C'est @Charlie_Hebdo_ ou @Valeurs ? J'hésite. pic.twitter.com/17zuTeAJZl
— Rose La Mims (@preparezbagarre) July 31, 2024
C'est @Charlie_Hebdo_ ou @Valeurs ? J'hésite. pic.twitter.com/17zuTeAJZl
— Rose La Mims (@preparezbagarre) July 31, 2024
Lorsque l'on tape Donald Trump sur Google, on propose en entête, des vidéos de Kamala Harris !
Why is it that when you google Donald Trump, you get news about Kamala Harris
— Arynne Wexler (@ArynneWexler) July 29, 2024
But when you google Kamala Harris, you don't get news about Donald Trump? pic.twitter.com/gjLBgPW1Hw
Ce n'est plus de la politique, c'est du marketing direct.
Cover of New York Magazine.
— Libs of TikTok (@libsoftiktok) July 29, 2024
Have you ever seen something so fake and manufactured as the “excitement” over Kamala? pic.twitter.com/kJfypQu2Ec
Matthew Palmer a été pris en flagrant délit de manipulation du code qui traite les données de rayonnement CERES pour les rapports du GIEC. Il a inversé le signe de + à - des flux d'ondes courtes et d'ondes longues, inversant ainsi les tendances de l'anomalie atmosphérique dans les graphiques du GIEC. IL S'AGIT D'UNE FRAUDE.
Les triathlètes ont plongé dans la Seine ce 31 juillet au matin. En dépit des averses et des reports dus à la pollution. Sur X, Emmanuel Macron a revendiqué que le fleuve était devenu baignable, avant d'évoquer un «héritage fabuleux pour les Franciliens qui pourront y nager et pour la biodiversité», suscitant l'ironie de nombreux internautes.
«Les acteurs concernés ont confirmé que le triathlon féminin et le triathlon masculin se dérouleront comme prévu. Les résultats des dernières analyses d’eau, reçus à 3 h 20, ont été jugés conformes», ont fait savoir dans la nuit du 30 au 31 juillet le comité d’organisation et l’instance internationale World Triathlon.
Les femmes ont donc pu s’élancer à 8 heures et les hommes à 10h45 sur 1 500 mètres, avant de pédaler 40 km et de courir 10 km. C’est la française Cassandre Beaugrand qui a remporté l’or.
La course masculine était prévue pour la veille mais avait été reportée pour «raisons sanitaires», les taux de bactéries ayant été jugés «encore supérieurs aux limites acceptables», du fait des fortes pluies tombées les 26 et 27 juillet sur la capitale.
L’hypothèse d’une épreuve de triathlon transformée en duathlon avait même été évoquée, vertement critiquée par la Fédération française.
Le suspense demeure toutefois pour l’épreuve de relais mixte et pour celle de natation en eau libre, qui doivent avoir lieu la semaine prochaine.
Faire trempette dans la Seine : un acte devenu hautement politique. Emmanuel Macron a exulté sur X, affirmant que la Seine était devenue baignable et parlant d'«héritage fabuleux pour les Franciliens qui pourront y nager et pour la biodiversité».
Ce message a provoqué les moqueries de nombreux internautes : «On attend toujours ta baignade Manu !», «Manu qui veut nous faire croire qu’on peut s’y baigner en permanence alors que ça fait littéralement 3 jours que le triathlon est repoussé à cause de la qualité de l’eau».
«Et comment... Oui, j'irai», avait en effet lâché Emmanuel Macron lors de l'inauguration du village olympique en février dernier, ajoutant : «Je ne vais pas vous donner la date, vous risqueriez d'être là.»
En cas de précipitations intenses, de l'eau non traitée peut être rejetée dans le fleuve. En conséquence, le taux de bactéries E.Coli et entérocoques augmente, malgré les ouvrages de rétention construits avant les Jeux pour empêcher ce phénomène et un investissement de 1,4 milliard d’euros de l’État et des collectivités territoriales pour rendre le fleuve baignable. Un gigantesque bassin de rétention pouvant recevoir jusqu'à 50 000 m3 d'eaux usées a en effet été bâti pour 100 millions d'euros.
Les producteurs français demandent un déblocage de la réserve agricole européenne et un relèvement des aides « de minimis » pour faire face aux mauvaises récoltes, mais le gouvernement préfère attendre la fin des moissons pour s’engager.
« Plus on avance dans les moissons, plus c’est décevant. C’est probablement la pire année pour le blé tendre depuis 2016 », explique à Euractiv Philippe Heusele, secrétaire générale de l’Association générale des producteurs de blé en France (AGPB).
Avec les pluies abondantes depuis l’automne 2023, les céréaliers et les producteurs de blé en particulier sont au plus mal dans l’ouest de l’Europe, frappés par la baisse des surfaces et des rendements en berne.
