INFO OU INTOX : Ze blog -
Des infos, des réflexions, sans prétention d'être expert, juste citoyen. Besoin de comprendre, d'appréhender, et de voir les choses différemment avec un recul qui n'est pas sans intérêts pour mieux saisir comment le monde tourne, en réalité.
Un plan d'un nouvel ordre mondial, ne peut pas s'appliquer par la démocratie. Le militaire est indispensable pour faire taire, chasser, éliminer la contradiction.
L’objectif déclaré : Dominer militairement l’ensemble de la planète. Le spectre complet de la domination.
Avant que les États-Unis n’entrent dans la Seconde Guerre mondiale, une série d’études du Council on Foreign Relations, adoptées ensuite par l’administration Roosevelt, déclarait que la politique du gouvernement américain était de parvenir à une domination militaire totale sur le monde entier.
En 1991, la doctrine Wolfowitz a introduit une nouvelle précision : les États-Unis mèneraient une guerre préventive contre tout pays ou toute combinaison de pays susceptible de menacer cette domination.
En 2001, à l’époque du « 11 septembre “, les États-Unis ont déclaré un nouveau raffinement : celui de la ” domination totale » (Full Spectrum Dominance. le spectre complet de la domination) pour garantir qu’aucune autre nation ou combinaison de nations ne puisse menacer la suprématie des États-Unis dans tous les domaines de la guerre : terre, mer, air, espace ou cyberespace.
Avant que les États-Unis n’entrent dans la Seconde Guerre mondiale, une série d’études du Council on Foreign Relations, adoptées ensuite par l’administration Roosevelt, déclarait que la politique du gouvernement américain était de parvenir à une domination militaire totale sur le monde entier.
En 1991, la doctrine Wolfowitz a introduit une nouvelle précision : les États-Unis mèneraient une guerre préventive contre tout pays ou toute combinaison de pays susceptible de menacer cette domination.
En 2001, à l’époque du « 11 septembre “, les États-Unis ont déclaré un nouveau raffinement : celui de la ” domination totale » pour garantir qu’aucune autre nation ou combinaison de nations ne puisse menacer la suprématie des États-Unis dans tous les domaines de la guerre : terre, mer, air, espace ou cyberespace.
Jusqu’à ce que les États-Unis annulent officiellement ces déclarations en série, elles restent évidemment en vigueur et déterminent toute autre action. Aucune branche du gouvernement ne peut être autorisée à les affaiblir ou à les annuler. Toutes les ressources de la nation sont susceptibles d’être détournées ou confisquées pour asseoir leur pouvoir, y compris chaque action de chaque individu, non seulement aux États-Unis mais dans toutes les autres nations. Même l’idée d’une autre possibilité est considérée comme un acte proscrit.
Nous avons vu à maintes reprises que la force et la violence américaines dominent le monde entier, non seulement en théorie, mais aussi en pratique, jour après jour et tout au long de la nuit.
Vous en doutez ? Regardez autour de vous et regardez à nouveau. Regardez toutes les guerres depuis 1941, toutes les actions secrètes, tous les assassinats, toute la propagande et tous les stratagèmes. Aujourd’hui, nous avons même la pandémie COVID gérée par l’armée et d’autres pandémies promises.
Tant qu’un président des États-Unis ne se lèvera pas pour remettre en question toutes les hypothèses sur lesquelles reposent ces tragédies, à quoi servira sa parole sur n’importe quel autre sujet ? Tout cela n’est-il pas de la foutaise ?
Ces derniers mois, en Syrie, les forces américaines engagées dans la coalition anti-jihadisteont viséà plusieurs reprises des cadres du Fateh al-Cham (ex-Front al-Nosra), une organisation ayant affirmé avoir rompu avec al-Qaïda en juillet 2016. Mais son chef, Mohammad al-Jolani, ne faisait jusqu’à présent pas l’objet d’un avis de recherche émis par Washington. C’est désormais chose faite.
En effet, le 10 mai, le département d’État a annoncé qu’une prime de 10 millions de dollars serait offerte pour toute information permettant de localiser al-Jolani, dont le nom figurait depuis 2013 sur la liste américaine des personnalités sanctionnées pour leurs activités terroristes.
