. Entre autre, l'incertitude et le discours rassurant des autorités, alors que bon nombre de gens relate des gorges irritées, des maux de têtes, et des nausées, pour ceux qui était dans un rayon d'un kilomètre.
Il y a déjà eut un incident en 2013 et en 1988
— Ina.fr (@Inafr_officiel) September 26, 2019
En comparatif, c'est bien l'unité de stockage qui a prit feu à Lubrizol. Ce qui veut dire des réactions chimiques évidentes dont certaines incolores, qui expliqueraient les nausées, maux de tête et irritations de la gorge, chez certaines personnes qui étaient dans un périmètre d'un kilomètre autour du point zéro.
La dernière inspection a eut lieu le 6 septembre dernier. http://www.installationsclassees.developpement-durable.gouv.fr/ficheEtablissement.php?champEtablBase=58&champEtablNumero=574
Parmi les documents intéressant, un arrêté concernant des garanties financières pour la mise en sécurité du site en cas d'arrêt de l'activité, datant de 2015.
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