L'affaire Benalla devient presque secondaire tant elle a affiché quelque chose de plus grave. Le fait que les gardes fous et instances chargées d'assurer le système et ses institutions, ne fonctionne plus correctement.
Car le fait du principe d'une majorité parlementaire est une institution dans le fonctionnement de la république, ou tous du moins dans son fonctionnement législatif. Mais lorsque la république dérape, les institutions restent dépendantes de ce principe, et n'arrivent pas a faire ressortir des vérités et des valeurs, tant on est dans le principe de partisanerie politique, qu'au service de la nation et du peuple souverain.
Pire, est la situation, quant une majorité est constituée de dogme, de religion (idéologiquement parlant, par rapport au culte que l'on défend envers une personnalité politique en place), défendues par certains députés parfois maladroits, immatures, ou incompétents, qui volontairement sabotent ou sabordent des commissions pour tenté de protéger des personnalités, des pouvoirs, des apparences. Et vu comment se sont déroulées les auditions dans l'affaire Benalla, on est en droit de s'interroger si finalement, nous ne sommes pas témoins de la ruine de la république qu'on essaye justement, de montré en tant que telle, pour pousser les français a admettre, qu'elle ne fonctionne plus (ou que justement peut être qu'elle n'a toujours été qu'une illusion) et qu'un changement de régime serait peut être l'avenir de la France......
Toujours chercher a qui profite le crime. Et la chute de Macron, pourrait être justement un bénéfice à ceux qui veulent instauré au mépris des intérêts de la souveraineté du peuple, et de ses libertés fondamentales, un système qui vendrait notre âme à l'ultra libéralisme et mondialisme exacerbé. Ce qui, dans cette théorie, permettrait presque de comprendre comment un homme comme Macron a finalement réussit a être mis au pouvoir.
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