dimanche 2 juin 2024

URSULA GATE

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#UrsulaGate – Influences et pressions subies par les médias, les spin doctor

Paradoxalement, plus un sujet est brulant, plus il est important de prendre le temps de la réflexion avant d’en parler. Cette maxime empreinte de prudence et de bon sens s’applique, notamment quand il s’agit de parler des conflits, afin d’éviter de réagir à chaud. En Europe, un conflit est en cours, celui de l’information puisque de nombreux médias semblent refuser de parler de la plainte pour corruption qui vise Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne (CE).  Un silence assourdissant entre omerta et censure qui a été évoqué à plusieurs reprises dans les articles de France-Soir.  

L’autocensure, au sein des rédactions, a été décrite dans l’article, black-out dans les médias français et désinformation de Politico.  Black-out, car aucun des médias mainstream français n’a réellement parlé de l’affaire pénale visant Ursula von der Leyen, la présidente de la CE. Les rares médias à l’image de Cnews qui en ont parlé se sont fondés sur des informations fausses rapportées dans un article de Politico le 1ᵉʳ avril 2024Il importe donc de porter autant attention sur le contenu que sur le contenant puisque les deux contribuent à la désinformation. Interpellés par France-Soir, le 21 mai 2024, Politico n’a toujours pas modifié ou rectifié son article, violant ainsi le devoir numéro 1, 3 et 6 de la charte d’éthique des journalistes dite de Munich. Pas plus qu’ils n’ont parlé de l’audience du 17 mai 2024 à Liège, contribuant par conséquent à la non-information de millions d’électeurs européens.  Dans les faits, c’est comme si l’information de la tenue d’une audience, de la conférence de presse et des conséquences n’existaient pas chez Politico ! Et, par ricochet, dans les autres médias mainstream.

Charte de Munich

 

 

Quelle en est la cause ? Ou plutôt les causes ?

Les diverses causes possibles, omerta et censure, étaient passées en revue dans un article précédent. Cependant, de nouveaux éléments sont à prendre en considération : entre désinformation maladroite et intentionnelleinfluence et ingérence, tout y passe.

Afin de masquer ou de ne pas évoquer le réel mérite de la plainte, certains recourent aux techniques de détournement d’attention ou à la désinformation. Par exemple, François Asselineau a déclaré maladroitement dans une vidéo, avoir rencontré, sans se souvenir de son nom, Frédéric Baldan (plaignant principal dans la plainte contre von der Leyen). Il fut immédiatement contredit par Frédéric Baldan lui-même dans un tweet

Le problème en soi n’est pas qu’il y ait eu rencontre ou pas, mais que les auditeurs aient l’impression que « la justice belge ne verrait pas d’un bon œil l’intervention des partis politiques ».  Frédéric Baldan, qui a déposé sa plainte mettant en cause Ursula von der Leyen, pour usurpation de titres, destructions de documents, prise illégale d’intérêt et corruption auprès du juge d’instruction Frenay, a bien été rejoint par deux partis politiques (Les Patriotes et Vivant OestBelgium) ainsi que la Pologne et la Hongrie, et plus de 460 navigants ! L’intervention des partis politiques ne semble jamais avoir été un problème pour la justice belge et le juge Frenay.

En période de campagne électorale, les Français sont habitués aux sorties en tous genres des politiques, qui essaient de tirer la couverture à eux d’une manière ou d’une autre. D’ailleurs, les "officines" de fact checking créés pour « factchecker (vérifier) les dires des politiques en 2015 », rappelait Fabrice Fries PDG de l’AFP, ne se sont pas empressées de vérifier l’information délivrée par François Asselineau ! Pas plus qu’elles n’ont vérifié les dires d’Ursula von der Leyen sur de possibles ingérences étrangères dans les élections ou même les déclarations de son avocat Me Masset qui indique que les plaintes « émanent d’antivax ». Me Masset vise-t-il aussi la Pologne et la Hongrie, deux États membres engagés à acheter un nombre faramineux de doses de vaccins ? Me Masset n’a pas daigné se rendre disponible pour répondre à cette question.