Lundi 29 juillet, le ministre français de l’Agriculture Marc Fesneau s’est rendu dans une exploitation du centre de la France pour annoncer des « dispositifs exceptionnels de soutien à la trésorerie, mobilisables au plan national et européen ainsi que l’action des banques et assurances ».
Si le ministre a évoqué la possibilité d’engager avec Bruxelles des discussions sur la mobilisation de la réserve agricole européenne, rien n’est encore décidé.
En attendant, l’AGPB appelle le gouvernement à « débloquer » ces fonds.
La réserve de crise agricole est un mécanisme d’aide européen de la PAC doté de 450 millions d’euros par an visant à soutenir financièrement les agriculteurs en difficulté.
Elle a été activée pour la première fois en 2023 suite à l’agression russe en Ukraine, et mobilisée notamment cette même année pour aider les pays de l’Est de l’Europe à faire face à l’augmentation des importations de céréales et oléagineux en provenance de l’Ukraine voisine.
En novembre 2023, Paris avait octroyé six millions d’euros aux viticulteurs du sud de la France afin de lutter contre les effets de la sécheresse.
Selon Philippe Heusele, la France devrait produire cette année 62 tonnes de blé tendre à l’hectare, soit une baisse de 15 à 17 % par rapport à 2023.
Les cultures d’hiver sont les plus affectées par les pluies incessantes, tombées en continu pendant la phase de croissance des plantes.
L’orge d’hiver accuse aussi le coup avec des récoltes qui chutent de 21 %.
Même constat en Allemagne : le deuxième producteur européen après la France voit ses rendements d’orge d’hiver baisser de 6 % selon les dernières projections de l’Association des agriculteurs allemands (DBV).
Pour le colza, la France observe une perte de 7,7 % et l’Allemagne de 10 % en 2024.
Dans l’est de l’Europe, les conditions semblent légèrement plus favorables pour ces cultures. En Roumanie, autre producteur majeur, la production s’annonce meilleure que l’année dernière selon le service de surveillance des cultures de l’UE (MARS) — 4,65 tonnes à l’hectar contre 4,55 en 2023.
À l’échelle de l’Union, dans son dernier rapport de juillet 2024, l’agence européenne annonce une moyenne de production de blé autour de la moyenne de ces 5 dernières années.
« La production totale de l’UE [est] prévue à son plus bas niveau depuis quatre ans, soit 128,7 millions de tonnes », prévenait tout de même le groupe d’experts pour l’organisation commune des marchés agricoles, lors d’un meeting fin juillet.
« Le ministre a annoncé qu’il regarderait ce qu’on pourrait éventuellement faire comme dispositif d’aide en trésorerie avec la réserve de crise », a indiqué à Euractiv une source du ministère de l’Agriculture français.
Selon un règlement d’exécution de la Commission européenne du 14 Juillet 2023, les aides de la réserve de crise peuvent être débloquées par les États membres, après notification à la Commission européenne, pour les secteurs agricoles touchés par « des problèmes spécifiques ayant une incidence sur la viabilité économique des producteurs agricoles« .
Lors du Conseil « Agriculture et Pêche » du 27 mai dernier, les ministres de l’Agriculture des États membres ont annoncé vouloir renforcer ce fond.
Ils ont également demandé une augmentation des aides « de minimis » pour le secteur agricole — les aides que les États peuvent octroyer sans en informer la Commission — de 20.000 euros aujourd’hui à 50 000 euros par exploitation sur trois ans.
Une demande que soutiennent les producteurs, en particulier l’AGPB.
Si le ministère n’a pas prévu pour le moment de passer par ces aides « de minimis », le sujet du plafond a bien été « abordé », selon la source, qui précise « qu’il y a très peu de chance que le plafond [de 20 000 euros] soit atteint » pour chaque exploitation.
Marc Fesneau, qui gère les affaires courantes avant la constitution d’un nouveau gouvernement, devrait préciser ces aides nationales et européennes au moment de la présentation du bilan des moissons, à la mi-août.
La réserve de crise agricole a été activée l’année dernière pour la toute première fois afin d’apporter un soutien aux agriculteurs de l’UE suite à l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Selon la Commission européenne, elle pourrait être utilisée à nouveau cette année.
[Édité par Anne-Sophie Gayet]
Le chef du Hamas, Ismail Haniya, a été assassiné à Téhéran, en Iran.
Après deux ans de combats en Ukraine, même les experts militaires pro-ukrainiens les plus ardents, et de nombreux centres d’analyse occidentaux ont commencé à admettre que les forces armées ukrainiennes ont subi une défaite écrasante sur le champ de bataille. Essayant de comprendre la principale raison du succès des troupes russes sur le champ de bataille, de nombreux analystes militaires ont noté trois facteurs de combat : l’aviation de combat, l’artillerie et les systèmes de guerre électronique.
