mardi 16 juillet 2024

VOILA VOILA ! ! !

 

Un vice-président très mondialiste!

 https://conscience-du-peuple.blogspot.com/2024/07/un-vice-president-tres-mondialiste.html

Vance, le vice-président choisi par Trump, est l'associé commercial du milliardaire Peter Thiel qui siège au comité directeur du groupe mondialiste Bilderberg et est le fondateur de Palantir, qui fournit des services de surveillance et d'autres technologies pour le Pentagone et les réseaux de renseignement. Une start-up spécialisée dans le big data et soutenue par la CIA.

Thiel et Vance ont investi également dans Rumble et financent «l’application de prière» catholique romaine Hallow promue par des personnes comme Russell Brand. Thiel faisait partie de l’équipe de transition de Trump après avoir remporté les élections en 2016.

La société de "big data" Palentir, qui utilise les mégadonnées et l'intelligence artificielle, a signé un contrat avec l'administration Trump  👉pour traquer chaque vaccin qui sera injecté à des millions d'Américains. Chaque injection a été suivie par un système informatique des HHS construit par Palantir Technologies Inc. et Oracle Corp. (Big Data).


POUR RAPPEL EN 2016 - https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/secrets-d-info/palantir-l-oeil-americain-du-renseignement-francais-9424426

Un contrat dans l’urgence

Finalement, Palantir ne sera pas retenue sur ces marchés publics. 

Mais en mai 2016, la start-up de Peter Thiel et Alex Karp décroche un contrat de 10 millions d’euros auprès du renseignement intérieur français, la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure). "Nous étions après les attentats de 2015, rappelle Guillaume Farde de la société Risk and Co. Dans un contexte de menace extrêmement élevée, nos services avaient besoin, dans l’urgence, de capacités techniques de renseignement. Mais il n'y avait pas d'opérateur national capable de répondre à cette demande. Les services de renseignement n’avaient pas le choix."

En réalité, la DGSI a eu le choix entre un fournisseur américain et un israélien. C’est l’option américaine qui l’a emporté. "Nous ne manquons pas de données, ni de métadonnées, mais nous manquons de systèmes pour les analyser, déclare le patron de la DGSI, Patrick Calvar, devant la Commission de la défense de l’Assemblée nationale, le 10 mai 2016. Les entreprises françaises qui développent des systèmes ne sont pas encore capables de répondre à nos besoins, alors que nous devons acquérir ce big data immédiatement. Nos camarades européens sont dans la même situation."

À l’époque, le directeur de la DGSI parle de "solution temporaire".

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire