Facebook a été reconnu aux USA par les instances médiatiques biens pensants, comme ayant contribuer à l'élection de Donald Trump en 2016, du fait d'avoir laisser trop de conservateurs s'exprimer, sous couvert d'une soit disant porte ouverte aussi, à des infiltration d'interventionnisme russe (oui, on ne lâche pas l'affaire).
Du coup , pression depuis l'année dernière sur son patron, Mark Zuckerberg pour être un peu plus "responsable" de ce qui est diffuser et publier sur son réseau social. Résultat, depuis plusieurs mois, Zuckerberg a prit le taureau par les cornes et impose des règles strictes afin de limiter voir empêcher la diffusion de "fake news" et sous ce prétexte, purger en réalité les promotions trumpistes, et faire la chasse aux critiques contre Biden. Du coup, Facebook devient épuré et c'est tout le principe même de la liberté d'expression et d'opinion qui est en jeu.
Mais au delà de cela, il y a désormais une conséquence inattendu.
Comme dans bons nombres d'entreprises "engagées", le port d'un signe pro BLM est accepté, celui de Biden toléré, celui de Trump, interdit ! Facebook semble ne pas échapper à la règle du fait que le conflit partisan de la société américaine, déborde dans l'entreprise même de Zuckerberg. Au point que des employés, ont finit par démissionner, du fait de juger leurs opinions et expressions menacées par des employés anti Trump qui n'hésitent pas à en venir a des procédés de harcèlements à leur encontre.
Ironiquement, afin de ne pas tomber sous un risque de critique comme le sont déjà certaines entreprises qui assument leurs orientations politiques, Zuckerberg à imposer que désormais toutes conversations ou débat devront se faire sous surveillance. Afin de calmer les esprits, et mieux cerner en réalité, les malaises et dérapages au sein de l'entreprise, et aussi, sans le dire, de mieux canaliser les informations divulguer ou échanger, interdisant désormais de les faire circulé par les outils intranet ou même sur le réseau social.
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