"« La droite allemande a imposé lundi à la chancelière Angela Merkel un ultimatum de deux semaines pour une solution européenne au défi migratoire, faute de quoi le pays fermera ses frontières au risque de provoquer une crise nationale et en Europe."
Et si..... oui, et si c'était le début de la fin du règne de Angela Merkel ? Son esprit mondialiste, sa politique migratoire, sa dominance fédéraliste européenne, ne sont ils pas en train de lui revenir en pleine face.
Car si l'on a souvent l'impression que l'Allemagne est constituer essentiellement d'allemands progressistes et sociaux démocrates, c'est oublié que Merkel a souvent gagné sur des principes de bases qui n'étaient pas partager par un grand nombre. Surtout les allemands de l'ex Allemagne de l'Est, dont elle est pourtant issue, qui ont été les premières victimes de sa politique ultra libérale, et d'un "remplacement" qui ne dit pas son nom, mué par un dumping social typiquement anglo saxon, qui aujourd'hui est en train de remonté à la surface.
Si l'on pense que l'Allemagne ne retombera pas dans un nationalisme pur et dur, c'est oublié que l'allemand en a peut être assez de l'émasculation qu'on lui a imposer depuis 70 ans, surtout de la part d'américains qui ont toujours voulu garder le contrôle. Contrôle qu'ils ont petit à petit perdu, économiquement parlant, ayant entre aperçu un allemand décidé a ne plus se laisser marché dessus dans sa façon de commercer, et de protéger ses intérêts économiques. Mais la croissance commençant a se tasser, le modèle allemand à commencer aussi a perdre de son "exemplarité", de sa superbe auprès de ses partenaires européens. Sans compter le dumping social massif qu'à apporter les vagues de migrants, qui a sans doute été l'erreur fatale de la chancelière, croyant que massivement, l'allemand accepterait sans broncher d'être humaniste et charitable à ce point.
L'échec de l'Union Européenne, dont l'Allemagne est le pilier avec la France, à noircit le tableau, obligeant a commencer a revoir sa copie pour une politique plus protectionniste, au grand effroi des européistes fanatiques qui ont vu là une Allemagne commençant a se replier sur elle même, avec une progression politique conservatrice et notoirement de droite protestante, qui démolit les espoirs de domination absolue de la chancelière sur le pays. L'arrivé de Trump à la Maison Blanche n'a pas arranger les choses, puisque les relations se sont quelque peu tendues, même si sous Obama, çà commençait a vouloir reprendre un peu d'autonomie, face aux donneurs d'ordres de Wall Street et de Washington. La volonté de rapatrier ses réserves d'or était déjà un signe, que l'Allemagne n'avait plus confiance en son partenaire américain, bien décidé a diriger l'Europe sans passer par un intermédiaire (en l'occurrence, appliquer la politique mondialiste de la finance internationale et des multinationales, plutôt que celle de Wall Street et des monarques conservateurs américains).
Mais c'était sans compter que l'idéologie unipolaire tant convoité, ne pourrait être laisser aux allemands. Car la guerre économique entre les entités présentes en ce monde, ont poussé l'Allemagne a miser sur un double jeu, qui a finit par rendre incompatible l'économie, et la politique. Surtout avec la Russie et la Chine, qui sont des marchés importants pour l'économie allemade, et dont les industriels allemands commencent a en avoir assez de se voir systématiquement mettre des bâtons dans les roues par les intérêts protectionnistes américains. Conflits d'intérêts majeurs qui commencent à peine a déraper dans le paysage politique, à contrario de ce que Merkel avait pour mission de mettre en place.
Les montés populistes et nationalistes dans certains pays d'Europe, dont son voisin autrichien, n'arrangent rien à l'affaire, et sont en train d'influencer les mentalités, en supplément des problèmes de sécurités majeurs auxquels le pays est actuellement confronté en liens avec des populations clairement non intégrés ou non assimilés, que cela soit avec les migrants, ou, comme en France, avec des populations issues de l'immigration qui au fil des années, ont démontrer une nette volonté de ne pas se soumettre aux styles, aux valeurs, aux lois, à la tradition de la société allemande.
Situation explosive qui aujourd'hui est en train d'impacté le règne de la chancelière, qui selon les dires, serait aussi dans le collimateur de Washington, qui la considère comme n'étant plus le bon petit soldat ultra libérale qu'ils étaient bien content d'avoir sous la main. La récente déconvenue électorale et l'obligation de trouver une coalition avec un parti ultra conservateur, anti migrants et légèrement populiste, est sans conteste considéré comme le début du déclin de la prêtresse qui depuis quelques semaines, perd de plus en plus de crédibilité et d'influence, au point qu'on est déjà dans l’expectative d'une démission, d'un retrait, d'une fin de règne.
NDL : ne jamais oublié que culturellement, l'allemand est pragmatique et rigoureux, malgré ce qu'on en a fait dans certaines grandes agglomérations, c'est à dire des bisounours décérébrés et infantilisés, les mêmes qu'on à la maison et qui sont souvent des idiots utiles à l'idéologie démagogique et humaniste de gauche, d'une pensée unique qui ne fonctionne plus.
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