mardi 7 janvier 2025

PROPOS

 Antony Blinken, secretaire d'état entre autres fonctions sous les mandats Obama et à la sécurité sous Biden : dans un monde juste (qui n’existe pas), ses propos dans l’interview du New York Times pourraient servir de base à une inculpation pour crimes de guerre en vertu du droit international.

En effet, il concède que son administration a sponsorisé la privation de nourriture des Palestiniens et que son administration a continué à armer l’État qui, admet-il, refusait de nourrir les gens. Ce que l’on mentionne le moins à propos de Blinken, c’est que son premier choix de carrière a été de faire un stage au New Republic lorsque le magazine était plus violent et extrémiste que d’autres publications sionistes comme Midstream ou Commentary. Il a travaillé pour un magazine qui était publiquement et explicitement raciste et intolérant. Il faut régulièrement mentionner que des gens comme Blinken sont sionistes parce qu’ils sont fondamentalement racistes et intolérants. Le sionisme offre un refuge aux racistes et aux intolérants anti-arabes/anti-musulmans

L’intervieweur du NYT a remarqué que Blinken admettait qu’Israël avait commis des crimes de guerre, il a donc fait marche arrière :
« Refuser l’aide alimentaire est considéré comme un crime de guerre. Et donc ce que vous me dites, c’est qu’en fait, ils ne voulaient même pas fournir de nourriture ? »
Le secrétaire d’État américain admet que c’est toute la société israélienne qui est génocidaire :
« Il ne s’agissait pas seulement du Premier ministre ou d’un dirigeant israélien. Il s’agissait d’une société entière qui ne voulait pas qu’une quelconque aide soit apportée à un seul Palestinien de Gaza. »
À moins que la colonie d'apartheid d'Europe de l'Est ne soit démantelée et que la méchante machine de la mort de l'empire américaine impériale blanche soit EXPULSÉE de la région, il y aura horreur après horreur après horreur jusqu'à la fin des temps.

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