Hooooo, la cour des comptes qui estime qu'un tiers des films français financés ne rapporte rien ! Houuuu la mauvaise blague ! Il y aurait du serrage de ceinture dans l'air ?
Dans son rapport sur le Centre national du cinéma, les magistrats estiment que le secteur se porte bien, mais que les systèmes d’aides doivent être mieux contrôlés et plus orientés.
À Cannes, au moment de recevoir la palme d’or, la cinéaste Justine Triet avait déclenché une polémique accusant le «gouvernement néo libéral» de casser «l’exception culturelle» du cinéma français et de sacrifier les jeunes réalisateurs sur l’autel de la rentabilité. Une sortie que la ministre de la Culture Rima Abdul-Malak avait qualifiée d’«ingrate et injuste». Quatre mois plus tard, Pierre Moscovici, premier président de la Cour des comptes, a répondu indirectement à la réalisatrice en présentant mercredi le rapport sur le fonctionnement du Centre national du cinéma (CNC) et, donc, sur les systèmes d’aides à la production. Tout n’est pas blanc, mais rien n’est aussi noir que veut le faire croire Justine Triet.
Mercredi matin dans les bureaux de la rue Cambon, près de la place de la Concorde à Paris, Pierre Moscovici a présenté un rapport d’une centaine de pages sur le contrôle des comptes et la gestion du CNC entre 2011 et 2022. «C’est un opérateur public de tout premier plan, de grande…(article abonnés)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire