mercredi 16 avril 2025

CE QUE LES ANTI POUTINE IGNORENT

 Ou tout du moins, certains le savent mais le cache à l'opinion pour préserver leurs convictions anti russe, anti Poutine.

Réflexion sur la RUSSIE et les BRICS

En ces temps troublés, garder la tête froide ne suffit plus. Il est impératif d’adopter une ouverture d’esprit et d’être prêt à accueillir des informations susceptibles de bouleverser nos croyances et nos espoirs.  L’entrevue qu’a donnée Poutine à Tucker Carlson, visionnée des centaines de millions de fois, pourrait apparaître comme une victoire décisive contre les mondialistes et leurs médias inféodés. Mais est-ce vraiment le cas ?

Dans ce document, nous allons parler surtout de la Russie, mais les informations que vous y trouverez pourraient également s’appliquer à l’ensemble des pays des BRICS.

« Pour être durable, tout système d’ordre mondial doit être accepté comme juste – non seulement par les dirigeants, mais aussi par les citoyens. »  Henry Kissinger

Note : Plusieurs sources citées ici proviennent d’agences d’information russes destinées à la population locale, et sont donc en russe. Je vous recommande d’utiliser Google Chrome avec la traduction automatique pour mieux appréhender la solidité des arguments présentés. Pour accéder aux liens, cliquez une première fois pour l'activer, puis une seconde pour les ouvrir. Il est également important de noter que les principaux médias russes sont largement détenus et financés par l’État.

La Russie peut-elle être notre alliée?

Beaucoup se réjouissent de la position stratégique de la Russie face aux puissances occidentales, comme si le simple fait qu’un ennemi combatte notre ennemi faisait automatiquement de lui notre allié. Ce raisonnement binaire est pourtant simpliste et dangereux.

Comment distinguer un véritable allié d’un faux ami ? Pour cela, il est essentiel d’appliquer des critères clairs, largement partagés au sein de la résistance :


✅ S’oppose-t-il à la promotion de la violence et du chaos ?
✅ Rejette-t-il l’agenda climatique et les taxes carbone ?
✅ Refuse-t-il la vaccination ARNm et les plateformes biotechnologiques favorisant la protéine SPIKE ?
✅ Dénonce-t-il les objectifs du programme mondialiste (Agenda 21, Agenda 2030) ?

Compte tenu des avancées scientifiques, il est inacceptable de prétendre que le CO₂ constitue une menace climatique ou que la plateforme vaccinale génique est sûre et efficace. De même, il est évident que les objectifs de développement durable visent à instaurer une société de contrôle. Si un prétendu allié coche ces cases, il doit être reclassé parmi nos adversaires.

BRICS Summit Johannesburg août 2023

Il est essentiel de comprendre que non seulement Poutine, mais également l’ensemble des BRICS, sont acquis aux principes mondialistes. Voici un extrait du dernier rapport du sommet de Johannesburg en août 2023 qui l’atteste sans équivoque :

Voici, par exemple, ce qu’on peut lire au point 52 sur l’importance de l’implémentation des objectifs de développement durable de l’Agenda 2030 cher à l’ONU.

Nous réaffirmons l’appel à la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable dans ses trois dimensions : économique, sociale et environnementale, de manière équilibrée et intégrée en mobilisant les moyens nécessaires à la mise en œuvre de l’Agenda 2030. Nous exhortons les pays donateurs à honorer leurs engagements en matière d'aide publique au développement (APD) et à faciliter le renforcement des capacités et le transfert de technologie ainsi que des ressources de développement supplémentaires vers les pays en développement, conformément aux objectifs politiques nationaux des bénéficiaires. Nous soulignons à cet égard que le Sommet sur les Objectifs de Développement Durable qui se tiendra à New York en septembre 2023 et le Sommet du Futur qui se tiendra en septembre 2024 constituent des opportunités importantes pour renouveler l'engagement international en faveur de la mise en œuvre de l'Agenda 2030.

Nous reconnaissons que les mécanismes financiers et les investissements destinés à soutenir la mise en œuvre des programmes sur l'environnement et le changement climatique doivent être renforcés, et qu'une dynamique accrue est nécessaire pour réformer ces mécanismes financiers, ainsi que les banques multilatérales de développement et les institutions financières internationales. À cet égard, nous appelons les actionnaires de ces institutions à prendre des mesures décisives pour accroître le financement et les investissements climatiques en faveur de la réalisation des Objectifs de Développement Durable liés au changement climatique et à adapter leurs dispositions institutionnelles à leurs objectifs.

Vous pouvez en savoir plus sur les objectifs de développement durable en cliquant ici.

Si vous voulez consulter cette déclaration officielle des BRICS, vous la trouverez ici. Il ne s’agit pas d’une ou deux allusions à l'Agenda 2030 de l’ONU; c’est pratiquement 25% du document qui témoigne de la profession de foi des BRICS envers cet agenda mondialiste. Les points 3693133 à 49 et 56 à 63 méritent une grande attention.  Vous y retrouvez à de nombreux endroits l’engagement ferme de ce regroupement envers ces objectifs, on ne peut plus sombres, de l’ONU et misent de l’avant par le Forum Économique Mondial (FEM).  Si vous faites l’exercice que je propose, vous pourrez y lire des déclarations comme celles-ci :
Nous réaffirmons l’appel à la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable dans ses trois dimensions.

  • La mise en œuvre des programmes sur l'environnement et le changement climatique doivent être renforcés.
  • Nous appelons les actionnaires de ces institutions à prendre des mesures décisives pour accroître le financement et les investissements climatiques en faveur de la réalisation des Objectifs de Développement Durable liés au changement climatique.
  • À cet égard, nous soulignons qu’ils (Objectifs de Développement Durable) devraient être mis en œuvre au niveau de la gouvernance mondiale ainsi qu’au niveau national.
  • Promouvoir une agriculture et des systèmes alimentaires durables et de mettre en œuvre des pratiques agricoles résilientes.
  • Nous chercherons à identifier des solutions pour accélérer la mise en œuvre du Programme de développement durable à l’horizon 2030.
  • Nous reconnaissons l'importance de mettre en œuvre les Objectifs de Développement Durable de manière intégrée et holistique.
  • Mettre en œuvre l'Agenda 2030 et promouvoir la localisation des Objectifs de Développement Durable.

