Quelle foire sur certains médias qui attendaient frénétiquement le rapport du GIEC, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat. Et bien évidemment, alarmiste, de surcroît ! Et oui, mince, le climat change les amis, le climat change ! Oui, nous avons une part de responsabilité. Mais ces parts sont souvent orientées, vers des émissions de carbone, l'effet de serre, etc... etc...
Mais étrangement, on parle peu de nos sociétés de consommation, de surconsommation, de nos modèles économiques qui en veulent toujours plus, pour faire toujours plus de profits, pour satisfaire les caprices et les conforts des uns, au détriment des autres, et par voies de faits, en arriver à des erreurs du passé, des approximations, des explosions urbanistiques, démographiques, industrielles. Qu'on cache volontiers derrière le rideau de la culpabilité d'émission de CO2, pour vendre de la taxe, de la taxe, et toujours de la taxe.
Alors qu'en réalité, le climat, avec ce que l'homme et son activité a pu en ajouter, voir aggraver, n'a pas attendu l'humanité pour varier ses plaisirs, ses caprices, ses colères. Seuls les idiots utiles n'ont pas encore compris que ce sont en réalité nos modèles de sociétés et économiques qui sont aujourd'hui éprouvés par mère nature, qui de temps à autres, dans l'histoires de l'humanité, à même provoquer des génocides, comme si elle était responsable d'un équilibre logique, dans lequel l'humanité et sa modernité, n'a pas intégré l'équation pour se rendre compte qu'elle n'est pas propriétaire de la planète, mais qu'elle en est juste de locataire. Et que ce n'est pas à elle de dicter ses règles pour son bon vouloir, son confort, sa sécurité, sa lucrativité, son développement, ses joies, et surtout, son modèle idéalisé d'une Terre ou il ferait 22 degrés tous le temps !
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