On le sait, l'Islam a un problème fondamentale. Sa réforme. Ainsi, tant que les dignitaires représentant l'ensemble des courants n'arriveront et ne voudront jamais réformé cette jeune religion monothéiste, les problèmes entre pratique modérer et courant fondamentaliste se heurteront a la loi du plus fort. Et actuellement, le plus fort, c'est le dogme radicale, fondamentaliste, qui poussent même parfois ceux qui en sont les percepteurs, se prétendre modernes et modérés, pour mieux glissé leurs penchant radicaux dans des sphères ou finalement, le manque d'éducation, de clairvoyance et de philosophie, fait basculé bon nombre de musulman dans des voix qui frôlent la radicalisation sans en montré la couleur. D'ou justement toute la complexité de la république a faire valoir à la fois la liberté de culte, et protéger ses libertés et ses traditions, face a la monté d'une confrontation idéologique et culturelle évidente, et inévitable. Car à un moment le deux poids deux mesures ne suffira plus a calmer les esprits, tant certains profitent des ambiguïtés et des laxismes pour jouer a des jeux dangereux, jusqu'a fréquenté ceux qu'on veux croire fréquentable, sans l'être réellement, au vu du fond qui parfois ne correspond pas à la forme.
Rappel que depuis l'époque de Mitterrand, a plusieurs reprises, des gouvernements ont tenté de créer des instances afin de donner a l'islam de France, des outils théologiques et d'études, pour l'intégrations et la compréhension de la religion musulmane en France. Malheureusement, tous ces organismes dont le Conseil de réflexion sur l’Islam de France créer en 1990 ou plus récemment le CTMF (Conseil Théologique Musulman de France) n'arrivent pas a caché que partout en France, des Imams ou des représentants de mouvances souvent liés aux frères musulmans, voir même aux conservateurs Qataris et Saoudiens, prêchent parfois la haine de la France, sous couvert du silence ou de l'abnégations de beaucoup de musulmans.
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