Je vous encourage également à rechercher, à l’intérieur de ce document, comment les BRICS envisagent de s’affranchir de l’OMC et du FMI, des outils de contrôle occidentaux qui sont reconnus pour avoir freiné l’essor économique des BRICS.

Les BRICS : une initiative vraiment indépendante ?

On pourrait croire que l’alliance des BRICS est née d’une volonté des dirigeants de ces nations d’échapper à l’hégémonie américaine. Il est vrai que le FMI et l’OMC ont longtemps œuvré pour maintenir la suprématie économique et militaire des États-Unis, mettant ces pays sous pression. Mais d’où vient réellement cette initiative ?

Contrairement à l’idée d’un regroupement spontané de puissances émergentes, l’idée des BRICS a été initialement formulée par… Goldman Sachs (Building Better Global Economic BRICs). En 2001, l’économiste Jim O’Neill, travaillant pour la célèbre banque, publiait le rapport Global Economics Paper No. 66, qui introduisait le concept d’une union internationale capable de rivaliser économiquement avec les États-Unis.

Dès 2003, les architectes mondialistes envisageaient déjà l’émergence des BRICS comme un levier pour remodeler l’ordre mondial à l’horizon 2050. Ce n’était pas une opposition aux mondialistes, mais bien une autre facette de leur projet. Les banquiers internationaux ont toujours su miser sur le bon cheval.

« Au cours des 50 prochaines années, le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine – les économies des BRIC – pourraient devenir une force beaucoup plus importante dans l'économie mondiale. Nous cartographions la croissance du PIB, le revenu par habitant et les mouvements de devises dans les économies des BRIC jusqu'en 2050 »

Téléchargez le rapport complet Dreaming with BRICs: The Path to 2050

L'objectif de ce rapport était d'analyser les perspectives de croissance de quatre grandes économies émergentes — le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine — et de montrer comment ces pays allaient redéfinir l'ordre économique mondial.  À travers cette analyse, Goldman Sachs cherchait à attirer l'attention des investisseurs mondiaux sur les opportunités économiques offertes par ces pays.  C’était un peu comme la bougie d’allumage nécessaire à la réalisation du projet “de rêve” désiré par les mondialistes.  Que les banquiers internationaux parient sur le cheval gagnant est juste dans l’ordre des choses et n’est en rien surprenant.

Henry Kissinger et l’ombre des mondialistes

Personne ne doute du rôle de Henry Kissinger en tant qu’artisan du mondialisme. Bien qu’il ne soit pas directement impliqué dans la création des BRICS, sa diplomatie a favorisé les rapprochements nécessaires.

D’après des sources russes (Russian News Agency - TASS), Kissinger a rencontré Poutine plus de dix fois entre 2001 et 2017. Il a plaidé à plusieurs reprises pour que Washington reconnaisse l’influence russe sur les ex-républiques soviétiques, de la Biélorussie au Kazakhstan. Le même schéma s’est produit avec Xi Jinping et la Chine.

Il est crucial de comprendre que ces élites – banquiers et stratèges du nouvel ordre mondial – n’ont pas de patrie, mais uniquement des intérêts à défendre. Aujourd’hui, nous voyons une accélération sans précédent des lois et des politiques visant à consolider ce projet globaliste.

À venir.  La Russie à le même genre de loi visant à réduire ses opposants au silence.

La loi Russe; « loi fédérale relative à l’information, aux technologies de l’information et à la protection de l’information »

En 2019, une nouvelle catégorie de contenu illicite a été ajoutée, qui couvre le « mépris flagrant à l’égard de la société, du gouvernement, des symboles officiels de l’État, de la Constitution ou des organes d’État russes »​ (European Audiovisual Observatory).

La loi Anglaise; Online Safety Bill

La loi Canadienne; Bill c-63

BRICS et Forum économique mondial

Alors que la Russie et les BRICS semblent au sein de la dissidence opposés au Forum économique mondial, la destitution des États-Unis en tant que pays hégémonique et son remplacement par les BRICS est prévue depuis au moins 2001 par les mondialistes.   Cette volonté de Davos a été officialisée par le Forum économique mondial en 2016.  Parmi, les huit prédictions entourant leur Agenda 2030, dont le premier est : « vous ne posséderez plus rien et vous serez heureux », on trouve en seconde position :

« The US won’t be the world’s leading superpower  / A handful of countries will dominate ».   

Qu’on pourrait traduire par « Les États-Unis ne seront plus une puissance hégémonique / une poignée de pays domineront » On sait aujourd’hui que cette poignée de pays qui dirigeront économiquement le NOM (nouvel ordre mondial) sont les BRICS.  Les BRICS ont donc été pressentis très tôt par le WEF pour supplanter les États-Unis.  Comment le WEF pouvait-il le savoir si tôt? À moins d’avoir planifié la chose.  C’est exactement ce à quoi on assiste à travers cette gigantesque pièce de théâtre à laquelle nous assistons tous en ce moment. Ce qui se déroule sous nos yeux a été planifié depuis très longtemps.

La Russie et le Forum économique mondial

En 2019, à l’occasion du SPIEF, s’est tenu le forum économique international de Saint-Pétersbourg où le président russe, Vladimir Poutine, a rencontré Klauss Schwab du Forum économique mondial (WEF).  Ce forum réunit des hommes d'affaires, des responsables politiques et d'autres personnalités influentes du monde entier pour discuter de questions économiques, financières et commerciales. On y apprend qu' au cours de la réunion, Poutine a souligné l'importance et les avantages significatifs du Forum économique mondial de Davos en tant que plateforme internationale qui soutient les gens dans leurs efforts pour travailler ouvertement dans le cadre du droit international existant et établir des contacts entre les gens d'affaires et les responsables gouvernementaux. »

Poutine à Klauss Schwab :

« Nous avons toujours entretenu des relations avec votre forum que vous avez fondé et nous continuerons à le soutenir. Et, bien sûr, les représentants russes ont toujours pris part et prendront part aux événements que vous organisez », a déclaré Poutine.

Ces réunions du SPIEF ne sont pas anodines; elles sont des occasions de rencontre pour renforcer la collaboration entre les différents acteurs afin d’accélérer la mise en place d’actions visant à atteindre plus rapidement les objectifs de développement durable de l’ONU / Davos.