En sus, alors qu'elle est financée par des deniers publics, l’AFP n’a pas rapporté l’information de la plainte pénale visant Ursula von der Leyen ! L’un explique donc l’autre. Vérifier cette information reviendrait à donner de la visibilité à l’information principale : la plainte pénale visant la présidente de la CE ! Ceci ne fait visiblement pas partie de la ligne éditoriale de l’AFP qui choisit paradoxalement de rapporter le prix honoris causa reçu par von der Leyen de l’Université de Toulouse ! Mais, alors pourquoi l’AFP parle-t-elle des plaintes visant Éric Dupond-Moretti ? Cerise sur le gâteau ou information connexe, Fabrizia Benini, l’épouse de Fabrice Fries est haute fonctionnaire à la CE à la Direction générale des réseaux de communication du contenu. Un deux poids deux mesures, qui reflète l’absence de poids médiatique donné à cette information importante. Une sorte de soutien à la campagne d’Ursula von der Leyen à sa réélection. La république des copains de l’information se profile.

Pression et désinformation 
Ce sujet devient plus embêtant quand il y a pression et désinformation sur les réseaux sociaux, afin d'accaparer un petit territoire médiatique. Ces approches sont autant à condamner que les basses manœuvres politiciennes. Une illustration de la guerre de l’information où tous les coups semblent permis.

Voyons plutôt ce que l’on dit à propos de France-Soir sur une prétendue influence étrangère, russe ou chinoise, au choix en fonction des détracteurs !  Ces nouveaux arguments à la mode dans les cénacles politiques. À ce sujet, la présidente de la CE a évoqué cela lors de son interview chez Politico avec les autres candidats sur la position de la Hongrie : ingérence d’une puissance étrangère dans les élections ou les affaires de l’UE !

Ce type d'accusation non étayée représente un argument d'autorité. Ceux qui en font usage pratiquent couramment l’inversion accusatoire ou l’inversion de la charge de la preuve.  Les exemples sont nombreux, de l’efficacité des vaccins, à l’attentat de Nord-stream I et II ou encore la fiole d’anthrax à l’ONU (qui a permis d’engager les forces armées en Irak). Bref, tout est influence quand ce n’est pas ingérence étrangère ! Pourtant, c'est bien Bruno Le Maire qui a déclaré vouloir mettre l’économie russe à genoux ou Emmanuel Macron qui signe un accord de coopération avec l’Ukraine de Zelinsky s’octroyant sans jugement judiciaire la possibilité de faire payer à la Russie la reconstruction de l’Ukraine

 

Dans le cadre de la plainte la visant, la présidente de la Commission et son entourage se seraient-ils prêtés à un tel jeu ?

Certains médias à l’étranger ont bien parlé du sujet comme LN24 en Belgique, ou Pionner en Allemagne sans vraiment aller jusqu’au bout du sujet. L’angle traite de la plainte, mais des informations clés sont manquantes sur le sérieux de la plainte et du travail d’enquête du juge belge, sur le rôle obscur du parquet européen dans cette affaire. Dans le cadre de The Pionner, avec qui j’ai pu échanger, j’ai bien partagé toutes les informations, vérifiables, des articles de France-Soir. Dans de nombreux cas, l’information qui ressort est incomplète, le travail est fait, mais le lecteur n’est pas pour autant informé des réels tenants et aboutissants de l’affaire pénale. Cependant, c’est bien mieux qu’en France où l’AFP, TF1, FranceTV font toujours silence radio sur l’audience du 17 mai 2024 et la conférence de presse.

 

 

Spin doctor ou intervention politique de l’entourage de von der Leyen ?

