samedi 23 mars 2024

SPECULATION

Attentat de Moscou : 43 morts; 110 blessés: L'attaque, typique de l'État islamique, et revendiqué par l'Agence arabe de l'EI, a été méticuleusement organisé par un petit groupe compacte et bien entraîné qui a tiré dans le même modus operandi que les attentats du Bataclan et contre les restaurants du 11 ème arrondissements de Paris. 

Méthodologie également prisée par les jihadistes caucasiens daguestanais-tchétchènes d'ailleurs à la fois liés au jihad syrien face aux armées de Bachar et de son allié Poutine et à certaines légions ukrainiennes combattantes accueillies au sein de la mouvance Azov ... 

Rappelons que, loin d'être de la propagande russe, l'attentat imminent avait été redouté par les services américains le 8 mars dernier, qui avaient déconseillé aux Occidentaux de rester à Moscou. Quant au FSB russe, il avait démantelé une tentative d'attentat jihadiste contre un synagogue de Moscou.

Alors que Nuland avait promis de "méchantes surprises" à Poutine, le renseignement américain s'empresse d'accuser l’Etat islamique d’être responsable de l’attentat


Alors que Nuland avait promis de «méchantes surprises» à Poutine, le renseignement américain s'empresse d'accuser l’Etat islamique d’être responsable de l’attentat

Les services de renseignement américains ont fait le tour des agences de presse pour faire passer un message: il n'y a «aucune raison de douter» de la responsabilité de l'Etat islamique, dont une revendication est apparue sur un canal Telegram.

Message désormais martelé partout et pris comme argent comptant, et ce même si la Russie n'a pas encore communiqué sur le sujet.

Avant cela, Washington avait immédiatement dédouané le régime de Kiev, affirmant quelques minutes après l'attaque que «rien n'indiquait que l'Ukraine ou des Ukrainiens soient impliqués dans cette fusillade».

«Sur quelle base les fonctionnaires de Washington tirent-ils des conclusions, au milieu de la tragédie, quant à l'implication de quiconque ?», s'était alors interrogée Maria Zakharova.

Elément troublant mais qui ne prouve évidemment rien en l'état, juste avant son départ du département d'Etat, Victoria Nuland expliquait que «le financement supplémentaire [à l'Ukraine] permettra d'assurer que Poutine soit confronté à de méchantes surprises sur le champ de bataille».

 Les services de renseignement américains ont fait le tour des agences de presse pour faire passer un message: il n'y a «aucune raison de douter» de la responsabilité de l'Etat islamique, dont une revendication est apparue sur un canal Telegram.

Message désormais martelé partout et pris comme argent comptant, et ce même si la Russie n'a pas encore communiqué sur le sujet.

Avant cela, Washington avait immédiatement dédouané le régime de Kiev, affirmant quelques minutes après l'attaque que «rien n'indiquait que l'Ukraine ou des Ukrainiens soient impliqués dans cette fusillade».

«Sur quelle base les fonctionnaires de Washington tirent-ils des conclusions, au milieu de la tragédie, quant à l'implication de quiconque ?», s'était alors interrogée Maria Zakharova.

Elément troublant mais qui ne prouve évidemment rien en l'état, juste avant son départ du département d'Etat, Victoria Nuland expliquait que «le financement supplémentaire [à l'Ukraine] permettra d'assurer que Poutine soit confronté à de méchantes surprises sur le champ de bataille».

L'EI publie une photo des 4 assaillants de la salle de concert. 

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