lundi 28 octobre 2019

RIEN N'A CHANGER


A l'époque, Belmondo avait encore de la gouaille pour s'affirmer dans le paysage du cinéma. Il poussait alors un coup de gueule face au soutient quasiment nul de son film de l'époque "Désiré" adaptation de la pièce de Guitry. Son propos, lui, est d'époque, et 20 ans plus tard rien n'a changer. Pire, d'un coté le cinéma français finance 250 films en moyenne par an, mais les deux tiers ne trouveront que quelques dizaines de salles lors de leurs exploitations, voir pas du tous, disparaissant généralement rapidement de l'affiche au bout d'une semaine. 

Derrière c'est aussi la concurrence qui devient accrue avec les plateformes streaming, qui pousse les exploitants a devoir innover pour garder une part de marché. Malheureusement, dans ces innovations, le cinéma français n'a que peu de place, du fait de ne pas faire de films ou trop peu, compatibles avec ces politiques de développement accès sur des technologies hauts de gammes. 

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