« Lors du SPIEF 2023, Sber (la Sherbank) et le gouvernement de Moscou ont conclu un accord d'intention de coopération dans le domaine du développement durable. Lors du Forum économique international de Saint-Pétersbourg, le document a été signé par le président et président du conseil d'administration de la Sberbank Herman Gref et le maire de Moscou Sergueï Sobianine . »

La Sherbank est la plus grande banque de Russie, détenue à 50%+1 par la fédération de Russie et est dirigée par Herman Gref.  Ce dernier est également membre du conseil d’administration du Forum économique mondial (toujours effectif en date du 22 mars 2024).  Si la politique nationale en Russie est impliquée  à fond avec l’ONU (siège du futur gouvernement mondiale) et de Davos via la déclaration des BRICS, il semble bien que le milieu financier ait un contributeur important et que même les villes importantes comme Moscou et Saint-Pétersbourg mettent l’épaule à la roue afin de mettre en place les objectifs de Davos.  Tout projet, quel qu’il soit, ne peut avoir lieu sans participation financière.  Il existe donc, de toute évidence, une collaboration entre le politique, le financier et les objectifs dystopiques de Davos.  On y reviendra!

Le SRAS-CoV-2 et la gestion de la pandémie en Russie 

Beaucoup perçoivent le vaccin russe contre la COVID-19, Sputnik V, comme une alternative plus sûre que les vaccins Pfizer et Moderna, en raison de sa plateforme à vecteur viral, jugée moins problématique que la technologie ARNm. On pourrait donc s’attendre à ce que la Russie affiche de bien meilleurs résultats en matière d’excès de mortalité, un indicateur clé des effets réels de la vaccination, surtout en l’absence de transparence des agences de santé mondiales.

Or, les données compilées par Our World in Data révèlent une tout autre réalité. Contrairement à la perception selon laquelle le Canada aurait connu une gestion désastreuse, la situation en Russie est huit fois pire. Au 1ᵉʳ mars 2022, la Russie enregistrait un excès de mortalité de 800 décès pour 100 000 habitants, contre moins de 100 au Canada.

Si Sputnik V est supposé présenter moins de risques que les vaccins administrés en Occident, qu’est-ce qui pourrait expliquer un tel niveau de surmortalité ?

On pourrait attribuer à Sputnik V la responsabilité de ces excès de mortalité, d’autant plus qu’il code pour la même protéine SPIKE toxique que les vaccins Pfizer et Moderna. Le financement de ce vaccin en un temps record, comparable à celui du projet Warp Speed, a été supervisé par Kirill Dmitriev, un acteur clé du FEM.

Dmitriev, Young Global Leader en 2009, a commencé sa carrière chez Goldman Sachs avant de jouer un rôle central dans l’initiative vaccinale russe. Il est non seulement membre du conseil d’affaires des BRICS, mais aussi de l’exécutif du Forum économique mondial. Ces liens suggèrent une proximité idéologique et stratégique avec les élites mondialistes.

Voici quelques titres issus de médias russes tels que le Moscow Times durant la pandémie :

  • Poutine annonce un « lockdown » en mai pour prévenir une recrudescence du virus
  • Moscou offre des incitations financières aux entreprises ayant des taux de vaccination élevés
  • L’efficacité de 97,6 % du Sputnik V sous le feu des projecteurs
  • Une région russe organise une loterie avec du charbon pour encourager la vaccination
  • Moscou renforce le port du masque et des gants face à la hausse des cas
  • Vladimir Poutine reçoit une dose de rappel contre la COVID
  • « Laissez les conversations émouvantes vous rapprocher, pas votre corps », recommande un guide officiel (rappelant le conseil canadien du « Glory Hole »...)

Un air de déjà-vu, non ?

Aujourd’hui encore, Poutine affirme que son vaccin—qui n’a pourtant pas été mis à jour—est efficace contre le variant Omicron, une souche présentant des dizaines de mutations suspectes et qualifiée par certains d'arme biologique. Il assure que Sputnik V a passé tous les contrôles de sécurité, alors que la toxicité de la protéine SPIKE est scientifiquement reconnue.

Poutine ignore-t-il ces faits ?

Vaccination forcée en Russie, imposée après que Spoutnik V n’ait pas réussi à convaincre les gens

Après que Vladimir Poutine a annoncé qu’il s’était fait vacciner contre le Covid avec le sérum miracle russe – plus tard même avec trois doses -, les autorités de Moscou puis celles de la région sibérienne de Kemerovo ont annoncé la mise en place d’un centre « anti-Covid » obligatoire “Campagnes de vaccination”.

La présence de McKinsey en Russie

Dans les milieux avertis, il est largement admis que les mesures sanitaires imposées par les gouvernements ont joué un rôle bien plus déterminant que le virus lui-même dans l’excès de mortalité observé. À ce titre, la Russie n’a pas échappé à cette dynamique : confinement, vaccination de masse et autres restrictions ont contribué à une surmortalité significative.

Si certains espéraient que la Russie protège son peuple de l’hystérie covidienne, les faits démontrent le contraire. Il suffit d’observer les titres des journaux russes durant la pandémie : un véritable copier-coller de ceux des médias occidentaux. Devrait-on s’en étonner ?

Après tout, McKinsey, cabinet de conseil ayant joué un rôle central dans la gestion mondiale de la crise sanitaire, était solidement implanté en Russie. Kirill Dmitriev, figure clé du FEM et du développement du vaccin Sputnik V, a lui-même travaillé pour McKinsey. Selon l’agence russe TASS, McKinsey a changé de nom en 2022 pour devenir Yakov and Partners, et cette nouvelle entité entend désormais collaborer pleinement avec les BRICS.

Si les liens directs entre McKinsey et le FEMl sont parfois difficiles à tracer, ceux qui ont suivi la gestion de la pandémie comprendront rapidement son rôle avéré dans l’avancement de l’agenda mondialiste.

Le rouble numérique : un outil de contrôle ?

