Tous le monde se souvient de ce slogan publicitaire du journal Paris Match. Mais la règle ne change pas. Surtout avec les migrants, ou l'on va monté d'un cran l'émotionnel et l'horreur, pour attiser votre compassion, votre humanisme, et vous convaincre d'accueillir toute la misère du monde, sans broncher, sans rien dire, ni même osé poser la question "mais comment on va financer tout çà ?". Et pendant ce temps là, ceux qui dénoncent un "commerce" avec les passeurs, les organisations soit disant ONG et humanitaire, on les traitent de conspirationniste.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire