mardi 6 décembre 2022

CONSEQUENCES

 

Covid et ARN messager : autopsie d’une mort subite

On parle de vascularites, de myocardites, d’encéphalites et autres lésions pouvant causer la mort. Voici la preuve de l’origine vaccinale de ces lésions pouvant être mortelles.

Un homme de 76 ans, parkinsonien, est décédé brutalement après sa troisième dose. Après sa première dose d’AstraZeneca, il avait présenté des “effets secondaires cardiovasculaires prononcés”. Il a reçu par la suite deux doses de Pfizer. Après la première dose Pfizer, il a développé des “symptômes comportementaux et psychologiques évidents”, avec léthargie et aggravation de ses fonctions neurologiques globales. Malgré la persistance de ces symptômes, il a quand même reçu une seconde dose de Pfizer. Trois semaines plus tard, il s’est effondré brutalement et sans raison. Il a été transporté d’urgence à l’hôpital, n’a pu être réanimé et est mort.

Les autopsies de décès après vaccination sont très rares et des pressions très fortes existent pour les éviter. Cela n’a pas été le cas de ce monsieur, qui a été autopsié par le Docteur Michael Mörz, pathologiste à Dresde en Allemagne. Les conclusions de cette autopsie ont été publiées, on les retrouve dans la National Library of Medicine sur PubMed.gov. Il décrit très bien, preuves à l’appui, les différentes lésions ayant engendré ses troubles et le décès : myocardite et encéphalite nécrosante diffuse, et apporte la preuve de l’agent causal : la protéine spike d’origine vaccinale.

Ce travail documente la présence abondante de la protéine spike vaccinale dans les capillaires du cerveau et du cœur, et montre comment elle est associée à la vascularite, à l’encéphalite nécrosante et à la myocardite. Le Dr Rob Rennebohm, à qui l’on doit une partie de ce résumé de l’article original, l’a fait contrôler par un neuropathologiste, qui l’a validé et a été impressionné par la qualité scientifique du travail (bien que vacciné lui-même).

DE LA VASCULARITE (inflammation de la paroi des vaisseaux sanguins).

Coupe transversale d’un capillaire (du cœur). Elle montre la présence d’une quantité abondante de protéines de pointe (la matière brune vers laquelle pointe la flèche rouge) dans les cellules endothéliales, qui sont les cellules qui tapissent la paroi interne du capillaire. On observe un gonflement des cellules endothéliales et quelques cellules inflammatoires mononucléaires dans la paroi du capillaire.

DE LA MYOCARDITE

Ventricule gauche : artériole avec inflammation et dégénérescence aiguë, avec infiltrats lymphocytaires dans la paroi. Gonflement endothélial et vacuolisation des myocytes (cellules du coeur). Caillots et fibrine dans la lumière vasculaire, indiquant des lésions endothéliales. 1. Myocytes, 2. Lymphocytes, 3. Cellules endothéliales gonflées, 4. Macrophages, 5. Myocytes nécrosés, 6. Granulocytes éosinophiles, 7. Œdème interstitiel (ligne bleue). Agrandir l’image.

DE L’ENCÉPHALITE 

Ici une coupe transversale d’un capillaire du cerveau. Elle montre des signes importants de vascularite. Le vaisseau est rempli de globules rouges hémolysés (normal dans les autopsies). Augmentation des cellules endothéliales (5) qui sont gonflées avec élargissement des noyaux, indiquant une activation. Des cellules inflammatoires s’infiltrent dans la couche endothéliale, avec lymphocytes (1), granulocytes (2), histiocytes (4). Le tissu cérébral adjacent montre également des signes d’inflammation (encéphalite), avec présence de lymphocytes et de cellules microgliales (nettoyeuses de déchets de nécrose). Agrandir.

QUELLE PROTÉINE SPIKE ? VIRALE OU VACCINALE ?

Michael Mörz a également apporté la preuve que ces lésions étaient liées à la présence de protéine spike d’origine vaccinale, par coloration immunohistochimique à la recherche d’antigènes du Sars-Cov-2, concernant la protéine spike et la nucléocapside. 

Les vaccins à ARNm incitent le système immunitaire à produire des anticorps uniquement contre une spike définie par l’ARNm, et contre aucune des autres protéines du SRAS-CoV-2. Une personne vaccinée ne développe donc que des anticorps contre la spike (glycoprotéine située à la surface du virus permettant au virus de pénétrer dans les cellules humaines). Par contre une personne infectée par le virus va développer 2 types d’anticorps : contre la protéine spike (S) et contre la protéine de la nucléocapside (N), située à l’intérieur du virus, et très différente de la protéine spike.

 

Mörz n’a trouvé que de la spike vaccinale et non virale. Si la spike avait été d’origine virale naturelle, la protéine de pointe et la protéine de nucléocapside auraient dû être présente. L’absence de cette dernière démontre que la protéine spike était d’origine vaccinale. Les tests de présence de la protéine spike positifs et les tests de présence de la protéine nucléocapside négatifs, signent bien l’origine vaccinale des vascularites, myocardites et encéphalites.