À l’image de ses prétendus « ennemis » occidentaux, la Russie se lance dans les monnaies numériques de banque centrale (MNBC). Le rouble numérique sera, à terme, programmable, ce qui signifie :

  • Une date d’expiration de la monnaie, empêchant l’épargne, comme c’est déjà le cas en Chine.
  • Un contrôle centralisé des dépenses par la Banque centrale russe.
  • Une restriction potentielle sur les achats : par exemple, un citoyen ayant dépassé son bilan carbone pourrait se voir interdire l’achat de carburant ou de viande.

Un lecteur attentif ne manquera pas de voir que cette évolution s’inscrit parfaitement dans les objectifs du nouvel ordre mondial en construction.

Une vidéo officielle explique en une minute le rôle que jouera cette monnaie numérique dans le futur. Le rouble numérique constitue donc une étape clé vers un contrôle total des populations, auquel les Russes n’échapperont pas.

Les pays les plus avancés sur ces MNBC sont la Chine et la Russie avec deux autres pays africain (Nigéria et le Zimbabwe), comme l’indique un suivi mondial de ces projets pilotes.

Il s’agit donc là d’une étape essentielle vers l’esclavagisme des peuples et les Russes n’y échapperont pas. Tout cela se met en place en ce moment, et vous pouvez suivre l’état d’avancement des différentes MNBC dans le monde en suivant ce lien. Vous verrez qu’outre deux pays africains, la Russie et la Chine sont les deux pays les plus avancés, ayant déjà réalisé des projets pilotes.

L’Identité Numérique en Russie : Un Outil de Contrôle ?

L’identité numérique vise à centraliser toutes les données des citoyens dans un seul fichier : profil génétiquepermis de conduire, assurance maladie, monnaie numérique, etc. Si ce système offre des avantages pratiques, il représente aussi un risque majeur vers l'aboutissement vers une société de surveillance et de contrôle.

La Russie avance rapidement dans ce domaine et travaille activement à la mise en place d’un passeport et d’une carte d’identité numériques. Ces dispositifs seraient directement liés au FSB (les services secrets russes, successeurs du KGB), entraînant la fin de l’anonymat sur Internet pour les citoyens russes.

Un article du Pravda, journal indépendant critique envers Poutine, indique que d’ici 2035, la Russie sera gouvernée par un système de crédit social. Ce dernier sera directement connecté aux bases de données de l’État :

  • Impôts
  • Police et tribunaux
  • Huissiers et dettes
  • Dossier médical
  • Transports

Une vidéo explicative détaille les implications de cette transformation. Par ailleurs, un autre article du Pravda confirme que la Russie a l’intention ferme d’implanter un crédit social, un système relié aux institutions étatiques pour réguler et surveiller les comportements individuels. Vous pouvez consulter cette vidéo  pour en savoir davantage.

« À la fin de l'année dernière, la Russie s'est également préoccupée des technologies qui seront mises en œuvre d'ici 5 à 10 ans. Le rapport ”Prévisions de l'impact des technologies prometteuses” de la plus grande banque russe indique que la notation sociale est une option très prometteuse pour la Russie. Dans le même temps, les lois sur la biométrie et “sur la création d'une base de données nationale d'informations génétiques” ont été adoptées d'urgence en Russie, rapporte “MK”. »

« En Fédération de Russie, le journaliste Dmitry Kiselev a annoncé un système d'évaluation sociale de la loyauté des citoyens. Selon lui, la notation sociale peut gêner “certains militants civils”, mais elle aidera à la fois le citoyen et l’État à lutter contre les pandémies et à être plus responsable. »

« Ceux qui souhaitent le plus mettre en œuvre ce système, ce ne sont pas les employés en poste, mais les généraux informatiques proches du Kremlin », admettent les initiés du secteur informatique.

Dmitry Kiselev est un journaliste et animateur de télévision russe connu pour son soutien inconditionnel au gouvernement de Vladimir Poutine. Il dirige l’agence de presse internationale Rossiya Segodnya, qui contrôle plusieurs médias, dont Sputnik.

En Russie, Rossiya Segodnya diffuse des informations principalement en russe, mais ses contenus sont largement relayés par les médias affiliés comme Rossiya 1 ou Russia Today (RT). Ces canaux assurent une large diffusion des messages gouvernementaux, touchant autant le public russe que les sympathisants de la ligne pro-Kremlin à l’étranger.

Si la Russie ne se dirige pas vers un système de crédit social, comme certains le prétendent, pourquoi alors une agence de presse étatique alimente-t-elle cette idée dans l’opinion publique russe ?

Les Russes mangeront aussi des insectes et de la viande synthétique

Si les pays occidentaux vantent les insectes comme solution alimentaire face au « changement climatique », la Russie ne fait pas exception. Malgré une image de protecteur des traditions, Moscou a intégré les protéines d’insectes dans sa stratégie alimentaire.

Par ailleurs, la Russie avance également sur la viande cellulaire et l’impression 3D de substituts de viande. À l’été 2023, Moscou a accueilli une exposition dédiée aux technologies de production de substituts de viande. Parmi les participants :

  • Des entreprises produisent des protéines à partir d’insectes et de plantes.
  • Des acteurs spécialisés dans la fabrication de viande en laboratoire.

L’industrie russe se prépare déjà à inonder les rayons de ces produits. Là encore, aucune différence majeure avec l’Occident, malgré les apparences d’un discours souverainiste.

« Le volume du marché de la viande artificielle était de 247 millions de dollars en 2022. Plus de 100 entreprises dans le monde développent un tel produit. Mais, selon les prévisions des analystes, elle connaîtra dans les années à venir une croissance significative, pouvant atteindre 25 milliards de dollars, après quoi la viande artificielle commencera à arriver massivement sur les étagères des principaux pays, dont la Russie. »

Ici on apprend par le Moscow Times, que la Russie a produit ses premiers steaks « de laboratoire ».

« L’idée de “cultiver” de la viande en laboratoire à l’aide de cellules animales in vitro a gagné en popularité dans le monde entier au cours des dernières années en tant que moyen plus éthique et respectueux de l’environnement permettant aux gens de manger de la viande sans recourir à des substituts de viande d’origine végétale. »

Du New-York Post cette fois :

« Un fonctionnaire officiel russe a suggéré que les résidents de son pays peuvent avoir besoin de nourritures alternatives à la viande comme les larves de mouche et la protéine de légumes, comme le pays souffre des sanctions imposées dues à la guerre en cours en Ukraine. »

Il est important de savoir que les insectes contiennent de la chitine, que l’on retrouve ensuite dans les farines d’insectes qui sont déjà largement répandues dans de nombreux aliments en épicerie. Elle perturbe le microbiote intestinal et interfère avec l’absorption du calcium, des minéraux et des vitamines liposolubles (comme la vitamine D. ref 1 et ref 2). Comme vous le savez, la vitamine D est essentielle au bon fonctionnement de notre système immunitaire. Autre problème : la chitine serait potentiellement cancérigène.  Alors on peut se poser la question à savoir si Poutine travaille réellement pour son peuple.

