Depuis quelques temps, on sent que les dirigeants et médias perdent le contrôle de l'opinion sur l'Ukraine. Parce que l'opinion se rend bien compte que Zelensky n'aura pas les moyens de repousser la Russie. Et la communauté internationale tergiverse en effets d'annonces pour dire finalement tout et son contraire afin de cacher que de toutes les manières, personne n'a envie de sacrifier des compatriotes pour l'Ukraine. Mais voilà, la perte de confiance ne plaît pas à ceux qui tirent profit de cette guerre. Alors il faut faire peur à l'opinion. Jouer le spectre de la troisième guerre mondiale, de l'arme nucléaire. Surtout aux USA, ou en pleine campagne, Biden a besoin d'effrayer une partie de son électorat qui s'éloigne de plus en plus à cause d'Israël. Alors des effets d'annonces comme celle ci, ça n'est que de la politique, rien que de la politique.
Chef du Pentagone : Si l’Ukraine est vaincue, l’OTAN sera en guerre contre la Russie.
Source Aube Digitale
Il s’agit de la déclaration la plus importante, la plus dangereuse et la plus révélatrice faite par un haut responsable de la défense en Occident depuis longtemps… Elle démontre également l’urgence précaire du moment et les enjeux énormes à l’approche des élections américaines de novembre. Le monde se trouve véritablement au bord d’un cauchemar nucléaire avec la nouvelle affirmation du secrétaire à la défense de Joe Biden, Lloyd Austin, qui a déclaré devant le Congrès jeudi :
« Si l’Ukraine tombe, je crois vraiment que l’OTAN sera en conflit avec la Russie », a déclaré Austin.
Qui plus est, cette déclaration a été faite le jour même où le président russe Vladimir Poutine a averti que la situation pourrait facilement dégénérer en guerre nucléaire si l’OTAN envoyait des troupes en Ukraine. Regarder :
Le récit consensuel et l’aveu tardif des médias dominants sont donc que l’armée ukrainienne est à quelques mois d’une défaite claire, et le principal responsable de la défense américaine vient de déclarer que l’OTAN entrera en guerre avec la Russie « si l’Ukraine tombe ».
Le conflit a atteint un point critique et dangereusement imprévisible, et il est clair que les chances, déjà minces, de lancer des négociations de paix sérieuses pour mettre fin à la guerre s’éloignent rapidement.
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