De plus en plus, le recule que nous avons maintenant avec la pandémie et son remède miracle, forge à constater que ce que l'on a tenter de détruire par le passé, s'avère évident désormais.
Les effets secondaires qui étaient bien connu des labos mais qui par compromission, arrangement, ont reçu l'aval des autorités pour l'usage de leurs produits, en acceptant les risques que chez certains sujet, cela ait des conséquences, à court terme, comme permanent.
Difficile pour le profane de s'y retrouver dans la cacophonie de ce qu'on peut lire ou entendre sur le web. Des cas rares, particuliers, mis en avant comme étant un risque pour la généralité, des cas avérés mineurs ou majeurs, qu'on tente de dénaturer, discréditer, et surtout des gestions administratives et législatives sur lesquelles reposent pas seulement des question de santé publique, mais surtout de soumission, de mise sous tutelle, sous jacent un test de résilience des peuples.
Sauf que des organismes officiels, ont commencer à devoir admettre des faits. Des faits contradictoires de ce que des autorités ont toujours chanter sur les toits. Et concernant la myocardite post-vaccinale, difficile désormais en ignorer l'existence factuelle.
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