lundi 23 octobre 2023

PLEINS POUVOIRS

 

Le directeur général de l’OMS se plaint que « la propagation de la mésinformation » sape « la foi en nos institutions »

Ce n’est jamais la faute des institutions aux yeux de ceux qui les dirigent.

Tedros Adhanom Ghebreyesus, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) des Nations unies – qui n’a pas été épargné par la pandémie, mais pas du point de vue de la santé, plutôt du point de vue de l’intégrité diplomatique/politique – se plaint à nouveau.

C’est désormais la vieille rengaine que divers groupes mondiaux, officiels ou non, tentent constamment d’imposer aux nations du monde. Leur message : ce ne sont pas les « institutions » qui sont malhonnêtes au départ – c’est la « mésinformation » qui les a fait passer pour telles.

Et maintenant, le problème n’est pas les institutions véreuses, et la tâche n’est pas de les améliorer, mais simplement de convaincre les gens qu’il n’y a rien de mal. Alors nous « combattons la mésinformation » – avec… plus de censure.

Telle semble être la position adoptée par Ghebreyesus, comme il l’a exprimé lors d’un appel vidéo organisé ce week-end à l’occasion du sommet de l’OMS qui s’est tenu en Allemagne.

Les remarques de Ghebreyesus sont révélatrices, même lorsqu’il ne parle pas directement de la question de la « propagation de la mésinformation » et de ce que certains pourraient appeler l’élite mondiale (faussement) « bienveillante » se propose de faire.

Le chef de l’OMS présente l’organisation et ses « sommets » comme représentant (je cite) des « gouvernements, des organisations multilatérales, des banques de développement, de la société civile, du monde universitaire, de l’industrie, et plus encore ».

Attendez, il y a autre chose ? Dites-moi, Monsieur l’OMS, qui peuvent-ils bien être ??

(Narrateur : bruit de criquets).

Mais voici ce que Ghebreyesus a dit, en particulier sur la question omniprésente de la « mésinformation » – trop souvent, il s’agit simplement de personnes libres qui expriment leur libre opinion comme la loi le leur permet, mais qui sont constamment dénigrées comme l’équivalent d’une bombe nucléaire qui anéantira toute l’humanité. (Tel est le langage de la propagande et de la censure).

Lorsque Ghebreyesus a fini d’exprimer ses « graves préoccupations » obligatoires au sujet des civils qui souffrent de la dernière flambée d’hostilités au Moyen-Orient, il a eu ceci à dire : « Nous ne pouvons pas laisser les douloureuses leçons de l’Holocauste s’effriter :

« Nous ne pouvons pas laisser se perdre les douloureuses leçons de la pandémie ».

En effet. Nous ne pouvons pas. Mais se pourrait-il que ce que beaucoup de gens perçoivent comme douloureux, à savoir des restrictions mal expliquées, mal justifiées, mais draconiennes et inouïes en matière de circulation, de travail, de voyage et de vie en général, et ce à quoi Ghebreyesus fait référence ici, soient deux choses différentes ?

« Nous avons constaté un manque de coordination entre les nations et entre les acteurs de la santé ; ainsi que la politisation de la science et l’ébranlement de la foi en nos institutions du fait de la propagation de la mésinformation », a déclaré Ghebreyesus.

Mais qui, et comment, a « politisé la science » ici afin de saper nos institutions ?

En résumé, combien de discours vides et trompeurs Ghebreyesus peut-il encore prononcer avant d’être licencié ?

Si l’on était parieur, on dirait : BEAUCOUP PLUS.

Traduction de Reclaim The Net par Aube Digitale

NDL : L'agenda les obligent a agir maintenant à découvert. Donnez leurs les pleins pouvoirs et se sera la fin de toutes les libertés individuelles fondamentales puisqu'elles seront soumises à leurs bons vouloirs !

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