Les chiffres sont accablant. L'éducation nationale n'a évidemment aucun commentaire a faire sur cette hécatombe, synonyme d'une situation clairement problématique dans un des maillons important de notre société. En quatre ans, le taux de démission des stagiaires comme titulaires ont explosé. Ne parlons même pas des enseignants qui sont en arrêt maladie longue durée pour ne pas aggravé un bilan qui conforte bien l'idée d'une destruction de l'école public.
Cela conforte bien la thèse d'une destruction d'une partie de la population par l'émasculation de l'autorité dans le cadre scolaire. Conforté par des lois et des règles qui ont retiré petit à petit un cadre relationnel dans l'école, au profit de dogmes incompatibles a certaines établissement scolaire dit "sensibles". Un constat d'échec que la ministre
Najat Vallaud-Belkacem expliquera sans doute avec un pirouette habituelle pour caché le véritable objectif, qui est la déstructuration d'un cadre éducatif, et la destructions d'une institution public qui dans certains territoires, sont en train de devenir des fabriques a crétins, qui pousseront de plus en plus de français qui en auront les moyens, de mettre leurs enfants dans des établissements privés, du fait que même les établissements public de bonne réputation sont aujourd'hui sujet a devoir accepter des élèves qui ne seront jamais adaptés, et mettront finalement le boxon pour détruire a leurs tours, des écoles, des collèges, des lycées qui restent encore préservé de ce virus qu'on ne veut pas nommé : de la délinquance juvénile, muée par une irresponsabilité ou démission parentale notoire, quand ce ne sont pas des conflits ethnico religieux exporté volontairement au sein de la république, qui contribuent a détruire l'intégrité d'une laïcité précaire et vacillante de lieux qui étaient encore jusqu'a il y a 30 ans, des sanctuaires.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire