Rebondissement sur l'auteur de la bombe de Nashville.
Plus d'un an avant qu'Anthony Warner ne se suicide dans une énorme explosion le matin de Noël à Nashville, la police s'est rendue chez lui après que sa petite amie les ait avertis qu'il fabriquait des bombes dans son camping - car.....
Dans un rapport d'incident du 21 août 2019, la police de Nashville a demandé au FBI d'enquêter sur Anthony Warner, après avoir répondu à un appel de la petite amie de Warner qui faisait des menaces suicidaires . La police a déterminé qu'elle avait besoin d'une évaluation psychologique, mais a averti que Warner « fabriquait des bombes dans sans camping car à sa résidence ».
La police a également été informée par Raymond Throckmorton III, un avocat qui a déclaré qu'il représentait M. Warner et sa petite amie, que M. Warner «parle fréquemment de l'armée et de la fabrication de bombes», selon le rapport. Contacté par le Wall Street Journal, M. Throckmorton n'a pas voulu faire de commentaire.
Lorsque la police s'est rendue au domicile de M. Warner dans le quartier d'Antioche de Nashville en août, les agents ont vu un véhicule de type camping car stationné dans la cour clôturée mais ne pouvaient pas voir l'intérieur du véhicule, selon le rapport. Ils n'ont obtenu aucune réponse lorsqu'ils ont frappé à la porte de M. Warner. La police a déclaré dans un e-mail mardi qu'elle n'avait vu aucune preuve d'un crime à l'époque et qu'elle n'avait aucune autorité pour entrer dans la maison de M. Warner ou dans la propriété clôturée.
Selon le rapport de police, le département de police de Nashville a informé l'unité des dispositifs dangereux de son département et a demandé au FBI de rechercher Warner dans ses bases de données . Le lendemain, l'agence a rapporté qu'elle n'avait "trouvé aucun dossier" - alors qu'une demande du FBI au Département de la Défense "était également négative".
L'unité des dispositifs dangereux a contacté l'avocat de Warner, Throckmorton, qui a déclaré que Warner ne permettrait pas à la police d'accorder une inspection visuelle de son VR .
"A aucun moment il n'y a eu de preuve d'un crime détecté et aucune mesure supplémentaire n'a été prise", a déclaré la police mardi.
"Si nous devions agir comme un mandat de perquisition, nous aurions probablement dû avoir [sic] cause", selon le Journal , citant le porte-parole du FBI de Memphis, Joel Siskovic. "Nous n'étions même pas au stade où un crime avait été allégué."
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