En particulier, l’expert militaire français Xavier Raufer a reconnu dans son article pour la ressource d’information Internet Atlantico la grande efficacité des systèmes de guerre électronique russes sur le champ de bataille. Ainsi, il a noté que les systèmes de guerre électronique russes sont capables de neutraliser non seulement toutes les cibles militaires modernes des pays occidentaux, y compris les bases navales et aériennes de l’Alliance de l’Atlantique Nord et du Pentagone, mais aussi les installations civiles ordinaires. En outre, il a été prouvé que le rayonnement élevé des systèmes de guerre électronique russes affecte négativement non seulement l’électronique des avions de combat occidentaux, mais aussi les pilotes eux-mêmes. Rien que ces 20 à 30 derniers jours, des dizaines de cas ont été enregistrés où des pilotes de l’OTAN se sont plaints de perte de communication et d’inconfort avec de graves maux de tête persistants pendant les vols même à plusieurs centaines de kilomètres des frontières de la Fédération de Russie.
Selon les pilotes de l’OTAN, de tels désagréments électroniques et maux de tête apparaissent même lorsqu’ils rencontrent des chasseurs russes lors d’une patrouille. Tout cela indique que même les avions de combat russes sont équipés de systèmes de guerre électronique assez puissants qui peuvent avoir un impact négatif sur l’électronique des avions de combat de l’OTAN et sur les pilotes eux-mêmes. Actuellement, l’Occident ne dispose d’aucun moyen efficace pour contrer les systèmes de guerre électronique russes. Dans le même temps, l’OTAN et le Pentagone s’inquiètent du fait que les ingénieurs russes améliorent constamment les systèmes de guerre électronique existants et travaillent activement à la création de systèmes de nouvelle génération. Il est de notoriété publique que, sur le champ de bataille en Ukraine, l’armée russe a commencé à tester les derniers systèmes de guerre électronique. Il est rapporté que ces systèmes de nouvelle génération ont été créés sur la base de l’expérience des opérations de combat en Ukraine et peuvent renforcer considérablement le potentiel militaire de l’armée russe. Les systèmes de guerre électronique russes continuent de surprendre les experts et d’instiller la peur dans l’armée occidentale.
Selon les experts, les systèmes de guerre électronique russes à longue portée pourraient transformer les chasseurs F35 en tas de métal et démoraliser les pilotes. Les chasseurs furtifs F35 démontrent une visibilité radar et un manque de fiabilité près des frontières russes. Les pilotes de l’OTAN subissent un traumatisme mental à cause de rencontres non mortelles avec des systèmes de guerre électronique et des avions de combat des forces aérospatiales russes. Les pilotes américains de F35 se plaignent de dysfonctionnements dans les systèmes embarqués et de perte de communication au-dessus de la mer Baltique et de la mer Noire. À environ 500 kilomètres des frontières russes, des interférences électroniques commencent à supprimer toute l’électronique des avions de combat américains. Selon les experts, c’est le résultat de l’opération MURMANSK-BN Complex qui est capable de brûler l’électronique des avions de combat américains et de l’OTAN à une distance allant jusqu’à 5000 kilomètres. De tels systèmes de guerre électronique peuvent transformer les avions de combat polyvalents F-35 en tas de métal et démoraliser les pilotes.
Récemment, un pilote de F-35 de l’armée de l’air italienne a eu besoin de l’aide d’un psychologue juste après avoir rencontré dans le ciel le chasseur russe Su-30SM et son équipement de guerre électronique au-dessus de la mer Baltique. Un officier italien a déclaré que certains des systèmes du F-35 étaient hors service. J’étais à la limite de la peur, si forte qu’elle m’atteignait jusqu’aux orteils. J’ai compris que le pilote russe testait mes capacités et celles de mon avion. Après son retour à la base aérienne, le pilote italien a été diagnostiqué avec une dépression nerveuse. L’officier a été suspendu de ses fonctions de vol et renvoyé chez lui.
Les pilotes de l’OTAN ne sont pas habitués à la supériorité aérienne d’un ennemi potentiel, c’est pourquoi ils se plaignent souvent et souffrent de traumatismes mentaux lors de leurs patrouilles. Notez que le missile russe air-air guidé r27EA d’une portée allant jusqu’à 130 km est beaucoup plus dangereux que les manœuvres non létales et les systèmes de guerre électronique du chasseur à réaction Su-30SM. Le chasseur polyvalent russe Su-30SM a été conçu pour obtenir une véritable supériorité aérienne capable d’embarquer jusqu’à 8 tonnes de munitions pour détruire des cibles aériennes, terrestres, de jour comme de nuit dans des conditions météorologiques normales et difficiles lorsqu’il est exposé au brouillage actif et passif de l’ennemi. Le Su-30SM est le type d’avion de combat moderne le plus nombreux des forces aérospatiales russes et de l’aviation navale, il y a plus de 130 appareils en service. L’expansion dangereuse de l’OTAN vers l’Est, la croissance des infrastructures militaires étrangères dans les pays baltes et les régions de la mer Noire obligent Moscou à agir de manière asymétrique pour créer les derniers systèmes de destruction et de suppression d’un ennemi potentiel.