C’est au détour d’échanges avec des confrères journalistes qu’apparait l’intervention de l’entourage politique de von der Leyen. Les experts en communication qui construisent des narratifs afin de détourner l’attention des médias entrent en jeu. Dans le cas présent, les « spin doctors sont de sortie » explique un de nos confrères, « ils font pression pour que l’on ne parle pas de cette affaire ».

À commencer par Me Masset l’avocat d'Ursula von der Leyen, « On ne sait d’ailleurs pas s’il est payé par la Commission ou directement par la mise en cause. » 

D'un côté, Ursula von der Leyen serait dont prête à déclarer une ingérence de puissances étrangères dans le cadre des élections sans réellement apporter de preuve. De l'autre son entourage prêt à faire pression sur les médias afin d'étouffer l’affaire pénale la visant. Malgré sa déclaration qu'était « transparente » et se soumettrait à la justice, elle était absente de l'audience du 17 mai 2024.

La question de l’ingérence pourrait aussi se poser sur le premier des plaignants, Frédéric Baldan : « Ne pourrait-il pas être sous influence d’une puissance étrangère, après tout c’est un lobbyiste » évoque un journaliste. Frédéric Baldan opère dans le secteur de la sécurité aérienne afin de garantir la sécurité dans l’intérêt des passagers. Il n’a jamais œuvré dans l’industrie pharmaceutique et ce dernier a bien perdu sa carte de lobbyiste sur une décision questionnable d’une subordonnée directe d'Ursula von der Leyen.  Il n’a donc plus de réel moyen d’agir comme lobbyiste ! Hypothèse intéressante qui se révèle nulle et non avenue. Décrédibiliser la qualité du plaignant, une méthode habituelle pour les "spin doctors".

Il y a 15 jours, la présidente de la commission a rencontré le président chinois Xi JinPing en visite officielle en France à Paris. A-t-elle évoqué l’hypothèse d’une possible ingérence étrangère dans les affaires européennes avec le président chinois ? Si elle, ou ses conseils, avaient eu un quelconque doute sur une influence étrangère liée à la plainte pénale et à la qualité des plaignants, n’aurait-elle pas dû le déclarer aux services de sécurité belges ? Ce sont bien sûr des accusations gravissimes qui, sans preuve, sont calomnieuses. Cela n'est pas sans rappeler le "spin doctoring", ou désinformation, sur l’affaire du sabotage de Nord-Stream, immédiatement qualifiée d’acte russe. Ou encore celle de l’origine du virus de la covid déclarée d’origine naturelle en remettant la faute sur la Chine sans autres analyses. L’histoire prouvera que ces informations étaient bien fausses. Ceux qui remettaient en cause le narratif officiel mis en place avec un narratif homogène sur tous les médias, étaient affublés de l'étiquette de complotiste. 

Pour reprendre l’exemple de France-Soir. Ayant été accusé, sans autre élément de preuve qu’un déclaratif d’opposants ou de concurrents, d’être sous « possible influence étrangère », France-Soir, outre les revues de son agrément, a fait l’objet de plusieurs contrôles fiscaux ! Les inspecteurs du dernier contrôle dirigé, pour lequel un lanceur d’alerte au sein de la DGFIP (Directrion générale des Finances Publiques) avait alerté la rédaction, semblaient particulièrement intéressés par... l’origine des fonds des donateurs. Vérification faite, aucun souci n’a été repéré de ce côté-là. Il est donc purement calomnieux que d’aller sur ce terrain. Cependant, cela sert la mise en place d’un narratif visant à détourner les lecteurs de France-Soir. Pour tuer son chien, on l’accuse de la rage !

Le lobbying chinois en Europe aurait-il bon dos ?

