L'affaire Benalla va plus loin que la simple faute d'un homme de la sécurité présidentielle.
C'est la déferlante de combines, d'avantages, de passe droits, que la république octrois au détriment de l'éthique et même, du droit fondamental, a des gens qui par leurs niveaux d'autorités, et de pouvoirs, passe au dessous des radars de la justice, et de la responsabilité envers le peuple souverain. Des gens qui ont toujours été là, mais dont les attitudes, les réputations, les actions, ne sont pas sans rappeler pour les un, une époque noir de collaboration avec un occupant, pour les autres, une image dans l'inconscient collectif de ce qu'a été une certaine URSS, avec ses hommes de l'ombres, que même les dirigeants du pays ne contrôlaient pas. A l'image finalement de ce que Trump à sur le dos de puis sa victoire, c'est à dire un état profond, indéboulonnable pour qui travail des "barbouzes" qui réussissent a se glisser là ou on n'imagine même pas qu'ils sont.
Comme certains aiment a le dire, c'est un peu l'un des visage de la ripoublique qui s'affiche. Même si dans le cas de Benalla, on a plutôt affaire a un pauvre type, dont le système a donner des droits, qui lui sont monté à la tête, par manque de maturité et de trop grande confiance en soit. Sans aucun doute, Benalla est compétent pour assuré la protection de son président, mais s'est laisser piégé par des à cotés comme un amateur.
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