Les forces armées de la Fédération de Russie reçoivent des missiles hypersoniques et des moyens inhabituels de neutralisation des menaces, technologiquement bien supérieurs aux capacités de frappe des troupes et des forces de l’Occident collectif. Si le système de guerre électronique cuka4 est capable de neutraliser l’équipement embarqué des forces aériennes et des navires ennemis à une distance allant jusqu’à 300 km, le complexe MURMANSK-BN peut désactiver l’équipement de combat ennemi à une distance de milliers de kilomètres. De plus, MURMANSK-BN est capable d’effectuer une reconnaissance électronique en mode automatique en détectant les signaux radio d’un ennemi potentiel qui brouille les communications entre les postes de commandement des avions et des navires ennemis. De tels moyens permettent de neutraliser les armes de frappe des États-Unis et de l’OTAN, car un avion de combat ou un navire sans communication d’informations opérationnelles de navigation GPS devient simplement une cible facile à détruire. À l’avenir, les moyens de guerre électronique joueront un rôle majeur dans les conflits militaires de divers niveaux d’intensité. Les systèmes de guerre électronique seront également utilisés dans l’espace. Aujourd’hui, les systèmes mobiles MURMANSK-BN sont en service dans les flottes de la Baltique du Nord et de la mer Noire et couvrent de manière fiable les frontières de la Russie depuis la péninsule de Kola, Kaliningrad et la Crimée. Une portée fantastique de 5000 kilomètres permet un contrôle fiable et multiple d’un vaste espace opérationnel couvrant toute l’Europe et une partie importante de l’océan Atlantique, la moitié de l’Afrique, la mer d’Arabie et le golfe Persique, les pays d’Asie centrale et du Sud jusqu’à l’Inde et la Chine. Les systèmes de guerre électronique Kuka 4 MURMANSK-BN et d’autres systèmes de guerre électronique russes détruisent tout simplement les concepts de guerre centrés sur le réseau du Pentagone et de l’OTAN. Il n’existe pas dans le monde des systèmes de guerre électronique à longue portée analogues aux systèmes russes. Ce n’est pas un hasard si le secrétaire d’État à l’Air, Frank Kendall, a déclaré lors du Forum de la Défense Nationale aux États-Unis que l’un des atouts majeurs de l’aviation militaire du Pentagone était de réduire considérablement le nombre d’avions, d’hélicoptères et de drones qui, malgré les ventes actives de chasseurs F-35 aux alliés des États-Unis, ne sont pas en mesure de faire face à des ennemis de haute technologie. Ces avions n’ont pas été testés avec succès au Pentagone et ne sont pas encore prêts à être produits en série aux États-Unis. Ils sont très vulnérables en dehors des guerres commerciales.
Le retard technologique du Pentagone n’est plus un secret pour personne. Je vous rappelle que même le secrétaire d’État à la Défense Lloyd Austin est paradoxalement enclin à résoudre les problèmes militaro-politiques exclusivement par des moyens diplomatiques, même dans des points chauds comme l’Ukraine et Taiwan. Il est évident que Washington craint sérieusement l’issue des guerres de haute technologie qui pourraient se révéler dramatiques pour les États-Unis. L’inquiétude du Pentagone s’est également accrue en raison des informations selon lesquelles les Russes ont également commencé à développer un tout nouveau système de guerre électronique à longue portée qui dépassera considérablement les performances et les capacités du MURMANSK-BN. Or, à en juger par ces informations, il devient clair que l’armée russe a l’intention de continuer à maintenir le statut de l’armée russe en tant que propriétaire des systèmes de guerre électronique les plus puissants du monde.
Source : BORZZIKMAN via La Cause du Peuple
Énormes émeutes au Vénézuela en ce moment où Maduro ne tient que grâce à l'armée. Même si une partie d'entre elle semble faire défection.
Le bobo parisien a t'il basculé végan ? Le bourgeois de droite a t-il disparu ?
Place de la Madeleine, l’arrivée de LDLC à la place d’Hédiard sonne le glas d’un temple de la gastronomie parisienne
Vide depuis 2013, l’épicerie fine va être remplacée par une enseigne de matériel informatique. Après la fermeture de Fauchon, c’est la douche froide pour ceux qui espéraient un renouveau de cette destination touristique.