Vaccins, Passeports Génétiques, Villes 15 Minutes : Jusqu’où va le Contrôle ?

Après la monnaie numérique, l’identité numérique, les insectes et la viande cellulaire, certains pourraient encore parler de simples coïncidences. Mais que penser lorsqu’on apprend que le directeur du Centre GamaleyaAlexander Gintsburg (souvent comparé comme étant le Anthony Fauci de Russie), a appelé la Russie à développer des vaccins génétiques expérimentaux ?

Ce programme s’inscrit dans une stratégie de préparation aux futures crises sanitaires, notamment la mystérieuse « Maladie X », que l’OMS annonce depuis plusieurs années comme la prochaine grande pandémie mondiale.

« Le déploiement rapide de préparations vaccinales jouera un rôle crucial dans la lutte contre “un possible pathogène pandémique, ou ‘Maladie X’ comme on l'appelle à Davos”, a déclaré Gintsburg, faisant référence aux récentes discussions au Forum économique mondial sur l'arrivée d'un hypothétique "Maladie X". »

Faut-il rappeler que la "maladie X" est un concept introduit par l'OMS dans le but de justifier un renforcement de son pouvoir sur la gestion des crises sanitaires ? Initialement prévu pour le 27 mai 2024, le traité sur les pandémies a été reporté à 2025, mais son objectif reste inchangé : octroyer à l’OMS un rôle centralisé de commandement dans la gestion des crises globales, qu'elles soient sanitaires, climatiques ou autres.

À ce jour, combien de pays des BRICS ont exprimé leur volonté de se retirer de ce traité ? Aucun.

Certains États, comme l’Inde, vont même plus loin en demandant un renforcement du dispositif.

Le pays propose « la suppression de la référence au respect de la dignité des personnes, des droits de l’homme, des libertés fondamentales et veut remplacer ces principes par des concepts, que je trouve flous, comme le concept de cohérence », qui n’existe pas en droit international. 

Ce traité entérine le narratif officiel selon lequel la COVID-19 était une pandémie légitime et que d’autres menaces sanitaires imminentes, comme la fameuse "maladie X", justifieront à nouveau des mesures d’exception. Or, de nombreuses preuves indiquent que la pandémie de COVID-19 a été une fraude mondiale, impliquant des institutions aux intérêts convergents.

Dès lors, où se situent réellement les BRICS dans cette équation ?

Surveillance Totale : La Russie Suit le Modèle Chinois

Autre point troublant : la montée en puissance des "safe cities" en Russie. À l’instar de la Chine, ces villes ultra-surveillées sont équipées de caméras intelligentes et de systèmes de reconnaissance faciale.

« Le Département des technologies de l'information de Moscou prévoit de finaliser un centre de stockage de données unifié (exactement comme le Québec et le futur projet Stargate de Donald Trump), dans les locaux duquel fonctionne le système de reconnaissance faciale de la capitale, pour centraliser la collecte des flux vidéo dans toutes les régions du pays. »

La biométrie prend également de l’ampleur. Une nouvelle loi adoptée par la Douma renforce le Système unifié d'informations sur les données personnelles. Ce fichier national permet de collecter, stocker et exploiter des données biométriques de l’ensemble des citoyens.

Conséquence ? Une fois pleinement déployé, le gouvernement pourra, d’un simple clic, exclure du système toute personne jugée "réfractaire", lui interdisant tout accès aux services essentiels : transport, logement, alimentation, santé. Un contrôle absolu qui rappelle les ambitions du Forum Économique Mondial et des promoteurs du crédit social.

Et ce n’est pas tout.

À Moscou, les passeports génétiques sont désormais à l’étude. Les autorités envisagent de séquencer le génome de chaque nouveau-né pour créer un "passeport génétique humain numérisé".

Les passeports vaccinaux COVID ? Dépassés. La biométrie et la génétique sont la nouvelle norme en Russie.

« Les autorités russes expérimentent depuis des années avec l'utilisation de la biométrie pour la surveillance et le contrôle numériques. Depuis au moins 2017, les caméras de rue à reconnaissance faciale sont de plus en plus utilisées pour identifier et poursuivre les manifestants pacifiques. Pendant la pandémie, de tels systèmes ont été activés afin d’identifier les contrevenants à la quarantaine et leur imposer des amendes. »

Toujours selon une agence de presse Russe (TAAS) dans un article décrivant le chemin que suivra Moscou concernant la surveillance numérique  qui deviendra, on le sait aujourd’hui une ville “15 minutes”

« Nous avons déjà testé la reconnaissance faciale par vidéo dans le métro, grâce à des caméras installées dans les halls d'entrée, et nous avons détecté des dizaines de criminels recherchés. Cette année, nous allons bientôt annoncer un concours pour créer un système de reconnaissance faciale à grande échelle, en collaboration avec le ministère de l'Intérieur, comprenant plus de 200 000 caméras de vidéosurveillance à Moscou. Il deviendra l'un des plus grands du monde, qui n'aura d'égal que les systèmes chinois »

Mieux : à Moscou, les passeports génétiques sont à l’ordre du jour. Les autorités souhaitent séquencer le génome de tous les nouveau-nés afin de créer un « passeport génétique humain numérisé ». Les passeports vaccinaux (COVID) sont dépassés pour les Russes.

« La Russie envisage d'introduire des passeports génétiques numériques spéciaux qui contiendront le séquençage du génome de chaque citoyen du pays. Les données pourraient ensuite être utilisées pour la formation de profils génétiques et l'identification de la susceptibilité aux maladies, selon des déclarations récentes faites par certains hauts responsables de la Russie. Gouvernement fédéral russe et analystes. »

« Autre chantier moscovite que vont financer les Green Bonds : la construction d'une nouvelle ligne circulaire du métro devant retirer des rues de Moscou au moins 10 000 voitures individuelles. »

D’ailleurs, selon le National Interest, le Kremlin a publié un décret appelant à « la mise en œuvre d’une certification génétique de la population. »

Ici, toujours dans The Moscow Times, on y apprend que la Russie s’affaire à récolter et à séquencer le génome de chacun de ses citoyens.

