La haute autorité de santé prête a accepter le remboursement sur une prise en charge avec le remdesivir, mais sous des conditions conformes à ce que le traitement peut être acceptable d'opérer, c'est à dire sur des pathologies précises. Mais apparemment, les conditions semblent ne pas rentrées dans le cahier des charges de Gilead qui a retiré sa demande. Du coup, la HAS ouvre la porte à d'autres concurrents !
17 septembre 2020 Depuis l’apparition de la COVID-19, la communauté internationale est mobilisée pour trouver des traitements de cette infection virale. Le remdesivir a été le premier à obtenir une autorisation de mise sur le marché (AMM) et à déposer un dossier pour être remboursé dans la prise en charge de ses formes sévères. Le laboratoire Gilead a retiré sa demande de remboursement du remdesivir après avoir eu connaissance des conclusions provisoires de la commission de la transparence de la HAS (Haute Autorité de Santé) . La HAS prend acte de ce retrait malgré un avis favorable au remboursement et publie son avis.
NDL : il semble que dans les instances, des gens n'acceptent pas les yeux fermés de laisser un traitement sur le marché, entièrement couvert au remboursement, alors qu'il est déterminé comme ayant énormément de contraintes dans la prescription.
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