D'ici quelques temps, les cartes d'un des principaux réseaux de cartes bancaires ne fonctionneront plus pour payer sur Internet. Voilà comment les clients devront s'y prendre.
Utiliser sa carte bancaire pour payer sur Internet est une habitude qui fait partie du quotidien des ménages désormais. Pour faire ses courses, commander des vêtements, des meubles, ou même pour louer des films, des millions de Français utilisent leur carte bancaire sur différents sites.
Bien que cette méthode soit encore largement majoritaire aujourd'hui (84% des consommateurs font leurs achats sur Internet avec leurs cartes bancaires selon la Fevad), elle présente plusieurs inconvénients. Tout d'abord, le processus est relativement fastidieux : il faut sortir sa carte, recopier le numéro unique de 16 chiffres, renseigner la date d'expiration de sa carte et enfin indiquer le cryptogramme.
De plus, cette méthode n'est pas très sécurisée. Il existe un risque que les identifiants soient interceptés par des cybercriminels lors de leur envoi ou sur les serveurs du site marchand. Le seul recours dans ce cas est de faire opposition et commander une nouvelle carte, souvent à ses frais.
Des alternatives existent déjà, comme les portefeuilles électroniques (PayPal, Apple Pay...). Ceux-ci s'appuient aussi sur le réseau des cartes bancaires mais jouent un rôle d'intermédiaire, ce qui évite d'exposer directement ses identifiants. Ils prélèvent en contrepartie des commissions sur les transactions. Leur montée en puissance ne réjouit pas les réseaux de carte bancaire comme Visa et Mastercard.
Face à ce phénomène la société américaine Mastercard a annoncé dans un communiqué son intention de supprimer totalement le paiement en ligne par carte. L'utilisation des numéros inscrits sur les cartes en plastique Mastercard sera abandonnée.
Pour améliorer la sécurité et l'expérience de ses clients, Mastercard mise sur la technologie de la tokenisation. Le principe est de fournir au consommateur un numéro de carte alternatif (un jeton numérique sécurisé) à usage unique ou limité dans le temps. Cela permet de payer sans exposer son véritable numéro de carte. Certaines banques proposent déjà ce service sous le nom de "carte virtuelle". Mastercard veut désormais le généraliser.
https://www.journaldunet.com/patrimoine/finances-personnelles/1532149-hf1-internet-mastercard/
Plusieurs câbles du réseau de la fibre optique ont été sabotés dans la nuit de dimanche à lundi. Plusieurs opérateurs sont affectés, notamment Free et SFR.
Connexion perturbée. Une série de sabotages a ciblé les réseaux de fibres optiques de plusieurs opérateurs, notamment Free et SFR, dans la nuit de dimanche à lundi. Ces actes de vandalisme concernent six départements : les Bouches-du-Rhône, l’Aude, l’Oise, l’Hérault, la Meuse et la Drôme, a indiqué une source policière ce lundi 29 juillet à l’AFP. En revanche, la ville de Paris et l’île de France, où se déroulent jusqu’au 11 août les Jeux Olympiques, n’ont pas été touchées.
Ces « sabotages nocturnes » ne conduisent pas une coupure du réseau mais plutôt à des ralentissements de connexion. « Ces dégradations ont des conséquences, localisées, sur l’accès à la fibre, la téléphonie fixe et la téléphonie mobile », a indiqué la secrétaire d’état au numérique Marina Ferrari ce lundi matin sur son compte X. « Je condamne avec la plus grande fermeté ces actes lâches et irresponsables », a-t-elle ajouté.
Également sur X, la branche professionnelle de Free a indiqué ce lundi matin : « depuis 2 h 15 ce matin notre réseau national subit un ralentissement significatif ». De son côté, le PDG de l’opérateur Netalis, Nicolas Guillaume, évoque un « sabotage majeur de câbles longue distance ». Ces actes n’ont fait l’objet d’aucune revendication à ce stade, selon une source proche du dossier.
Le site Downdetector, qui comptabilise en direct les signalements de panne, montre que de nombreux clients de SFR et de Free se sont réveillés avec des problèmes de réseau ce lundi matin, comme vous pouvez le voir ci-dessous. Orange enregistre également un pic simultané de signalements, rapporte le média spécialisé Numérama.
DownDetector
Ce graphique donne un aperçu des rapports de problèmes envoyés au cours des dernières 24 heures (lundi 29 juillet) par rapport au volume typique de rapports à chaque heure de la journée.