«  Poutine, qui a alloué 1,7 milliard de dollars à la recherche génétique en 2018, a ordonné que des « passeports génétiques » soient attribués à tous les Russes d’ici 2025 dans le cadre de la stratégie nationale de sécurité chimique et biologique.  Meduza a indiqué que les dépenses totales consacrées au programme et à ses projets génétiques affiliés pourraient atteindre près de 3 milliards de dollars.

Les scientifiques ont émis l’hypothèse que les « passeports génétiques » pourraient faire référence soit à des marqueurs génétiques permettant d’identifier des individus, soit à une liste détaillée de caractéristiques individuelles et de risques pour la santé. »

La Russie envisage d'utiliser les « passeports génétiques » des soldats pour déterminer leur emploi.

« L’armée russe affectera les soldats sur la base de leurs “passeports génétiques”. »

La Russie et l’Agenda vert de l’ONU

L’un des objectifs de l’ONU/Davos en matière de villes intelligentes est de pousser l’agenda climatique en obligeant ces villes à se décarboner au maximum.  The Moscow Times rapporte ici les progrès faits par la Russie à cet égard.

« La Russie a signé l'accord de Paris sur le changement climatique en 2015, mais ne l'a ratifié qu'en septembre 2019. Pendant longtemps, la décarbonisation n'était pas une priorité. »

On comprend que pour eux, la décarbonisation est désormais une priorité.

D’ailleurs le site d’information russe ActuStratpol nous indique que le président Poutine a signé une nouvelle doctrine sur le climat visant la neutralité carbone au plus tard pour 2060.  Au total, la nouvelle doctrine compte 21 pages et 5 sections et stipule qu’« une solution à long terme au problème du changement climatique n'est possible qu'avec la participation de tous les États et que la Russie est impliquée dans l'élaboration de mesures collectives  (...) » Il est indiqué séparément que le changement climatique crée des menaces pour la sécurité de la Fédération de Russie, auxquelles il faut répondre « en utilisant des moyens capables d'assurer les effets environnementaux et économiques souhaités. »

Voici le lien d’un site officiel du gouvernement russe vers le décret du président Poutine du 26 octobre 2023
(n° 812) « Sur l'approbation de la doctrine climatique de la Fédération de Russie ».

Selon un article paru dans Les Échos, la capitale de la Russie, Moscou, se lance à fond dans l’écologie verte et durable.  Elle vient de lancer des Green Bonds afin de financer des projets urbains environnementaux dans le but de réduire ses émissions de CO2.

 « L'une de nos priorités, que les Green Bonds financeront, est le développement des bus électriques », a expliqué lors de cette même présentation Vladimir Efimov. « Quelque 600 bus électriques sont déjà en circulation. Nous prévoyons d'en rajouter 400 en 2021. Depuis les transports jusqu'aux réseaux d'eau, notre priorité est la baisse des émissions de CO2. » 

La Russie ne s’en cache pas; même un site du gouvernement nous le confirme.  Ils ont un agenda bien en place de décarbonisation de leur économie. Il semble bien que, pour la Russie, la menace climatique mise de l’avant par l’ONU / Davos et ses apôtres soit bien réelle.  En effet, en Russie, il est prévu de dépenser jusqu'à 2% du PIB afin de participer à l’effort mondial pour protéger la planète du CO2 jugé destructeur par les mondialistes.


 « La mise en œuvre du scénario cible nécessitera des investissements dans la réduction des émissions de GES d'environ 1% du PIB en 2022-2030 et jusqu'à 1,5 - 2% du PIB en 2031-2050. Les mesures de décarbonisation comprennent le soutien à l'introduction, à la reproduction et à l'extension de technologies à faible teneur en carbone ou sans carbone, la promotion de l'utilisation de ressources énergétiques secondaires, la modification des politiques fiscales, douanières et budgétaires, le développement de la finance verte, des mesures visant à préserver et à accroître la capacité d'absorption des forêts et d'autres écosystèmes, et le soutien aux technologies de capture, d'utilisation et de recyclage des gaz à effet de serre. »

Moscou 2030 une ville 15 minutes « intelligente »

C40 CITIES - Moscou, à l’instar de Montréal, s'est jointe près de 100 villes pionnières pour s'engager à garantir qu'une grande partie de la ville soit exempte de gaz d'échappement d'ici 2030 et à ne se procurer que des bus à zéro émission à partir de 2025.

Dans cette image, notez que la capitale de la Russie envisage une ville intelligente où la gestion de la ville sera transparente, centralisée de bout en bout, et basée sur le Big Data et l’intelligence artificielle.  D’ailleurs les progrès de cette ville est même donnée en exemple par l’ONU


“Une nouvelle étude de cas de l'UIT propose une évaluation des progrès réalisés par Moscou dans la réalisation des objectifs de ses stratégies de « ville intelligente » et des Objectifs de développement durable (ODD) des Nations Unies. L'étude de cas  intitulée Mise en œuvre des normes internationales de l'UIT-T pour façonner des villes intelligentes et durables : le cas de Moscou , a été réalisée à l'aide des indicateurs clés de performance (ICP) pour les villes intelligentes et durables développés par l'  initiative United for Smart Sustainable Cities (U4SSC)

Les habitants verront leur santé surveillée à distance via des dispositifs portables. La médecine sera personnalisée et basée sur les passeports génétiques, et les organes ne seront plus transplantés, mais imprimés en 3D.  Exactement comme le prédisait le Forum économique mondial dans sa vidéo de 2016.

Les villes de 15 minutes sont en passe de devenir réalité.  Selon une organisation de l’ONU qui pilote la migration de grandes villes à travers le monde afin de les assister dans leur migration vers les objectifs de développement durable, Moscou n’est pas la seule ville des BRICS à être listée par le C40 -.  La chine compte pas moins de 13 grandes villes impliquées avec les C40.  Pour  l’inde, c’est  au moins 5 grandes villes qui  embrassent ce projet.  Le Brésil en compte 4.

