On pourrait croire que la France, pays industrialisé, puissance économique, nous soyons équipé de structures pour les cas d'enfants disparus. Et bien ho, surprise, il semble que non.
"Estelle Mouzin, Marion Wagon, et plus récemment Maëlys de Araujo… Derrière ces noms, des affaires d'enfants disparus, depuis des mois ou des années, ayant suscité une vive émotion et mobilisé d'importants moyens d'investigation. Mais une fois les premiers mois passés, il est parfois difficile pour les familles d'avoir un vrai suivi de la justice sur ces «cold cases». "
En effet, la logique implacable est ce qu'elle est quand dans des affaires de disparitions, l'insuffisance de preuve ne peu pas faire avancer les affaires et laissent malheureusement des familles dans l'absence d'avancées notoires pour tenter de savoir s'il peu y avoir encore de l'espoir.
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