Didier Lallement a poursuivi en expliquant que « cette tragédie est d’autant plus terrible qu’elle est parvenue à l’intérieur de la Préfecture et qu’elle a été portée par l’un d’entre nous ».
Le préfet de police de Paris est aussi revenu sur les conditions de sécurité à l’intérieur du centre névralgique de la police parisienne. « (Elles) sont absolues » et « ne sont pas en cause », a-t-il affirmé. Et de préciser : « Ceux qui sont extérieurs à l’administration passent par un portique de sécurité », ajoutant que ses services étaient d’abord focalisés sur une attaque venant « de l’extérieur ».
Une cellule médico-psychologique a été mise en place pour les employés de la préfecture et 179 personnes s’y sont déjà rendues, a précisé le préfet.
NDL : A ce niveau, c'est soit de la négligence ou du dysfonctionnement interne. Dans les deux cas, des têtes doivent tombées........
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