La France est confronter à une forme d'impasse. Les salaires.
Son système demande des ponctions obligatoires sur les revenus parce que c'est le principe de la fiscalité, et des spécificités des régimes sociaux. Le problème c'est que cette spécificité française n'est évidemment pas compétitive. D'ou l'impasse des discours rassurants, mais qui en réalité cache une réalité tout autre. C'est qu'à force d'alimenter un système pourtant envié pour sa justice sociale, on finit par y laisser des plumes. Surtout lorsqu'on y a laisser planer un manque de transparence, et que du coût de plus en plus de français se posent la question "mais ou va l'argent ?".
Les plumes, ce sont ceux qui ne peuvent plus joindre les deux bouts. Certes, l'objectivité devrait nous amener a une prudence sur chaque cas. Car entre les français qui clairement ne peuvent plus joindre les deux bouts avec le minimum de subsistance, d'autres, font preuves quand même d'un "consumérisme" qui évidemment alourdi leurs factures. Mais globalement, on ne peut pas nier qu'il y à du sable dans la mécanique.
Par exemple, aux USA, les bas salaires ont finit par se retourner contre ceux qui les pratiquaient, au point même de ne plus trouver de main d'oeuvre qualifiée (ou sinon qui reste 6 mois, pas plus, pour ensuite touché le chômage) d'autres enseignes ont finit par faire l'effort, non sans revoir la copie des budgets. Car oui, lorsqu'on passe de 7 dollars de l'heure à 10 ou 12, les QG doivent aussi donner le change auprès des actionnaires et donc réduisent des budgets sur d'autres secteurs comme la maintenance, l'entretien, voir passer à l'usage de prestataires extérieurs, voir l'automatisation de certaines tâches.
L'autre problème, ce sont les pouvoirs publics qui ne font pas non plus d'efforts pour faciliter une adaptation et une modulation du système pour réduire les inégalités. Le fait que la libéralisation c'est satisfaire le besoin d'abondance, pour faire tourner la machine ultra libérale, et que là dessus, l'état c'est laisser véroler pour ne pas mettre de régulation afin d'éviter le gâchis, les pertes, le fait de jeter des produits parce que sinon, ça nuirait "le marché".
Et évidemment, pas besoin de relancer le sujet du niveau des salaires en comparaison avec ce que la productivité d'un seul, permet de générer à terme en marges et profits, dont la petite main n'est pas convier à en avoir une part des bénéfices.
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