mardi 24 avril 2018

CONFLIT D’INTÉRÊTS


Une femme contrôlée, habillée d'un niqab, et c'est le début de ce sempiternel conflit d'intérêt qui consiste a faire passer comme un abus policier, tout acte à l'encontre de musulmans qui expriment trop clairement leurs fondamentalismes religieux. Un fondamentalisme, qui rappelons le, prône que le Coran passe avant la loi de la république. 

Mais de toutes les manières, a quoi çà sert de chercher des raisons, des causes, quant cela sert systématiquement des individus qui cherchent a provoquer un conflit avec les forces de l'ordre, et en l'occurrence, la république, pour affirmer leurs pouvoirs, leurs dominations a faire plié les institutions, trop peureuses d'être accuser de racisme, et d'islamophobie. Et en première ligne, une racaille locale qui ne manque pas une occasion pour mettre le feu. Et comme la république est émasculée depuis longtemps, la peau d'un flic vaut moins que celle d'un pauvre petit de banlieue, qui plus est français ou étranger, issue de l'immigration, musulman de surcroît, sur qui l'on compte tôt ou tard pour mettre le feu dans la société et ainsi faire diversion sur la vente pure et simple du pays à la finance et au capitale. Celles ci, qui ont déjà un pied dans le pouvoir avec Macron, et qui sont en train de vidé la république de sa substance pour tôt ou tard instauré une dictature et finir par "nettoyer" le pays, non sans avoir convaincu le peuple d'abandonné ses droits, ses libertés fondamentales, au profit de la sécurité.
Les jeux sont fait !

Première version : À la suite d’une investigation avec le média islam&info, nous avons pu prouver de manière factuelle que l’interpellation de Toulouse est un tissu de mensonge dont, de manière factuelle, nous avons pu savoir ce qu’il s’est véritablement passé : Insultes islamophobes et pornographiques, menace de mort, humiliation. C’est cette intervention policière qui a plongé les habitants du Mirail dans la colère face à l’interpellation violente et injustifiée d’une mère de famille laissant derrière elle, deux petites filles de 4 et 5 ans laissées seules au milieu des tirs lacrymogènes de la Police.


Deuxième version ;
Souvenez vous de l'affaire Théo, qui a été monté en épingle par toutes les sphères humanistes gaucho bobo, et qui s'est avéré être bel et bien une confrontation entre police et un individu refusant toute autorité, et qui, par acte de violence, a finit par déraper. Un scénario journalier que l'autorité rend compte, mais dont le politique se passe de prendre en considération pour mettre le point sur la table, et rétablir un état de droit face a des individus que depuis des décennies s'en sont affranchi. 

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