Pfizer rend compte à la FDA américaine de ses progrès dans son expérimentation. Mais à conclu que la FDA ne doit pas se soumettre à un principe de transparence public sur ces recherches. Mais une partie d'un rapport à fuité !
Sur 42 086 cobayes humains en page 7, outre les hospitalisations avec ou sans séquelles, il y aurait eu 1223 décès et 9 400 personnes dont Pfizer n’a plus de nouvelles… Page 16, les myocardies. Les événements graves sont dénombrés : Tachycardie (1098), Arythmie (102), Infarctus du myocarde (89), Insuffisance cardiaque (80), Infarctus aigu du myocarde (41), Infarctus myocardite aiguë (41), Insuffisance cardiaque aiguë (11), Choc cardiogénique et tachycardie orthostatique posturale. Tachycardie orthostatique posturale (7 chacun) et maladie coronarienne (6). Apparition de l’événement de moins 24 heures à 21 jours, médiane inférieure à 24 heures.
Qu’il s’agisse d’affections respiratoires, d’événements thromboemboliques, d’accident vasculaire cérébral, de manifestations vasculaires, la conclusion est toujours la même : « Cette revue cumulative des cas ne soulève pas de nouveaux problèmes de sécurité. La surveillance se poursuivra. »
Conclusion générale des trente premières pages de l’étude : « L’examen des données disponibles pour cette expérience cumulative de PM confirme un rapport bénéfice/risque favorable pour le BNT162b2 [vaccin Cominarty®]. » On suppose bien évidemment qu’il y a plus de cobayes vivants que morts, mais combien ? On laisse aux scientifiques le soin de faire le tri entre les morts, les vivants et les handicapés. Ils peuvent lire les trente pages de documents confidentiels ici.
Une liste en annexe répertorie les divers effets secondaires. Ils s’étalent sur neuf pages, en caractères serrés (30 000 signes). La liste est en ordre alphabétique. Elle va de « délétion » (perte d’un fragment plus ou moins important d’ADN, constituant une cause de mutation) à « Zika », virus associé au syndrome de Guillain-Barré. On a le choix !
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