Comme vous le savez déjà, les Pakistanais sont souvent représentés dans les crimes (notamment les viols sur les femmes et les enfants).
Je me suis donc dit qu'il serait intéressant de vous apporter des éléments afin de vous apporter des réponses sur ces atrocités.
Evidemment, pas de généralisation, puisque c'est une question de culture importée en l'état, qui est en question, non un jugement des personnes d'origines pakistanaises qui comme pour beaucoup de communauté, représentent la diversité intégrée et moderne de leurs communautés.
1 - Une éducation catastrophique. En effet, l'éducation au Pakistan est marquée par des normes islamistes qui enseignent aux jeunes filles qu'elles sont inférieures et doivent se soumettre à l'autorité masculine. Les femmes victimes de viols sont fréquemment accusées de provoquer l'agression et subissent des représailles, y compris la violence familiale et sociale. Ces pratiques monstrueuses, renforcent une culture du viol et de l'impunité, incompatibles avec les principes de justice, de dignité et de respect des droits humains que défendent les sociétés avancées.
2 - Le pays le plus consanguin du monde. Selon Reproductive Health, 70% des mariages au Pakistan sont consanguins, une pratique qui engendre des conséquences graves sur la santé et les relations sociales. La consanguinité contribue également à des normes répressives qui obligent les femmes à faire abstraction de leur liberté pour choisir leur mari en raison de l'influence persistante des pères consanguins qui sont contre cela. De plus, cela contribue de manière significative aux violences sexuelles au sein des familles, où les femmes ne peuvent pas s'exprimer sous peine d'être torturées, violées à nouveau, et de tout perdre.
On remarque également que 4,6 millions de femmes ont été mariées avant 15 ans, et 18,9 millions avant 18 ans. Et selon l'UNICEF, 40% d'entre elles auraient déjà accouché avant l'âge de 18 ans, ce qui montre que la pédophilie est profondément ancrée au Pakistan.
3 - Une justice laxiste qui protège les violeurs. Selon L'Express, seulement 0,3% des cas de viol au Pakistan aboutissent à une condamnation, un taux de justice extrêmement faible qui illustre l'inefficacité du système judiciaire pakistanais. Cette statistique révèle non seulement un laxisme juridique, mais aussi une culture du viol très ancré, où les victimes sont souvent ignorées ou discréditées, et même accusées d'avoir cherché.
En raison de ces lacunes, les viols au Pakistan sont souvent perçus comme des actes sans conséquence, renforçant la culture de l'impunité. Les agresseurs savent que même si leurs crimes sont signalés, les chances d'une condamnation sont extrêmement faibles, ce qui conduit à une persistance des violences sexuelles. Le faible taux de condamnations pour ces crimes, contribue à une atmosphère où la violence sexuelle devient systématique.
4 - Des traditions sauvages. Ces pratiques cruelles et archaïques existent depuis plusieurs siècles au Pakistan. Bien qu'elles soient interdites par la loi officiellement, elles persistent officieusement dans les normes sociales et par l'influence des coutumes locales par rapport à l'islam. Qu'il s'agisse de viol, de torture, d'esclavage, de meurtre ou d'autres actes abominables, on y trouve toutes les pires souffrances inimaginables.
- Karo-Kari Le karo-kari est une pratique barbare au Pakistan où des femmes sont accusées de ternir l'honneur familial, sont tuées ou soumises à des violences, y compris des viols. Souvent approuvée par des jirgas (conseils tribaux), cette pratique combine meurtres et agressions sexuelles comme forme de punition collective. Bien qu'officiellement interdit, cela persiste dans certaines régions rurales.
- Les mariages précoces. Les mariages d'enfants restent courants au Pakistan, particulièrement dans les zones rurales. Les filles, parfois âgées de seulement 10 ans, sont mariées de force. C'est une pratique pédophile très courante dans les pays islamistes.
- Attaques à l'acide. Les agressions à l'acide ciblent principalement des femmes qui rejettent des propositions de mariage ou des avances. Cette pratique barbare entraîne des blessures graves, des cicatrices permanentes et un traumatisme psychologique profond.
- La flagellation publique. La flagellation publique au Pakistan est une pratique brutale, souvent ordonnée par jirgas dans des zones rurales sous des régimes islamistes. Elle est utilisée pour punir les femmes accusées de comportements "immoraux" comme des relations hors mariage ou le refus de se marier.
- L'esclavage sexuel. Des femmes et des filles, souvent vulnérables, sont vendues ou échangées pour des services sexuels ou comme épouses contre de l'argent. Ces victimes sont réduites à de l'esclavage domestique, subissant des violences physiques et des viols.
5 - La stigmatisation des victimes. Au Pakistan, les victimes de viol sont stigmatisées et ne portent quasiment pas plainte à cause des raisons que j'ai déjà citées, et elles sont souvent perçues comme responsables de l'agression. Ce phénomène est renforcé par une culture islamiste qui culpabilise les femmes, les considérant comme inférieures et les réduisant à des objets à protéger plutôt que des individus à respecter. Cette mentalité empêche toute justice et encourage l’impunité des agresseurs.
6 - Le racisme (principalement anti-blanc) La colonisation britannique des Indes, qui inclut le territoire du Pakistan actuel, a laissé certaines traces. Cependant, ce racisme anti-blanc et cette haine ne peuvent en aucun cas servir de justification pour infliger des atrocités à des innocents qui n'ont même pas connu cette période.
"Ils me traitaient de pute blanche et me punissaient car je n’étais pas musulmane, c’était du terrorisme" Comme le démontre ce témoignage d'une victime d'un grooming gang à Rotherham, au Royaume-Uni, le racisme anti-blanc est encore très présent, ainsi que cette culture du viol en dehors des frontières.
On peut aussi noter que les viols chez les Pakistanais sont largement surreprésentés dans les pays européens. Les divers témoignages avec les statistiques, démontrent que le racisme anti-blanc est aussi un motif pour eux. Ces infographies de @marc_vanguard en témoignent.
Bien évidemment, je ne dis pas que tous les Pakistanais suivent ces méthodes barbares. Néanmoins, il est important de noter qu'ils sont effectivement majoritaires dans ceux qui commettent des viols. L'Occident a donc le devoir de prendre cela en considération pour ne pas accentuer les crimes. Ne rien dire, c'est accepter ces atrocités qui ne devraient pas exister, peu importe l'idéologie qu'on a ou l'ethnie de l'agresseur, ces choses n'ont pas sa place. D'autant plus que c'est purement raciste de ne rien dire parce que la victime serait blanche et l'agresseur étranger, comme le démontre l'affaire des grooming gang par exemple.
Par ailleurs, j'en profite également pour souhaiter un énorme soutiens aux victimes et à
qui est aujourd'hui en prison, pour avoir dénoncé les milliers de viols qui ont été commis par des Pakistanais à cause de la complicité du gouvernement anglais. Si vous souhaitez en savoir plus sur l'affaire, il a fait un reportage en épinglé sur son profil. Et pour ceux ayant du mal en anglais, j'ai aussi la version en français avec ce lien : odysee.com/@deleau2:6/Tom
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