La sous-unité 1 de la spike a été retrouvée dans l’endothélium, les cellules microgliales et les astrocytes dans les zones nécrotiques. De plus la spike a été retrouvée dans des zones de périartérite de l’aorte thoracique, abdominale, dans les artères iliaques et de la base du tronc cérébral, montrant la grande affinité de la spike pour tout le réseau artériel, gros ou petit.

Par contre, la protéine de la nucléocapside du Sars-Cov-2 n’a pu être retrouvée dans aucune des coupes.

Dans le lobe frontal, réaction positive pour la protéine de pointe. Coupe transversale d’un vaisseau, avec réaction immunohistochimique pour la sous-unité 1 de la protéine de pointe, détectable sous forme de granules bruns dans les cellules endothéliales (flèche rouge) et les cellules gliales (flèche bleue)

Dans le cœur, coupe transversale d’un vaisseau du ventricule gauche : réaction positive pour la spike à gauche (granules bruns), et négative pour la protéine de la nucléocapside à droite. Les deux réactions sont sur le même vaisseau.

CONCLUSION

Chez ce patient, la vascularite, l’encéphalite et la myocardite étaient associées à des dépôts de protéine spike, et cette protéine spike était d’origine vaccinale. Cette protéine spike est présente dans les parois des petits vaisseaux sanguins ainsi que dans les tissus cérébraux et cardiaques. Des cellules inflammatoires (principalement des lymphocytes) ont été trouvées à côté des dépôts de protéine spike. La protéine spike n’a pu être mise en évidence que dans les zones présentant des réactions inflammatoires aiguës (cerveau, cœur et petits vaisseaux sanguins). L’interprétation la plus logique de ces résultats est que la protéine spike vaccinale a provoqué une réaction inflammatoire, entraînant vascularite, encéphalite et myocardite.

 Les images présentées dans l’article de Mörz apportent des preuves pour l’hypothèse suivante : lorsque l’ARNm est injecté dans le bras,il passe dans la circulation et se retrouve dans les cellules endothéliales qui tapissent les petits vaisseaux sanguins du cœur et du cerveau (et sans doute dans tous les organes). Une fois à l’intérieur des cellules endothéliales, l’ARNm demande aux ribosomes de la cellule de fabriquer la protéine spike. 

La protéine spike migre ensuite vers la surface externe de la cellule endothéliale, et le système immunitaire reconnaît alors la protéine spike (ou ses fragments) comme étrangère et en conclut que la cellule endothéliale est infectée. En conséquence, le système immunitaire envoie des lymphocytes et d’autres cellules inflammatoires dans les parois du vaisseau pour attaquer la cellule endothéliale présumée infectée. La paroi du vaisseau s’enflamme (vascularite) et, au cours de ce processus, les cellules endothéliales subissent des lésions immunologiques et peuvent gonfler à des degrés divers. Parfois, une coagulation intravasculaire anormale peut être déclenchée, coagulation par ailleurs résistante à la fibrinolyse (aux traitements (défenses naturelles ou traitements externes). Les lésions peuvent être peu importantes, sans troubles cliniques, mais aussi modérées et mortelles si encore plus importantes comme ici.

Si la vascularite est suffisamment grave, le flux sanguin dans le vaisseau inflammé est diminué, parfois également avec thromboses (phlébites, embolies, AVC,..) mais peut aussi entraîner la mort (nécrose) des cellules qui reçoivent normalement l’oxygène et les nutriments du sang circulant dans ces vaisseaux, d’où la mort par exemple des neurones, cellules du cerveau, ces neurones n’étant pas directement attaqués. L’autopsie a montré des nécroses diffuses du tissu cérébral au contact des lésions capillaires inflammatoires. On peut aussi faire le lien avec l’infarctus, pathologie due aux artères du coeur qui se bouchent, en général par sclérose ou dépôts de cholestérol, toute obstruction provoquant cet infarctus. On sait par ailleurs que l’ARNm diffuse très rapidement dans TOUS les organes, par voie sanguine, tous peuvent donc être touchés par ces lésions vasculaires.

Si l’on veut cesser le doute, si l’on veut savoir pourquoi ces morts subites, si l’on veut démontrer que les vaccins ne sont pas en cause, si l’on veut rassurer les familles, il faut systématiquement faire des autopsies au lieu de les fuir. La vérité doit être un droit, surtout quand il s’agit de notre vie ou de notre mort.

“Quand on enferme la vérité sous terre, elle s’y amasse, elle y prend une force telle d’explosion, que, le jour où elle éclate, elle fait tout sauter avec elle”. Émile Zola, dans J’accuse… ! Lettre au Président de la République, L’Aurore, n° 87, 13 janvier 1898.

N.B : Pour agrandir les coupes, allez sur l’article original en anglais, et cadeau : article original en français.

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