dimanche 1 avril 2018

A SON TOUR

Google est il le prochain ? Mais cette fois ci, il s'agit d'une crise interne. En cause, la fracture idéologique du pays, qui s'invite dans le QG de Google. Des employés insultés, martyrisés, écartés, discriminés, par le fait d'être des "conservateurs" et donc assimilés à l'actuelle politique du pays et de son président. Un amalgame dénoncé en interne pas des salariés qui ont décidé de faire une pétition et un mouvement pour exiger de la direction des mesures, afin de ne pas se retrouver en contrariété avec ses propres valeurs, progressistes, qui défendent des libertés qui ne sont pas respecter en son sein.

"Une fois de plus, le manque total de conscience de la Bay Area technocratique a fait la une des journaux car Reuters rapporte exclusivement que 100 employés de Google aux États-Unis ont fait circuler une pétition au sein de l'entreprise pour protester contre la cyberintimidation.

Selon toute vraisemblance, le catalyseur a était probablement un autre employé conservateur qui a posté sur le forum interne de l'entreprise un propos sur une idée qui n'était pas conforme à la philosophie tiède et progressiste de l'entreprise. Parce que, dans une entreprise où la majorité écrasante de la main-d'œuvre se conforme au libéralisme tiède de la bulle technologique de Bay Area, toute dissidence est considérée comme «menaçante».

Les organisateurs de la pétition déclarent vouloir mettre un terme aux "attaques personnelles" qui se produisent sur les forums de l'entreprise. Bien qu'ils aient négligé de fournir un seul exemple de ces attaques à Reuters. La pétition demande également à Google de détailler expressément les «droits et responsabilités» des accusateurs, des accusés, des gestionnaires et des enquêteurs dans ces affaires de ressources humaines (ils ont manqué le mémo sur l' expression rapide des opinions conservatrices ou anti-establishment). ).

Ironiquement, les signataires de la pétition demandent également à Alphabet de sévir contre les plaintes de ressources humaines qui sont des tactiques d'intimidation à peine voilées (nous supposons qu'ils n'ont jamais entendu l'expression «prêcher par l'exemple»).

Le groupe fait pression sur les dirigeants de niveau intermédiaire dans l'espoir qu'un nombre suffisant d'entre eux soulèvera les préoccupations des signataires avec la direction.

Et là vous l'avez: Des dizaines de collaborateurs riches et extrêmement blancs de Google se plaignent de la «cyberintimidation» et prêchent des valeurs progressistes tout en contribuant à un phénomène économique qui déplace des centaines de milliers de minorités et de pauvres. Malheureusement pour tous, la signalisation de la vertu des élites de la Bay Area ne s'étend qu'aux personnes au-dessus d'un certain revenu.

Une porte-parole de Google a eu la témérité de défendre le lieu de travail de l'entreprise.

«Nous appliquons des politiques solides et travaillons avec les employés concernés pour s'assurer que tout le monde puisse faire son travail sans harcèlement, discrimination et intimidation», a-t-elle déclaré....."

En résumé, il y a un climat dans les couloirs de Bay Area, le QG de Alphabet et donc de Google, qui se dégrade. Non comptant de voir les diversités parfois mis à l'écart, ce sont les employés conservateurs qui en réalité, protestent de la discrimination de la par des progressistes. Le problème étant qu'au sein de l'entreprise, les employés conservateurs sont amalgamés au président, et font l'object d'attaques, d'insultes, et de discriminations. Une situation qui selon d'autres salariés, voir même des cadres, qui ne s'affichent pas politiquement, est nuisible à l'image de l'entreprise, car c'est la fracture sociale et idéologique des USA qui rattrapent la société en son coeur. D'où la détermination de certains groupes d'employés d'exiger de la direction un positionnement clair, avec des règles établies, afin que les divergences politiques sur les sujets sensibles qui préoccupent la société américaine, n'entachent pas le droit à la liberté de pensée, et d'opinion des employés.

https://www.zerohedge.com/news/2018-03-31/more-bay-area-hypocrisy-google-sjws-demand-management-put-end-cyberbullying

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