Un Monde Multipolaire : Réalité ou Piège Mondialiste ?

Il est crucial de comprendre que nombreux sont ceux qui, dans la sphère dissidente, voient en la Russie, la Chine et les BRICS des alternatives au mondialisme occidental. Pourtant, ce raisonnement s’inscrit parfaitement dans le plan des élites mondialistes, qui ont réussi à détourner la résistance en lui faisant croire à un changement bénéfique, alors qu’il ne s’agit que d’une réorganisation géopolitique au profit du même système.

Ainsi, ce Nouvel Ordre Mondial multipolaire n’est pas une opposition au mondialisme, mais son évolution stratégique. L’ONU, le Forum Économique Mondial et les banquiers de l’ombre ont orchestré cette transformation pour la rendre acceptable auprès de ceux qui s’opposaient au modèle unipolaire dominé par les États-Unis et l’OTAN.

Ne nous y trompons pas : ce que la Russie met en place pour ses citoyens – surveillance biométrique, monnaie numérique, passeports génétiques – sera également appliqué en OccidentLa cage se referme lentement, mais l’illusion du choix empêche la majorité d’en percevoir les conséquences.

Maintenant vous savez que c’est un piège!

Contrairement à ce que beaucoup pensent, les BRICS ne sont pas une alternative au système actuel, mais le pilier économique du futur ordre mondial.

  • Leur monnaie numérique sera adossée à l’or, une ressource que de nombreux pays occidentaux (Canada, France, États-Unis (?)…) ne possèdent plus en réserve.
  • Le dollar américain sera remplacé, entraînant des bouleversements économiques majeurs pour ceux qui en dépendent.
  • Les structures de contrôle social, déjà expérimentées en Chine et en Russie, seront généralisées sous prétexte de modernisation et de sécurité.

Ce que l’on présente comme un monde multipolaire est en réalité une redistribution du pouvoir entre les mêmes élites financières, orchestrée à un niveau international.

La Grande Réinitialisation : L’Agenda Dévoilé

Les mondialistes ne s’en cachent plus : ils veulent un reset économique, la dépossession des populations et leur dépendance totale envers l’État.

La suite du plan se dessine :

  1. Effondrement de l’économie, rendant impossible la survie sans assistance gouvernementale.
  2. Destruction des épargnes, remplacées par un revenu universel (déjà en discussion dans plusieurs pays, notamment au Canada).
  3. Mise en place de conditions pour accéder aux aides sociales, qui pourront inclure des exigences vaccinales, des quotas d’accueil de migrants ou d’autres obligations sociopolitiques.
  4. Concentration des richesses entre les mains des grandes corporations, comme BlackRock et Vanguard, qui préparent déjà des vagues de rachats massifs lors de l’effondrement immobilier et financier.

L’objectif est clair : un modèle communiste de contrôle social combiné à un capitalisme ultra-centralisé où quelques entités privées détiennent tous les actifs.

La célèbre phrase « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux » prend alors tout son sens : si le peuple ne possède rien, qui possédera tout ?

Quand on ne possède rien, on perd sa liberté et sa prérogative de pouvoir dire NON. C’est pourquoi l’élite fait tout ce qu’elle peut pour détruire l’économie, en témoignent les hausses des taux d’intérêt. Ainsi, les banques et les fonds de gestion d’actifs comme Blackrock et Vanguard se préparent déjà à des reprises de faillites record. Même la presse subventionnée se pose des questions, ce qui montre à quel point la situation est critique :

« C’est comme si la Banque du Canada veut que les gens s’en aillent en faillite » pour contrer l’inflation, s’est indigné Michel Girard, chroniqueur économique au Journal de Montréal.

Imaginez un instant qu’en 2019, quelqu’un vous ait prédit que vous seriez contraint de célébrer Noël en secret, caché au sous-sol, sous peine d’une amende de 1 500 $ pour non-respect d’un couvre-feu, ou encore que votre emploi dépendrait de l’acceptation d’un traitement expérimental. Vous auriez jugé cela absurde, irréaliste. Pourtant, ces événements ont bien eu lieu.

Le temps file, et les murs d’une prison invisible se dressent toujours plus haut autour de nous. Tout ceci est prévu et « nos élites » font tout pour mettre cela en place. On ne peut donc se permettre le luxe d’être passif ou inactif.


Que pouvons-nous faire ? Hélas, nos possibilités sont limitées face à des forces puissantes et déterminées. Ceux qui contrôlent l’Argent – en quantité illimitée –, la Justice, les Gouvernements, les Médiasl’Armée, la Police, le Corps médical, la Science et les Mégacorporations avancent sans relâche, consolidant leur emprise. Pire encore, une partie significative de la population, influencée par ces mêmes médias, soutient inconsciemment cette machine implacable.

Dès lors, une question se pose : souhaitent-ils provoquer un soulèvement populaire ? Il est difficile d’imaginer qu’ils n’aient pas anticipé cette éventualité et qu’ils ne soient pas prêts à y faire face. Un soulèvement pourrait même leur offrir l’opportunité d’accélérer leur agenda, comme l’histoire l’a déjà démontré avec la révolution de 1848 et la Commune de Paris.

Beaucoup veulent croire que le pire sera évité, que, comme dans les récits hollywoodiens, « les gentils gagnent toujours ». Mais cette illusion est précisément ce qui permet au piège de se refermer. La réalité est bien plus sombre, et il est temps d’ouvrir les yeux.

Une 3e guerre mondiale, un effondrement économique?

Certes, nous avons remporté quelques victoires, mais rien de suffisant pour ébranler l’ennemi. Un ennemi qui, comme le disait François Hollande lors de la campagne présidentielle de 2012, « n’a pas de nom, pas de visage, pas de parti, [qui] ne présentera jamais sa candidature [qui] ne sera donc pas élu, et [qui] pourtant gouverne. » Cette invisibilité rend la menace d’autant plus difficile à percevoir pour la majorité, d’autant plus que cet adversaire n’a pas encore joué toutes ses cartes dans son projet d’asservissement des populations.

