Le fait est que si aujourd'hui on tanne tout le monde avec le masque, pourquoi alors avoir laisser des professionnels continuer à travailler en Mars et Avril, alors en rupture de masque ? C'est au moins ce qu'un syndicat de police à voulu savoir pour se réservé le droit de mettre le ministre de l'intérieur de l'époque, devant cette responsabilité.
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