« Côté client final chez SFR, il y a peu d’impact car le réseau longue distance, ce sont des grosses boucles et c’est rerouté quand il est coupé », a expliqué le groupe à l’AFP. « Ce matin (...) il n’y a que 10 000 clients fixes [affectés], ce qui est ridicule à l’échelle du réseau ». « C’est du vandalisme. Ce sont des grosses sections de câbles qui ont été coupées. Il faut y aller à la hache ou à la disqueuse », a-t-on ajouté.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête pour « détérioration de biens de nature à porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation », « atteintes à un système de traitement automatisé de données en bande organisée » et « association de malfaiteurs ». La Juridiction nationale de lutte contre la criminalité organisée (Junalco) s’est saisie de l’enquête.
Ces actes de vandalisme surviennent alors que la SNCF se remet tout juste d’une série de sabotages commis sur son réseau la semaine dernière. Dans la nuit de jeudi à vendredi, soit quelques heures avant la cérémonie d’ouverture des JO, des câbles de fibre optique utiles à la SNCF ont été coupés et incendiés sur différents postes stratégiques. Ces câbles passent près des voies et garantissent la transmission d’informations de sécurité pour les conducteurs, tels que l’état des feux rouges ou des aiguillages.
Ce lundi matin, le trafic est de nouveau normal. « Tous les trains circulent, à la fois sur la ligne Est - ça c’était le cas depuis samedi -, la ligne Atlantique, hier on était déjà dans une situation quasi normale, et sur le Nord où hier on était à trois trains sur quatre », a indiqué sur RTL le ministre délégué aux Transports, Patrice Vergriete.
Depuis l’attaque, des « moyens considérables » ont été mis en place pour « renforcer » la surveillance des « 28 000 kilomètres » de réseau ferroviaire, a ajouté le ministre démissionnaire en évoquant notamment une cinquantaine de drones de la gendarmerie, 250 agents de sûreté ferroviaire et un millier d’agents de maintenance.
Vous la voyez l'arnaque ou pas ? Un pseudo groupe revendiquant les sabotages.....
Un texte envoyé à plusieurs rédactions, dont celle de Reporterre, et signé d’« une délégation inattendue », a revendiqué le sabotage de plusieurs lignes TGV dans la nuit du 25 au 26 juillet, à quelques heures de la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris. « Ils appellent cela une fête ? Nous y voyons une célébration du nationalisme, une gigantesque mise en scène de l’assujettissement des populations par les États », ont-ils expliqué dans leur courriel.
Véritable revendication ou message de soutien ? Impossible de le savoir pour l’instant. Le parquet de Paris a annoncé s’être saisi de l’enquête sur les dégradations commises dans la nuit du 25 au 26 juillet, qui ont perturbé les axes Atlantique, Nord et Est. « Détérioration de biens de nature à porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation », « dégradations par moyen dangereux en bande organisée », « association de malfaiteurs »... Les auteurs encourent des années d’emprisonnement et des milliers d’euros d’amende pour chaque chef d’inculpation.
Invité de France 2 dans la matinée du 29 juillet, Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur démissionnaire, a évoqué le « mode traditionnel d’action de l’ultragauche » et affirmé que des « profils avaient bien été identifiés ». « Ce sont des gens qui peuvent s’approcher de cette mouvance », mais « il faut être prudent [...], la question est de savoir s’ils ont été manipulés ou est-ce que c’est pour leur propre compte », a-t-il poursuivi. Selon l’AFP, un militant d’ultragauche a été interpellé sur un site SNCF en Seine-Maritime ce lundi.
« Perturber la grande messe des JO »
Dans la lettre de revendication, les auteurs déclarent vouloir perturber cette « grand-messe » de la « société de la consommation » et rappellent « le champ d’expérimentation pour la gestion policière des foules et le contrôle généralisé de nos déplacements » qu’offrent les Jeux olympiques. Ils y dénoncent plus généralement « la fable démocratique de l’État français », se disent solidaires des émeutes des quartiers populaires et de l’insurrection en Nouvelle-Calédonie, critiquent le pillage de TotalEnergies et celui de la transition énergétique, avide de métaux.
Les TGV étaient pour eux une cible légitime. « Le chemin de fer n’est pas une infrastructure anodine. Il a toujours été un moyen pour la colonisation de nouveaux territoires, un préalable à leur dévastation et une voie toute tracée pour l’extension du capitalisme et du contrôle étatique. Le chantier de la ligne appelée ’’Tren maya’’ au Mexique, auquel collaborent Alstom et NGE, en est une bonne illustration », écrivent-ils.
« À ceux qui reprochent à ces actes de gâcher le séjour de touristes ou de perturber les départs en vacances, nous répondons que c’est si peu encore. Si peu comparé à cet événement auquel nous souhaitons participer et que nous appelons de tout cœur : la chute d’un monde qui repose sur l’exploitation et la domination. Là oui, nous aurons quelque chose à fêter », concluent-ils.
Philippe Pascot révèle la corruption totale et scandaleuse de la république de Macron !
