dimanche 2 septembre 2018

DÉRIVE

Au lieu d'accepter le fait qu'il y a une malaise, Merkel considère la colère de la rue vis à vis des agressions comme étant l'expression d'une haine de l'extrême droite. Facilité d'assimilé l'opinion à une idéologie anti migrants lorsqu'il s'agit de justice pour des victimes qu'on veut cacher.

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