Le rapport de l’Inspection générale suite à l’assassinat de Samuel Paty. Il faut un peu manier le brouillard de la phraséologie Education Nationale qui déjà, ne met pas le nom de l'établissement en première page.
Un sommaire d’un rapport très ...mince. Il était urgent de... se couvrir ? 3 profs entendus contre 4 parents.
Un questionnement sans réponse... en fait sans enquête poussée.
La présentation du collège, plutôt favorisé que l’inverse. Des classes chargées. Une CPE contractuelle, ex AED. Du classique dans cet education nationale qui cherche les économies. Le plus intéressant est l’évocation pour la première fois du rôle de la mère de la fille qui a menti, apparemment hostile à l’école, séparée du père, refusant un rendez vous, couvrant les absences et les fautes de sa fille. C’est elle qui va au collège à l’improviste porter les premières accusations de punition discriminatoire. Première erreur de la principale
Seconde erreur: accepter comme accompagnateur légitime un homme inconnu, venu d’une autre ville et se présentant comme imam. Troisième erreur impardonnable: ne pas les mettre à la porte après cette sortie antisémite. Mais clairement. Il n’y avait de toute évidence aucune envie d’apaisement.
Lors du premier cours avec caricature, Samuel Paty a bien autorisé les élèves qui pourraient se sentir gênés par une caricature du prophète qu’il annonçait comme « trash » à sortir. Lors du même cours donné à une autre classe,.feedback oblige, il ne refait pas la même erreur, il propose seulement aux élèves de fermer les yeux ou de détourner le regard. Mais jamais il n’a formulé une telle possibilité aux seuls musulmans.
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