Un temps, c'était le mouton noir des banques centrales, qui disaient que s'était dangereux, extrêmement volatile, mais, surtout, parce qu'elles n'avaient de fait aucun contrôle sur lui. Lui, c'est le Bitcoin, c'est la cryptomonnaie. La monnaie digitale, celle créer pour refluidifié les flux, étendre le champs spéculatif, hors champs des monnaies fiduciaires classiques. Mais çà, s'était avant....
Avant que les marchés s'ésoufflent, ne rapportent pas assez ou trop peu, en dehors des investisseurs gargantuesques qui sauvent encore les apparences du CAC40, du Downjones, du Nikkei, et consort. Avant que des gamers, des cracks de l'informatique, des geek s'invitent dans un nouveau marché et fassent pété des durites aux banques centrales sur des coups spéculatifs furtifs.
Du coup, les banques centrales se sont dit "et pourquoi pas finalement, puisque de toutes les manières au point ou on en est..."
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