Il existe bien depuis longtemps.  D’ailleurs, en sortie de son interview chez nos confrères belges de LN24, Frédéric Baldan croisera rapidement, à l’hôtel Tangla, l’un de ceux que l’ont décrit comme « Monsieur Chine en Europe » à savoir Luigi Gambardella. En voyant Frédéric Baldan, Luigi Gambardella s’éloigna vite en tapant sur son téléphone. Un spécialiste du lobbying à Bruxelles déclare : « Par le passé, Gambardella avait reçu 200 000 euros de la part de la mission de la Chine auprès de l'UE pour les rapprocher de la Commission. Il roule pour n'importe qui et pour l'argent. » Ici, l'ingérence supposée des puissances étrangères serait donc facilitée par la cupidité de certains lobbyistes peu regardants.

Ce n’est pas tout. En effet, l’Europe est engagée dans la mise en place d’un système de contrôle de toutes les transactions à travers un système centralisé pour la facturation électronique. Ursula von der Leyen, présidente de la CE, est bien déterminée à suivre les directives du WEF (World Economic Forum). Elle a cependant fait part à plusieurs reprises de l’ingérence étrangère dans l’UE ou dans les élections à venir. Mais, ne fait-elle pas que suivre un plan préétabli, qui permet ce contrôle total en prenant exemple sur le système chinois ? 

Ce ne serait donc pas une ingérence de la Chine dans les affaires européennes dont il s’agit. Mais bien sous l’influence ou en prenant exemple sur le modèle chinoisdument acceptée par Ursula von der Leyen, qu’elle pousse cet agenda afin de faciliter le contrôle total de toutes les transactions. L’inversion accusatoire perdure donc dans la communication. On instrumentalise les puissances étrangères d’ingérence quand cela semble utile ! Valérie Hayer, candidate macroniste pour la liste Renew Europe, fera une affirmation semblable, argument d’autorité, sans apporter de preuves tangibles à ses propos et sans que les journalistes relèvent ou vérifient son assertion. Une lectrice de France-Soir lui fit remarquer dans une réponse du tac au tac : « Le meilleur moyen de se défendre contre les ingérences étrangères est de faire cesser la Corruption et l'incohérence de l'UE. Quelle est votre position sur la procédure en cours (en parlant de la procédure visant Ursula von der Leyen). » La réponse de Valérie Hayer se fait attendre.

En France, la mise en place de la facturation électronique commence le 1ᵉʳ juillet 2024 pour les grandes entreprises. Cela permettra donc à l’État français de s’immiscer dans les relations entre toutes les grandes entreprises et les consommateurs.  En effet, à compter du 1ᵉʳ juillet 2024, toutes les factures de ces entreprises deviendront électroniques et devront utiliser le portail pour la facturation contrôlé par l’État français.

 

Et, l'influence ou ingérence russe ?

Idem sur l’influence russe, que l’on sert à toutes les sauces. Merci l’opération spéciale en Ukraine qui permet donc d’invoquer, à tout moment, une possible ingérence russe. Cette dernière restant bien sûr à prouver. Cependant jusqu’à présent, la désinformation est plus côté des autorités européennes envers les européens avec le soutien des médias, que coté des puissances étrangères. Même s’il ne faut jamais être dupe, et surtout aussi savoir regarder dans les détails. Le diable n'y est-il pas ?

Prenons, par exemple, Me Masset. Dans l’affaire du Kazakhgate qui a secoué la Belgique, Me Masset a été l’avocat d’Armand de Decker, ancien président du Sénat belge, inculpé pour trafic d’influence en 2018 par le procureur de Mons Ignacio de la Serna. Dans cette affaire, il n’y aura pas de procès, suite au décès de De Decker en 2019l’action publique le visant, s’étant éteinte. Cependant, son nom restera publiquement entaché par cette inculpation. De plus, Me Masset avait été sollicité par Sénat belge en tant qu’expert pour faire émerger une loi qui a profité à Mr Chodiev dont la presse belge a pourtant révélé les liens avec la mafia russe. On s’interroge donc sur la façon de Me Masset de s’assurer qu’il n’y avait aucune possible intervention étrangère dans sa propre intervention !

