mercredi 9 février 2022

MENACE

Depuis le 29 janvier, des centaines de camions encerclent le Parlement de la capitale canadienne et bloquent la circulation pour protester contre les restrictions sanitaires et l’obligation vaccinale contre le Covid-19.

Depuis, le mouvement s’est répandu à Wellington, la capitale néo-zélandaise, bloquée par le même procédé.
Et bouillonne en France. Le 7 février, un « convoi de la liberté » d'une trentaine de manifestants a été intercepté en région parisienne, entre l'Essonne et la Seine-et-Marne, par les forces de l’ordre. D’après l’AFP, cette interception s’est déroulée « dans le calme ».
Cette mobilisation fait suite à l'appel de plusieurs milliers d'opposants au passe vaccinal qui ont fait savoir sur les réseaux sociaux leur projet de « rouler sur Paris » dans le cadre d'une action citoyenne baptisée «convois de la liberté». Objectif : pousser les autorités françaises à mettre un terme aux restrictions sanitaires et au passe vaccinal. Dans un communiqué officiel affiché sur Facebook, le Convoy France écrit :
« Les citoyens entendent récupérer : leur liberté, leurs droits fondamentaux, l’accès inconditionnel aux soins, à l’éducation et à la culture, le respect des valeurs essentielles de notre Constitution. Stop au sacrifice des enfants et de la jeunesse, cessons la maltraitance subie quotidiennement ! Le Canada nous a ouvert la voie, la convergence européenne pour nos ENFANTS et TOUS les CITOYENS, c’est maintenant ! »
Face à un convoi de la liberté à la française, « la réponse de l’État sera extrêmement ferme »

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