Depuis qu’il a abandonné l’appellation « Front al-Nosra », le Fateh al-Cham a fusionné avec quatre autres groupes syriens, dont l’influent Noureddine al-Zinki, pour former l’organisation Tahrir al-Cham. En outre, les services de renseignement ne croient pas à sa rupture avec le réseau fondé par Oussama Ben Laden. « Le Front al-Nosra reste la branche d’al-Qaïda en Syrie », affirme le département d’État. Et il est le deuxième groupe jihadiste le plus important après l’État islamique (EI ou Daesh).
En mai 2016, le chef d’al-Qaïda, Ayman al-Zawihiri, et le fils de Ben Laden, Hamza Ben Laden, avaient affirmé que le Levant restait une priorité pour leur organisation. En outre, plusieurs cadres de cette dernière ont été tués par des frappes américaines alors qu’ils étaient visiblement liés au Fateh al-Cham.
Environ une soixantaine de jihadistes font l’objet d’une prime offerte par Washington. Les récompenses les plus élevées (25 millions de dollars) concernent Abou Bakr al-Baghdadi, le chef de l’EI, et Ayman al-Zawahiri. Dix millions de dollars sont offerts pour tout renseignement concernant Sirajuddin Haqqani, Hafiz Saeed, Yassine al-Suri et donc Mohammad al-Jolani. La tête du chef de Boko Haram, Abubakar Shekau, a été mise à prix pour 7 millions de dollars.
3 jeunes étudiants veulent se venger de Charles Martel car en 732 il avait vaincu les troupes arabo berbères ... Du coup, ils préparent un attentat d'inspiration djihadiste contre la Mairie de Poitier😳. 3 candidats au Djihad. Voilà où nous en sommes en 2024 en 🇫🇷, c'est grave.… pic.twitter.com/oJWHkw6NMx
— 🇫🇷 fred le gaulois 🇫🇷 Uniondesdroites 🐱 (@FredGaulois) December 9, 2024
Le conflit séculaire entre pouvoir chiite et sunnite. En 2016, la guerre en Syrie, était déjà dans cette équation de calculs politiques occidentaux, a essayer de jongler avec les influences, dominations, et ambitions. Au milieu de cette guerre, Israël.... 2024, on a finalement réussit a faire tomber Assad... par un mouvement jihadiste sunnite
Dans le monde, 80 % des musulmans sont sunnites, et 15 %, chiites. A l'origine de cette division, une querelle de succession. Après la mort de Mahomet, en 632, une minorité de ses fidèles désignèrent son gendre Ali pour lui succéder. Ils prirent le nom de "chiites" ("partisans d'Ali"). La majorité, les sunnites (de "sunna", "tradition"), lui préférèrent Abou Bakr, jugé plus expérimenté. Cette fracture engendra des siècles de rivalité. Attentats, persécutions, profanations... La guerre qu'ils se livrent encore aujourd'hui ne cesse de faire des victimes. Les lieux saints, notamment chiites, sont régulièrement ciblés.....
L'activiste de gauche Darcie Bell, qui a passé des années sur les réseaux sociaux à dénoncer la dé-budgetisation de la police , est devenue virale après que son camion U-Haul (camion de location) ait été volé à San Francisco et condamnant la police n'avoir rien fait .
« Si vous voyez un camion Uhaul de 26 pieds avec la plaque d'immatriculation de l'Arizona AL50003, pourriez-vous me le faire savoir car il y avait presque tout ce que je possède dedans », a-t-elle écrit sur X.
Bell, qui se fait appeler « Jerque Costeau » sur X, et dont la biographie dit « répondra à tous les arguments de mauvaise foi par des attaques ad hominem », a fustigé la police quelques heures après avoir déposé une plainte pour ne pas avoir immédiatement retrouvé ses objets volés.
À ceux qui l’accusent d’hypocrisie, elle a insisté sur le fait qu’elle n’avait « littéralement jamais appelé la police » et a réitéré d’autres appels à la suppression du financement des forces de l’ordre pour faire bonne mesure.
U-Haul l'a exhortée à alerter les autorités du vol de son camion.
« Veuillez vous assurer de nous recontacter pour fournir le rapport de police au service de récupération d'équipement », a demandé le service client de l'entreprise. -NY Post
Après avoir été moqué à juste titre, Bell a répliqué : « Regardez ces bons « défenseurs des victimes » chrétiens qui célèbrent la perte de leurs biens par mes enfants à Noël . »
LE MONDE DE LA GAUCHE BIEN PENSANTE, TENTE UN COUP D'ETAT EUROPEEN POUR ECARTER LES POPULISMES ET SOUVERAINISMES D'EXTRÊME DROITE.
