On pouvais se moquer de la sénilité des années 80, dans le politique bureau soviétique de l'URSS, ou après Staline, se seront des vieux de la vieille qui se succéderont, jusqu'à même voir un premier secrétaire mourir peut de temps après avoir été nommé, poussant finalement le parti communiste soviétique à choisir un plus jeune nommé Gorbatchev (même si déjà à l'époque, l'URSS était en engagé dans un déclin certain.
Mais que dire aujourd'hui de Joe Biden. Nommé président par un concours de circonstance, parce que le parti démocrate n'à pas voulu tenter un autre challenger plus jeune, plus dynamique, et pourquoi pas miser sur une femme, face à Trump. Sa décision de briguer un second mandat est devenu une énorme problème pour le camp démocrate car à la base, les américains progressistes de touts poils était assuré qu'il laisserait sa succession à Kamala Harris. Mais plus on avance dans le temps, plus la crédibilité de l'image même de Biden s'altère de plus en plus, entre autre entachée par les affaires de son fils, il est aujourd'hui difficile pour le service de communication de la Maison Blanche, de "le sortir en public", tant on risque un "écart" malencontreux d'attention, de propos, comme aujourd'hui il est clair, que son annonce de sa candidature est un "écart" non contrôler. Et sa dernière visite à Hanoï n'arrange pas les choses.
Source X- François Asselineau
Lors d’une conférence de presse au Vietnam, Biden (85ans) est parti en roue libre, à la consternation générale. Répondant à une question sur le climat, il a divagué ainsi : «Vous savez, c’est… et l’un… l’un d’eux est… il y a… il y a un film sur John Wayne. C’est un éclaireur indien. Et ils essaient de ramener les… je pense que c’étaient les Apaches… une… une des grandes tribus d’Amérique dans la réserve. Et l’éclaireur indien… l’Indien regarde John Wayne, désigne le soldat de l’Union et dit : ’C’est un soldat poney menteur à tête de chien. Eh bien, il y a beaucoup de soldats poneys menteurs à tête de chien sur le réchauffement climatique». Devant les journalistes héberlués venus du monde entier, la Porte-parole de la Maison Blanche a mis fin au désastre, en arrêtant brutalement la conférence de presse. Et l’intéressé, en pleine confusion mentale, a été exfiltré de la salle en lançant, comme dans un asile d’aliénés : « Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous, mais moi je vais aller me coucher ».
COMMENTAIRES
Nonobstant le spectacle toujours triste de la déchéance d’un homme, cette affaire présente un aspect cocasse lorsque l’on se rappelle que les médias occidentaux nous assurent, depuis 1an ½, que Poutine serait au bord de la mort, souffrant de multiples cancers, de Parkinson et d’Alzheimer…. Lequel Poutine semble au contraire en pleine forme et ne fait qu’engranger des succès diplomatiques, militaires et économiques, au détriment du camp occidental en pleine débandade ! Mais ce n’est pas drôle. Car il est gravissime de constater que le sort de l’Europe et celui de la France dépendent au bout du compte des décisions prises par
un gâteux de 85ans (Biden)
une idiote corrompue jusqu’à l’os (Leyen)
un menteur compulsif, immature et incompétent, qui «transforme en merde tout ce qu’il touche» (Macron) ====
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