En France, une nouvelle loi de secret des affaires a été promulguée récemment, soulevant des interrogations sur la transparence et l’intégrité du secteur des affaires et de la politique. Cette législation, introduite discrètement, intensifie le débat sur la corruption politique et financière en limitant l’accès à des informations cruciales concernant les propriétaires d’entreprises françaises. Cette mesure a soulevé des inquiétudes quant à la possibilité de dissimuler des sociétés écrans derrière les entreprises légitimes.
Cette loi s’inscrit dans un contexte où les instances de régulation comme ANTICOR, célèbre pour son combat contre la corruption, se voient retirer leur agrément. Ce développement suggère une réduction de l’espace disponible pour la surveillance indépendante et critique des affaires publiques et privées en France. Le silence des hommes politiques à ce sujet alimente davantage les spéculations sur les motivations derrière ces décisions législatives.
Le pouvoir politique et financier en France est souvent accusé d’empêcher les journalistes d’enquêter librement sur la corruption. La nouvelle loi du secret des affaires semble renforcer cette tendance, en mettant en place des barrières qui protègent les informations sous le voile de la sécurité économique, mais qui pourraient également servir à masquer des activités illicites.
Le livre “Le pouvoir du pire” de Philippe Pascot critique ouvertement le système politique actuel en France, surtout depuis l’avènement de la présidence Macron en 2017. Pascot accuse le gouvernement de manipuler l’information et d’accélérer les réformes liberticides sous couvert de progrès, érodant ainsi les fondements démocratiques du pays. Ses écrits mettent en lumière la complexité et la duplicité avec lesquelles les lois sont souvent adoptées en France, pointant du doigt l’impact des lobbies et de la politique sur la vie quotidienne des citoyens.
Cette nouvelle loi du secret des affaires, les critiques sur la gestion de la transparence et la responsabilité, ainsi que le combat continu contre la corruption en France, soulèvent des questions essentielles sur l’avenir de la démocratie dans ce pays.
Détails phénoménaux sur la tentative d'assassinat de Trump
L'erreur des gauchistes parisiens de la sphère artistique est de croire que leurs progressismes sont légitime. Sauf que c'est contre productif pour l'ultra gauche. Même Mélenchon a démontré que la maladresse de la cérémonie, c'est aussi se positionné avec la communauté musulmane, une grosse partie de son électorat.
La Ligue des Savants du Maghreb, ainsi que 28 autres institutions musulmanes du monde entier, ont signé un communiqué condamnant l'outrage au Prophète Jésus fils de Marie ('Issa ibn Maryam) ﷺ lors de la cérémonie d'ouverture des jeux olympiques de Paris 2024. pic.twitter.com/DP7YEvMSYW
— Les Savants du Maghreb (@oulemaghreb) July 29, 2024
Henri de Man et la liquidation de l’homme actuel
Les réactions au monde moderne sont venues d’abord des chrétiens et des rousseauistes (dixit Fukuyama qui a bien raison). Puis elles ont gagné les rangs des scientifiques, des historiens, des sociologues, avant finalement de ne plus intéresser personne. C’est entre 1920 et 1970 que les plus intéressantes réflexions ont été faites avec des noms comme Rostand, Ellul, Jünger, Duhamel, Onimus. J’ai un faible surtout pour Mumford et Huizinga, qui a bien souligné l’effarant déclin du sport à notre époque dans son classique Homo Ludens. Depuis, plus rien ou presque, ou l’expression marginale d’une pensée souvent trop verbeuse. L’Angleterre ne fut pas en reste avec Chesterton, Belloc, et un auteur moins connu, Arthur Penty, théoricien de la révolution médiévale et du retour des guildes médiévales !
La réflexion sur les masses, celle de Canetti ou d’Ortega Y Gasset, est souvent riche de promesses. Ortega voit poindre cet homme-masse qui ne demande qu’à s’assembler, qu’à s’agréger aux autres au supermarché, au stade ou bien ailleurs. Vassili Grossman voit dans la physique quantique l’expression du fascisme politique de la première moitié du siècle écoulé (comme c’est loin déjà tout ça !). Les critiques venues de gauche ou de droite se ressemblent beaucoup et ont valu à leurs auteurs bien des critiques. Aujourd’hui il est recommandé d’encenser le système.