Par le passé, les élites progressistes n’étaient généralement pas menacées par les campagnes des anciens partis du centre et de centre-droit, car ces groupes étaient depuis longtemps dirigés par de faux conservateurs qui n’avaient aucune intention de perturber la déviation de la fenêtre d’Overton vers la gauche radicale. Mais bien sûr, les temps ont changé. Une opposition légitime à l’extrême gauche se développe sous la forme de partis politiques luttant pour des frontières sûres et d’initiatives anti-wokeness, et les progressistes sont furieux.
Ils ont eu un avant-goût du pouvoir quasi total, et bien qu'ils prétendent être les saints patrons de la démocratie, ils adoptent ouvertement des idéaux autoritaires afin de conserver ce pouvoir.
Aux États-Unis, l’extrême gauche mène une guerre de propagande à outrance et utilise le système judiciaire depuis des années pour empêcher les conservateurs de revenir au pouvoir. Les tactiques de guerre juridique utilisées contre Donald Trump étaient sans précédent, mais ont finalement échoué. En Europe, cependant, les militants de gauche rencontrent plus de succès.
En Allemagne, les autorités tentent d'interdire le parti AfD, qui connaît un succès croissant, au motif qu'il représente un « retour au fascisme ». Plus de 100 parlementaires ont soutenu la résolution , mais il n'est pas certain qu'elle soit soumise au vote. L'AfD est le deuxième parti le plus populaire en Allemagne et a récemment présenté un candidat à la chancellerie pour les prochaines élections de février.
Tous les autres partis politiques allemands sont des variantes du spectre progressiste. Les gauchistes affirment que si l'AfD obtient un pouvoir gouvernemental significatif, ils refuseront de collaborer avec elle, préférant laisser le gouvernement allemand dans un état d'incertitude plutôt que d'accepter la volonté des électeurs. Il convient de noter que le gouvernement de coalition allemand est déjà en train de s'effondrer et que le pays est en crise.
En France, le succès croissant de Marine Le Pen et de son parti, le Rassemblement national, a été accueilli avec une extrême dérision par les élites progressistes. L’establishment sous Emmanuel Macron s’est livré à des manigances politiques après la victoire du Rassemblement national au premier tour des élections françaises. Les centristes ont formé une coalition avec les gauchistes radicaux pour empêcher la droite de prendre le pouvoir. Cette initiative était techniquement légale, mais considérée par beaucoup comme une tentative immorale de priver les électeurs conservateurs français de voix.
Les élites tentent également d'utiliser la guerre juridique contre Le Pen, en invoquant des accusations de détournement de fonds européens dans le but de s'assurer qu'elle ne puisse pas se présenter aux élections de 2026. Comme en Allemagne, il convient de noter que la coalition même qui avait été mise en place pour maintenir l'aile droite hors du gouvernement s'est effondrée sous la motion de censure du Premier ministre Barnier et que la France est actuellement en crise .
En Grande-Bretagne, il n’existe pas de parti de droite pour représenter les intérêts publics. Le régime progressiste/mondialiste actuel a violé l’esprit du vote sur le Brexit et a ouvert les frontières du pays à l’immigration du tiers-monde. Les résultats ont été désastreux. Le gouvernement et les médias britanniques passent désormais la majeure partie de leur temps à essayer de cacher la hausse des crimes violents commis par les migrants en Europe et au Royaume-Uni. Sans représentation, le public britannique est descendu dans la rue pour protester.
En réponse, les gauchistes ont restreint la liberté d’expression, arrêtant les personnes qui critiquaient l’immigration ouverte en ligne. La démocratie est complètement morte en Grande-Bretagne.
En Roumanie, la Cour constitutionnelle a annulé pour la première fois les résultats d'une élection présidentielle, car un candidat de « droite » a remporté le premier tour de manière inattendue. Le gouvernement affirme que Calin Georgescu a reçu un coup de pouce en ligne sur son compte TikTok de campagne de la part de sources russes, ce qui a représenté une « distorsion du vote ». La Cour n'a produit aucune preuve concrète pour étayer cette affirmation, ni expliqué comment le trafic russe artificiel sur le compte TikTok de Georgescu se traduit par des votes roumains.