En pointant du doigt des « plaignants antivax » dans l’objectif « de ne pas leur donner d’attention », Me Masset ne montre-t-il pas le doigt pour que l’on évite de regarder la Lune ? En l’occurrence, détourner l’attention de certains de sa personne et de son rôle dans l’affaire du Kazakhgate ? Si tel est le cas, c'est une tentative vaine ! Qui donc est plus proche d’une influence russe ? Qui a joué un rôle dans le cadre d’une loi qui a permis à un agent russe d’obtenir une remise économique non négligeable ?  Le premier spin doctor Me Masset n’était pas disponible pour répondre à nos questions. Questions qui subsistent donc !

Les questions ont été aussi posées au cabinet de von der Leyen dont les adresses e-mails se trouvent directement sur le site internet de la CE. Un certain Eric Mamer, porte-parole en chef, nous a répondu. Après une formule de politesse, sa réponse confirme bien la procédure en cours et en dit long sur les intentions de transparence, « la Commission n’a aucun commentaire à faire sur la procédure judiciaire à Liège que vous mentionnezDe même, elle ne commente jamais les actions de l’EPPO (ndlr : parquet européen). Merci d’adresser vos questions directement à l’EPPO pour ce qui la concerne. » Quant à nos questions sur les sources et preuves sur les ingérences étrangères – elles sont balayées d’un revers de la main. Idem sur nos questions sur une possible suspension de la présidente et des commissaires pour garantir un procès équitable ainsi que le droit des victimes.

 

 

Conclusion

Les politiques feraient-ils donc un usage abusif de leur position pour exercer la censure ? Leurs conseils utiliseraient-ils les vieilles méthodes afin d’orienter l’œil du public loin de la vérité ?

L’omerta sur l’affaire de la plainte pénale contre Ursula von der Leyen semble bien prendre une tournure d’influence politique sous la main habile des "spin doctors". Ce qui apporte une explication crédible au fait que les Français ne sont pas dument informés de la plainte visant Ursula.

En outre, cela permet de vérifier que « la fraude corrompt tout », quand on a le pouvoir et que l’on oublie d’agir dans l’intérêt général, tout devient permis.

Déjà visée par une plainte pour corruption sur les contrats des vaccins, la présidente de la Commission pourrait bien se voir visée d’une plainte pour abus de position dominante et trafic d’influence empêchant les électeurs d’être dument informés. Ce qui expliquerait donc le black-out sur cette information. 

Donc, en sus de la période d’octroi des subventions aux médias décrite dans notre article précédent, les "spin doctors" sont de sortie pour faire pression sur les médias et éviter que l’information ne sorte, accompagnés par le taiseux cabinet de von der Leyen.

Un spécialiste de la communication de crise à Bruxelles décrypte la situation « l’audience du 17 mai à Liège ne s’est pas passée comme espérée, le renvoi au 6 décembre a été un choc pour les avocats de von der Leyen a donc sorti les ficelles du spin doctor » (ndlr : rappelons que le parquet européen avait fait une requête d’irrecevabilité des plaignants). L’expert explique que « Me Masset a communiqué sur les plaignants en leur collant sans preuve l’étiquette d’antivax, afin d’éviter de parler de la plainte visant sa cliente et surtout de l’échec de ne pas avoir obtenu le règlement attendu lors de l’audience. »  L'explication qui en découle est des plus claires : « en décrédibilisant les plaignants, il détourne ainsi l’attention des médias loin de la plainte » avant d'ajouter dans « dans les médias pour garder sa place, on ne parle pas des procédures des antivax ! »  Dans le cas présent, c’est bien le rôle que tente de jouer, en même temps, le cabinet de von der Leyen et Me Masset. Il faudrait donc maintenir quoiqu'il en coute le couvercle sur l'information jusqu’aux élections. Mais, au fait qui paie Me Masset ?

Simple en apparence. Cependant, c’est oublier qu’il y a deux pays qui se sont joints à la plainte et que d’autres pourraient s’y joindre.

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