État final de travaux constituants depuis presque 14 ans
De recherches en modifications, cahin caha cette quête devait bien un jour se terminer. C’est donc aujourd’hui que s’achève cette longue quête vers une Constitution plus forte, mieux armée de garde-fous — et au départ il en manquait beaucoup !
Il aura fallu peser chaque mot, et la place de chaque mot, afin de donner la première place à ce qui constitue en France son ossature, sa raison d’exister. Certes en peu d’années ceux qui sont là ne sont plus ceux qui étaient, mais à chaque fois le relais est passé, avec plus ou moins de bonheur. Ne jamais oublier : nous sommes à la fois tous égaux et tous différents Nous est dans ce cas du genre neutre, ce qui égalise tout ce qui pourrait paraître constituer une différence.
L’important est la somme de tous les efforts, et bien plus que cela encore : le Peuple. Ne nous y trompons pas : il existe, il existera toujours une certaine frange qui se voulant AU-DESSUS, n’est que simplement à côté, dans le fossé. Ne connaissant qu’elle-même, et le plus souvent de façon atrocement individualiste, ce n’est qu’une tragique ERREUR. Certains membre du Peuple, subjugués par cette ERREUR, vont vouloir la suivre, y compris dans ses efforts pour DOMINER. A un moment ou à un autre, sur le lit de mort parfois, ceux-là reconnaissent s’être trompés de route.
Être français, il n’y a pas de honte à le dire, c’est adhérer à l’Équipe, celle que les apatrides voudraient démolir parce qu’elle est forte et efficace quand elle n’est pas contrecarrée. Bien entendu, cette conception de la France qui survole les siècle est incompatible avec le trouble-fête nommé union européenne, simple tentative par les apatrides pour brouiller les pistes, et transformer le Peuple en un amas informe de non-personnalités, roulant en un flot boueux et hideux, mais tellement plus malléable !
C’est dans cet esprit que fut écrite cette mouture de la Constitution, partant du texte présent au tout début de 2010, donc des dispositions prises justement le premier décembre 2009. C’est là que furent officiellement mis en application le Traité de Lisbonne et le Codex Alimentarius. De là, furent remises au goût du jour certaines dispositions qui avaient été rejetées ; mais le plus souvent il s’agissait de remanier profondément les institutions. Vaste chantier !
Ce chantier, donc, est dans un certain état que désormais d’autres pourront prendre en main. Cela comporte un risque : l’auteur a tenté de créer ainsi un ensemble cohérent et équilibré. Il est important de garder l’équilibre, donc de veiller à tous les éléments de l’édifice. Mais désormais, pour la suite, PLACE AU PEUPLE
Jean Claude Cousin
https://ti1ca.com/5h7cny34-trav-const01-trav_const01.pdf.html
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