Qui de Dupont-Moretti et de Darmanin à tort ou raison ? En réalité, les deux.
En effet, la criminalité, les actes de délinquances n'ont pas augmenté autant qu'on pourrait le croire, mais en revanche, ils sont nettement plus exposer par leurs natures. Ce qui veut dire que depuis ces 40 dernières années, ce sont plus le laxisme, les intérêts politiques, les conflits d'intérêts idéologiques, qui ont donner un particularisme de traitement, du fait que la grande partie des auteurs étaient clairement issue de l'immigration. S'ajoute l'intensité des actes dans une violence sans raison, gratuite. Et surtout, la médiatisation qu'en a fait l'internet, du fait que bon nombre de sites d'informations se sont développés autour de cette thématique, qui était autrefois relayée a du fait divers. En revanche, depuis quelques années, la teneur des actes est en effet devenue plus violente, plus brutale, montrant une face longtemps cachée à l'opinion. Celle d'une sauvagerie par définition, qui déstabilise complètement les codes d'une société civilisée, ou celle ci considérait le crime comme restant la conséquence de phénomènes humains et sociétaux, qui du jour au lendemain, est devenue gratuite, sans raison, arbitraire. Conséquence de générations d'individus coincés dans un flou identitaire et héritier d'une assimilation inexistante, instrumentalisé par une politique d'antiracisme et clientéliste qui a imposé le déni et l'absence de décision concrète sur cette gestion particulière d'individus qu'on peut considérer d'ors et déjà comme "irrécupérables".
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