samedi 26 novembre 2016

BREIZ ATAO SOUS LA MENACE

Breiz Atao, comme son nom l'indique, est un site d'information français..... pardon, autant pour moi, "breton" (en breton « Bretagne toujours ») qui fait parti de ces sites de réinformation qui dérangent. Apparu en 2010 sur le web, Breiz Atao est en fait le prolongement d'un journal d'information et de propagande nationaliste breton apparu en 1918, sporadiquement édité jusqu'en 1944, mais qui par la suite a subit des amalgames par une certaine collaboration avec l'occupant allemand. Mais la nouvelle ligne politique lancé par le site en 2010, se voulait de reprendre l'idée d'indépendance des origines, sans non plus oublié son passé trouble de l'occupation.
Le site fera beaucoup parler de lui par des règlements de comptes idéologiques, du fait que l'un de ses éditeurs, Boris Lelay, n'y avait pas été de main morte sur la ligne idéologique du site, connu pour être sur des thématiques nationalistes, telles que l'indépendance de la Bretagne vis-à-vis de la France, des revendications culturelles et linguistiques, en opposition radicale à l'immigration de masse ou encore à l'islam. Surtout ses propos concernant des élus socialistes, qu'ils considèrent globalement comme des traîtres à la nation, allant même jusqu'a utilisé des termes "raciaux" qui en effet, ne pouvaient pas être sans sanctions pour leurs usages. Mais les procédures judiciaires engagées, ont été instrumentalisés pour tenter de faire taire le site, comme son éditeur, qui a finit par se réfugié au Japon, du fait qu'il sentait bien qu'on voulait sa tête. Aujourd'hui, Boris Lelay continu sur Youtube, comme sur Facebook, alors qu'il a après condamnation, un mandat d'arrêt sur sa tête pour ne pas s'être présenté a son dernier jugement, qui l'a condamné a 2 ans de prison ferme.
http://breizatao.com/2016/11/26/pris-de-panique-le-gouvernement-socialiste-veut-censurer-breiz-atao/

NDL: il ne s'agit pas d'une promotion du site, mais d'un exemple de ce que la volonté de restreindre des voix dissidentes est à l'heure actuelle, en oeuvre. Car si Boris Lelay a commis en effet des impairs de langage, la justice aurait du le condamné a hauteur de son délit verbale. Mais au lieu de cela, la justice a été saisit dans le but de le faire taire et de tuer le site.

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