Les tribunaux doivent maintenant déterminer s'ils vont poursuivre Georgescu. Après tout, ils ne peuvent pas organiser une nouvelle élection si le candidat remporte à nouveau la victoire et prouve que les accusations russes sont un canular. Les procureurs font des descentes chez les financiers de sa campagne, à la recherche de preuves d'ingérence électorale. Georgescu affirme n'avoir jamais eu de liens avec la Russie ou toute autre entité étrangère ; il a qualifié la Cour constitutionnelle roumaine de « tribunal de la mafia » participant à un coup d'État contre le peuple roumain.
Encore une fois, c’est la mort complète de la démocratie telle que la promeut la gauche politique.
L’explosion de l’enthousiasme du public pour les mouvements d’extrême droite aux politiques légitimement conservatrices en Europe (notamment parmi les jeunes) a prouvé que le glissement vers la gauche n’est pas ce que la population souhaite ; il ne l’a jamais été. Cependant, les dirigeants progressistes ont jugé ce changement de sentiment inacceptable. Ils ont décidé de faire tout et n’importe quoi pour garder le pouvoir, même si cela signifie abandonner les processus démocratiques qu’ils prétendent défendre.
Daniel Penny est déclaré non coupable sur l'affaire George Floyd, mais est désormais menacé de mort par l'un des fondateurs de BLM.
Mise à jour (3340ET) : Daniel Penny a été innocenté de tout acte répréhensible dans la mort par étranglement d'un homme mentalement instable, Jordan Neely, après que les jurés se soient rangés du côté des avocats de la défense de Penny qui avaient fait valoir que le vétéran des Marines était justifié de se précipiter pour protéger ses compagnons de métro en mai 2023.
Et bien sûr, il a reçu une menace de mort immédiate du fondateur de BLM « Hawk » Newsome (pas Tuah)...
Le père de Jordan Neely appelle à manifester :
La semaine dernière, le juge a rejeté le chef d'accusation le plus grave retenu contre Penny, celui d'homicide involontaire, après que le jury eut déclaré à deux reprises qu'il ne parvenait pas à se prononcer à l'unanimité. Après cela, ils ont examiné le chef d'accusation moins grave d' homicide par négligence criminelle , pour lequel ils l'ont déclaré non coupable .
Les jurés reviendront au tribunal du Lower Manhattan le 9 décembre pour examiner l'accusation d'homicide par négligence criminelle contre Daniel Penny, après le rejet de l'autre accusation à laquelle il était confronté, l'homicide involontaire au deuxième degré, le 6 décembre.
Les deux accusations découlent d'un incident survenu le 1er mai 2023 au cours duquel Penny a mis Jordan Neely dans une prise d'étranglement après que Neely soit monté dans un train F du centre-ville à la station Second Avenue de Manhattan et ait commencé à crier et à menacer les passagers.
Neely n'a pas survécu et le procès de Penny a porté sur les causes de sa mort et sur la question de savoir si les actes de Penny étaient justifiés.
L'affaire a attiré l'attention nationale et internationale, certains considérant Penny comme un héros qui a risqué sa propre vie pour protéger des hommes, des femmes et des enfants dans le métro, et d'autres le qualifiant de justicier qui a utilisé trop de force.
La semaine dernière, les jurés ont commencé leurs délibérations le 3 décembre et ont continué jusqu'au 6 décembre, adressant plusieurs demandes au juge Maxwell Wiley pour une deuxième chance d'examiner les éléments clés de preuve et les témoignages présentés pour la première fois au jury en novembre.
La longueur des délibérations et les demandes répétées de revoir les preuves ont laissé penser que le jury pourrait avoir du mal à parvenir à l'unanimité sur la culpabilité de Penny et que les choses pourraient même se diriger vers un procès nul.
Peu après 11 heures, le 6 décembre, le juge a annoncé qu’il avait reçu une note du jury, indiquant : « À l’heure actuelle, nous ne sommes pas en mesure de parvenir à un vote unanime sur le chef d’accusation n° 1, homicide involontaire au deuxième degré. »
Cela a donné lieu à une discussion au cours de laquelle le juge a déclaré à l'avocat de la défense de Penny et aux procureurs que sa reconnaissance officielle du fait que le jury était dans l'impasse sur le premier chef d'accusation était nécessaire avant que le jury puisse renoncer à en discuter et passer au deuxième chef d'accusation.
