Certains vous dirons que si l'on établit des règles c'est pour éviter le chaos. Eviter que tout le monde fasse n'importe quoi, n'importe comment. Hors lorsqu'on est en face d'une situation d'urgence qui demande à ce qu'on entorse un peu les règles pour satisfaire à un besoin de résoudre un problème, on est évidemment confronté à cette dualité entre conservateur du principe, et progressiste a légitimé l'entorse. En réalité tout est une question de sagesse et de bon sens, ni plus ni moins.
Sauf que lorsqu'on a affaire à des institutions il faut aussi s'attendre à du durcissement idéologique qui ne veut pas laisser des gens prendre des décisions ou faire des choix en leurs âmes et consciences, en dehors des protocoles et des normes. Et la pandémie, va fatalement exposer des professionnels de la santé, qui ne sont pas plié aux décisions de l'autorité de ne pas légitimé l'usage du traitement à la chloroquine. Pour eux, le résultat ne compte pas, c'est l'acte de "sédition" qu'il faut condamner.
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