Une tribune, un manifeste, et voilas l'antisémitisme remit sur la place public. Le problème c'est qu'on le dénonce, sans mettre un visage. Ou alors, laissant suggérer le cliché d'un antisémitisme blanc, d'extrême droite, comme on nous le chante depuis 30 ans. Sauf que, parce qu'on a laisser de coté l'autre antisémitisme, celui qu'on ne nomme pas, pour ne pas mettre dos à dos deux communautés, on est aujourd'hui dépassé par les événements. Car si certains parle d'exportation d'un problème israélo palestinien, d'autres savent que c'est un antisémitisme qui émane d'une population qui n'a ni dieu, ni maître, ni foi réelle, se cachant derrière islamophobie pour mieux commettre leurs impairs. Se cachant derrière un antiracisme, pour mieux exprimer leurs barbaries, leurs violences. Et aujourd'hui, a force d'avoir montré du doigt une frange marginale, on voit désormais une communauté qui veut reprendre le dessus, de par son argument victimaire de la Shoa, pour mieux interdire la critique, et tenter de guider l'état de droit a son avantage, pour condamner ceux qui sont l'ennemis. Mais la question reste : de quels ennemis on parle ?
http://www.leparisien.fr/societe/manifeste-contre-le-nouvel-antisemitisme-21-04-2018-7676787.php
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