« Je dois encore décider qu’un accord unanime est impossible sur le chef d’accusation n° 1 avant qu’ils puissent rendre un verdict sur le chef d’accusation n° 2 », a-t-il déclaré.
Le juge a ensuite demandé aux avocats des deux parties ce qu’ils pensaient de la situation.
La procureure Dafna Yoran n'était pas opposée à la poursuite des délibérations, mais l'avocat de Penny a tenté de persuader le juge de ne pas émettre une ordonnance Allen ordonnant au jury de poursuivre et de continuer à essayer de parvenir à l'unanimité.
Mais le juge a quand même émis l'ordonnance et a demandé au jury de revenir dans la salle d'audience.
Une fois assis, le juge leur a rappelé qu'il n'est pas censé être facile d'obtenir l'unanimité dans les affaires criminelles, mais a souligné qu'il avait confiance en leur capacité à prendre une décision fondée sur les preuves et la loi.
Le juge a également explicitement demandé au jury de ne pas prendre de décision basée sur des sentiments personnels d’affection ou d’aversion pour l’une ou l’autre des parties au procès.
Mais, en fin d’après-midi du 6 décembre, l’état des délibérations n’avait pas changé.
Le jury n’a toujours pas pu prendre une décision unanime sur l’accusation d’homicide involontaire au deuxième degré.
Le juge a accepté de rejeter cette accusation, laissant le jury examiner l'accusation d'homicide par négligence criminelle lorsqu'il reprendra ses délibérations le 9 décembre.
Notre Dame, un des symboles majeurs de notre appartenance à la chrétienté, a été souillée par les « marchands du Temple ». Le fossoyeur de notre pays a réussi malgré le tiède refus du clergé, à être le centre de l’attention durant son laïus à l’INTERIEUR de l’édifice à cause de la pluie. Pas de chants liturgiques, ni de musiques sacrées, l’ orgue hurlant un vacarme infernal sans harmonie, un duo d’instruments à cordes avec un morceau dissonant et tout aussi dis-harmonieux. Je passe sur la déco qui n’a rien de catholique, le baptistère noir m’a choquée, il m’a fait penser à un bidet démesuré. Pour clore cet outrage à la Vierge Marie, l’hymne national la « Marseillaise » avec ses paroles de vengeances et de sang. Appelle -t-on « aux armes » dans un lieux de Paix et de recueillement ? Combien de catholiques ont été humiliés par cette mascarade sacrilège ? Il y en a beaucoup, beaucoup…. Et… combien vont nous coûter ces « festivités » somptuaires, en plus dans une France ruinée ?
Ce 8 décembre 2024 marquait la réouverture au public de la Cathédrale Notre-Dame de Paris après cinq années de travaux et fût célébrée par tous les croyants chrétiens (dont de nombreux incultes) comme un événement historique. Au-delà de l’apparence d’une restauration triomphante, cette cérémonie soulève pourtant des interrogations majeures.
Comme tous les éléments ornementaux de cette cathédrale transformée en supermarché, le choix de cette date, qui coïncide avec la fête de l’Immaculée Conception, n’est évidemment pas anodin. Cette date de solennité catholique célébrant normalement la pureté originelle de la Vierge Marie et symbolisant une élévation spirituelle. Pourtant, cette inauguration paraît être bien plus qu’un hommage à ce haut lieu de la foi catholique et du patrimoine national, avec un mise en scène macabre et vouée aux démons qui peuplent dorénavant notre pays, s’apparentant plus à viol de la Sainte Vierge qu’à sa mise en valeur.
Cependant, ce moment dérangeant incarne parfaitement une nouvelle tentative de pervertir les esprits des français et sa signification profonde en la détournant vers cet agenda globaliste et matérialiste soutenu par les loges maçonniques, manipulées par la synagogue de Satan, et dont Macron est le trublion zélé.
Certes, le calendrier liturgique chrétien confère une importance particulière au 8 décembre, mais dans ce contexte, ce jour sacré est utilisé pour servir des desseins opposés à ses valeurs spirituelles séculaires. L’Immaculée Conception, qui célèbre la Lumière divine et l’élévation vers le Ciel, se retrouve totalement pervertie par une logique d’inversion, si chère aux psychopathes qui nous gouvernent actuellement. Ainsi, au lieu d’exalter une quête spirituelle personnelle, l’inauguration de Notre-Dame de Paris s’inscrit dans un cadre grandiloquent, dominé par des rituels collectifs ténébreux et imposés par cette caste qui se prend pour une élite technocratique et globaliste.