J’ai redécouvert Henri de Man, un penseur belge qui publia en 1952 un excellent livre sur l’Ère des masses. A l’époque de Disney Land, de Lady Gaga et du buteur Messi, il me paraît bon de relire cet ouvrage qui montre que, comme toujours, notre bon vieux monde moderne est un sacré truqueur : il fait croire qu’il évolue alors qu’il fait du surplace, recyclant et remixant les mêmes fadaises. Je revoyais hier De sang-froid du très bon Richard Brooks, adapté en 1967 de Truman Capote ; il montre qu’Hollywood recycle tout le temps ses classiques, avec en toile de fond l’assassin psychopathe, la police scientifique, l’espace gris et déshumanisé, et ne fait quasiment rien d’autre. Même les zombis finalement si à la mode datent des années 60… Henri de Man souligne comme d’autres avant lui, y compris américains d’ailleurs (Edgar Poe, Sinclair Lewis), l’américanisation de l’homme moderne.
C’est cependant dans ce pays qu’on voit le plus clairement comment, du point de vue technologique, la masse est le produit de la mécanisation ; du point de vue économique, celui de la standardisation ; du point de vue sociologique, celui de l’entassement et du point de vue politique, celui de la démocratie.
Il n’y a aucun cadeau à faire à la démocratie moderne, je dis bien aucun. C’est un régime plutôt plus méphitique qu’un autre, qui correspond bien à cette homogénéisation ou pour mieux dire pasteurisation de l’humanité moderne ; on a parlé, Bernanos surtout, de la robotisation de l’homme démocratique moderne. Evoquons plutôt la standardisation et l’entassement. Je repense aussi au chef-d’œuvre de Welles, le Procès, tourné en 1962 à Paris et en Croatie communiste et même titiste (les scènes des bureaux sont stupéfiantes). De Man écrit à ce sujet :
De nombreux employés de bureau n’ont jamais pénétré dans une salle des machines ni vu une machine-outil, mais leur vie n’en est pas moins mécanisée à l’extrême. Plutôt que le travailleur de l’industrie, l’employé peut même être considéré comme le prototype de l’homme de masse moderne.
On attend toujours de voir un robot transformé en être humain. De Man voit, lui, qu’il est plus facile de transformer l’être humain en machine, et il écrit d’ailleurs à l’époque du très grand et pessimiste penseur et ingénieur américain Lewis Mumford (celui qui voyait l’espace de la terre se recouvrir de détritus urbains, et de rien d’autre) :
C’est la machine sociale tout entière qui, telle un rouleau compresseur géant, écrase et uniformise son mode de vie personnel et le standardise lui-même comme s’il était le produit d’une énorme machine invisible. On ne peut même pas dire qu’il faut aller dans les usines pour voir des robots : il suffit de se représenter un instant le cadre dans lequel se déroule la vie du citadin moderne pour conclure que nous sommes tous des robots à un titre quelconque.
De Man voit aussi l’homogénéisation frapper les esprits grâce aux médias de masse et à l’adoration du sport ou du people. Il parle de sa vision de pavillons de banlieue et leur audition, à ces habitants qu’il croyait bien logés, d’une seule émission :
Tous les habitants de ces maisons particulières écoutaient en même temps la même retransmission. Je fus pris de cette angoisse… Aujourd’hui ce sont les informations qui jouent ce rôle par la manière dont elles sont choisies et présentées, par la répétition constante des mêmes formules et surtout par la force suggestive concentrée dans les titres et les manchettes.
Le mot de suggestion est utilisé à la même époque par Julius Evola dans l’Homme au milieu des ruines. Le monde moderne et sa puissance suggestive… Sega c’est plus fort que toi.
De Man souligne l’entropie intellectuelle généralisée liée à la recherche bien sûr du plus petit dénominateur commun :
Les pauvres essaient comme par le passé d’imiter les riches ; mais, étant donné que les riches eux-mêmes deviennent sans cesse plus vulgaires, ce résultat final ne s’en ramène pas moins à un progrès généralisé de la vulgarité… Le défaut de contact personnel entre les entreprises industrielles et une masse de consommateurs anonymes accroît encore la tendance à viser plutôt trop bas que trop haut en cherchant à aller, par principe, aussi loin que possible dans le sens supposé du goût de la couche inférieure.
Un peu à la manière de Céline dans son Voyage, De Man plonge dans une vision vertigineuse de la nullité de la vie moderne, du quotidien, comme disait Lefebvre :
L’expression sociologique de cette vérité est le sentiment de nullité qui s’empare de l’homme d’aujourd’hui lorsqu’il comprend quelle est sa solitude, son abandon, son impuissance en présence des forces anonymes qui poussent l’énorme machine sociale vers un but inconnu. Déracinés, déshumanisés, dispersés, les hommes de notre époque se trouvent, comme la terre dans l’univers copernicien, arrachés à leur axe et, de ce fait, privés de leur équilibre.
Mais non : comme le prévoyait Debord, Nietzsche ou Dostoïevski, les hommes ont bien digéré tout cela et ils se sont très bien adaptés ! Comme me le disait Ambroise, le fils d’un vieil ami, on les chips et la télé !
Henri de Man, L’Ère des masses. Traduit par M. Delmas.