Les lois liberticides se multiplient à un rythme effréné, à l’image de la loi C-11, qui permet au gouvernement d’imposer aux plateformes sociales de supprimer les contenus jugés « haineux » ou relevant de la « désinformation ». Mais il reste à l’ennemi deux leviers majeurs : une troisième guerre mondiale et/ou un effondrement économique. Si cela semble excessif ou complotiste, il suffit d’écouter les discours des dirigeants européens appelant ouvertement à la préparation d’un conflit contre la Russie.

En juin dernier, l’OTAN, via son relais ukrainien, a détruit deux radars de détection précoce, essentiels à la Russie pour identifier toute attaque nucléaire imminente. Normalement, face à l’arrivée de missiles balistiques, la doctrine russe prévoit une riposte immédiate. Sans ces signaux d’alerte, le risque d’une frappe préventive de Moscou augmente… un scénario qui pourrait justement être recherché par l’OTAN. Attaquer un équipement défensif aussi stratégique est un signal d’une gravité extrême. Un tournant qui devrait pousser chacun à envisager des perspectives autrement plus sombres.

Sur le front économique, l’effondrement est pratiquement inévitable. Le système a été conçu pour aboutir à ce point de rupture, et tout indique que les autorités accélèrent le processus. La forte hausse des taux d’intérêt, justifiée par une inflation incontrôlée, ne fait qu’aggraver la situation. Pourtant, cette inflation est avant tout la conséquence du déséquilibre entre l’offre et la demande, issu de la gestion désastreuse de la « pandémie ». Ce resserrement monétaire a donc un objectif bien précis :

  • Étrangler les ménages, contraints de revendre leurs biens achetés au sommet du marché immobilier.
  • Ruiner les États, incapables de rembourser leurs dettes après les dépenses extravagantes de l’ère COVID.

Depuis 2020, ceux qui nous dirigent semblent orchestrer un sabotage économique : explosion des dépenses publiques couplée à une politique monétaire étouffante. Ce modèle ne tiendra plus longtemps.

Dans ce contexte, certains placent leurs espoirs dans les BRICS et la Russie. Pourtant, ces acteurs, eux aussi engagés dans la logique mondialiste, ne sont en rien une véritable alternative. Compter sur une dissidence qui sert en réalité le futur ordre mondial est une illusion dangereuse. La victoire est encore loin.

Que faire maintenant ? 

La corruption des institutions est telle qu’il ne s’agit plus de les sauver, mais de les dépasser. Revenir au monde pré-COVID n’est pas une solution : il était déjà gangrené, simplement mieux dissimulé. Aujourd’hui, les psychopathes au pouvoir accélèrent la destruction de la société. Nous tentons désespérément d’écoper l’eau d’un navire en perdition, pendant que le capitaine enfonce volontairement des brèches dans la coque.

Alors, faut-il continuer à se battre pour sauver ce qui est condamné ? Probablement pas. Mieux vaut abandonner ce bateau et en construire un nouveau, solide, insubmersible – une structure renforcée par la souveraineté populaire et des référendums d’initiative citoyenne.

Ce projet est encore embryonnaire, mais il deviendra bientôt essentiel. Il est temps de se désengager de ce système moribond et de préparer l’avenir : un monde qui ne ressemblera en rien à celui que nous avons connu.

-SIMPLEMENT DIRE NON ! -

Voici une liste d’actions concrètes visant à renforcer notre autonomie face aux structures étatiques et à bâtir une alternative viable.

  1. Payer comptant autant que possible.
  2. Garder un minimum dans votre compte courant.  
  3. Minimiser autant que possible les taxes et les impôts payés.
  4. Acheter de l’argent et de l’or.
  5. Pour ceux qui ont confianceacheter des cryptomonnaies privées intraçables et/ou non-KYC et conservées sur un cold-wallet (portefeuille froid).
  6. Payer ses dettes (s’il n’est pas trop tard!)
  7. Acheter que ce qui est nécessaire.
  8. Acheter local et cultiver un jardin.
  9. Tisser des liens avec un agriculteur local.
  10. Recycler/réutiliser le plus possible.
  11. Ne pas acheter ni lire leurs journaux.
  12. Ne pas écouter leur télé.
  13. Ne tolérer aucune forme de gaspillage.
  14. Ne se faire vacciner qu’en cas d’absolue nécessité (pour sauver votre vie).
  15. Ne commettre aucun acte de violence, surtout envers l’autorité.
  16. Privilégier la désobéissance civile lorsque c’est nécessaire.  
  17. Ne pas voter, c’est endosser un système qu’on sait corrompu.  
  18. Pour ceux qui le peuvent, privilégier l’école à domicile. 
  19. Repérer vos alliés dans votre entourage.
  20. Entretenir ou développer des habiletés manuelles que vous pourrez troquer contre autre chose.
  21. Encourager les entreprises indépendantes qui n’appuient pas le narratif et qui encouragent la liberté.  
  22. Boycotter tout aliment qui contient des dérivés d'insectes (poudres, etc.). Apporter vos lunettes/loupes si nécessaire pour lire les ingrédients avant d'acheter. Connaître tous les synonymes de dérivés d'insectes.  
  23. Boycotter toute compagnie multinationale d'alimentation alignée au narratif, acheter les produits des petites entreprises indépendantes et locales, si possible. Par exemple, Tyson foods fait du poulet pressé avec de la poudre de grillon.  
  24. Se créer des systèmes de production d'énergie autonome et de communication (CB, Walkie-Talkie, ondes courtes).
  25. Arrêter de consommer à outrance les substances qui sont poussées pour notre mal-être : droguesalcoolmédications chimiquesaliments ultra-transformésfast-foodsliqueurs.
  26. Pratiquer un sport d'autodéfense ou un autre sport pour améliorer votre mobilité, votre cardio-vasculaire et votre santé.  
  27. Apprendre de nouvelles choses :    
  1. Réparation électronique  
  2. Énergie solaire / énergie alternative  
  3. Cours de premiers soins  
  4. Culture hydroponique / jardinage / agriculture  
  5. Mécanique / soudure  
  6. Cours de boucherie  etc.

  1. Mettre en place des monnaies locales / troques
  2. Parler de tout ça autour de vous.  
  3. Stéphane Guay M.Sc https://docs.google.com/document/u/0/d/17zGwHz2SdyL5nH2AxAT_YS8ENXZFz1ZQSkhoaNeu_04/mobilebasic?pli=1

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