Il y a quelques années, un vote devait scellé le destin du haut et bas Rhin. Celui qui devait donner aux élus la possibilité de mettre en place un statut particulier pour que ces deux départements soient les premiers a tester la prise directe avec Bruxelles. Sous entendant que ces deux départements auraient appliqués les directives de la commission européenne, sans passer par la case souveraine du parlement ou de l'état nationale. Une forme d'émancipation administrative que finalement les alsaciens ont refusé. Mais c'était sans compter la détermination des européistes, fermement décider a commencer le démantèlement de la république.....
Si en effet la constitution française précise clairement que la république est indivisible, il semble que ce qui se passe à l'heure actuelle en Alsace, soit la continuité de ce plan que certains croient être "une fake news" : la destruction des états nations.
"En d'autres termes, une nouvelle « Catalogne » se profile à l'Est sous le couvert très hypocrite mais apparemment souhaitable d'une unification de ses deux départements et d'un retour à une saine décentralisation, bien mise à mal par la création, en 2016, d'une région Grand Est sans queue ni tête. "
"La création d'une « collectivité » est prévue par la Constitution de 1958. En 2018, lors d'une énième révision, les députés votent un « droit à la différenciation ». La brèche est ouverte. Comment s'y engouffrer et répondre à des aspirations politiques et des intérêts plus ou moins avouables profonds ? En créant une « collectivité européenne », pardi ! Imparable. Et en adoptant, sans le dire ni le faire ouvertement encore, le modèle des Länder allemands, qui disposent chacun d'une Constitution propre, d'un gouvernement et d'une assemblée. À quand un référendum d'autodétermination lancé par la future assemblée de Strasbourg ? "
https://fr.sott.net/article/34192-La-France-en-deuil-l-Alsace-est-perdue
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