Dans cette logique, les valeurs profondes du christianisme – la prière, le mystère et la transcendance – sont irrémédiablement remplacées par une vision matérialiste où l’Homme est façonné et manipulé à outrance pour servir des objectifs de domination marxo-communiste promus par le WEF.
La restauration de Notre-Dame apparaît donc pour ce qu’elle est, à savoir comme une étape stratégique dans une entreprise plus vaste de remodelage et d’inversion des symboles religieux chrétiens pour les soumettre à une idéologie mortifère, déconnectée de toute spiritualité authentique, dont tous les dictateurs (tous socialistes) ont usé.
Ce n’est pas seulement un lieu de culte qu’on défigure, c’est toute une vision du monde qui est pervertie. Les principes chrétiens, fondés sur l’humilité, la charité et la transcendance, sont remplacés par un culte de la vanité technocratique, du matérialisme déshumanisant, où l’Homme est une simple unité de consommation soumise à des intérêts idéologiques totalitaires.
Historiquement, Notre-Dame de Paris n’est pas seulement un chef-d’œuvre architectural. C’est un point nodal de l’identité française, un lieu où se rejoignent spiritualité, histoire et nation. Symbolisant également une Lumière divine qui guide l’humanité vers l’élévation spirituelle. Pourtant, cette inauguration semble marquer une inversion symbolique et une volonté farouche de profanation.
Depuis le Moyen Âge, elle est un témoignage vivant de l’alliance entre le sacré et le pouvoir temporel, sous l’impulsion de figures comme Maurice de Sully et Louis VII, ou encore Louis XIII. Pourtant, la restauration entreprise après l’incendie de 2019 semble avoir opéré une transformation qui va bien au-delà d’une simple remise en état en désacralisant ce lieu emblématique.
Il est clair que le nouvel aménagement intérieur, conçu par le designer Guillaume Bardet, incarne cette rupture totale et cette salissure abjecte à l’encontre de cet emblème national. Le mobilier liturgique (Maçonnique) moderniste s’éloigne tellement des canons traditionnels pour adopter un style neutre, voire profane et déconnecté de l’histoire spirituelle du lieu, qu’il s’agit bien d’un second attentat contre cette Cathédrale. Les choix inesthétiques et criards de pseudo progressisme renforcent, dès l’entrée dans ce lieu, l’impression que Notre-Dame est désormais pensée comme un musée ou un centre culturel, et non comme une maison de prière dédiée à la Vierge Marie.
Même l’éclairage de la Cathédrale, tout juste digne d’une discothèque ou d’un casino de Las Vegas, participe à cette transformation sinon à cette défiguration. Là où la pénombre et la lumière tamisée des bougies favorisaient autrefois le recueillement et la méditation, l’intensité des nouveaux dispositifs lumineux ne laisse plus de place à l’obscurité et au mystère mais offrent une vision « disneylandesque » du lieu. Ce sur-éclairage tout comme la clé de voute étoilée, évoquant stricto sensu les loges maçonniques, illustre cette volonté de saccager, de rationaliser et de dépouiller l’espace de toute dimension transcendante.
Chaque détail de cette rénovation semble enfoncer un clou dans le cercueil de ce qui fût un sanctuaire de lumière spirituelle. L’éclairage, loin d’évoquer la Lumière divine, projette une ombre froide, uniforme, marquée par l’indifférence, comme si l’on voulait effacer les traces mêmes du sacré. La clé de voûte étoilée, quant à elle, ne fait plus référence à l’âme chrétienne, mais rappelle des symboles ésotériques et maçonniques, substituant le ciel étoilé à la Providence divine.
Ainsi la réouverture de Notre-Dame s’inscrit également dans un contexte idéologique bien plus large, marqué par une tentative de marginaliser les racines chrétiennes de l’Europe au profit d’une idéologie mondialiste et technocratique qui est le socle indubitable de la franc-maçonnerie. Toujours sous prétexte de modernisme et de progressisme dont personne ne veut, les élites globalistes effacent systématiquement les symboles d’une foi millénaire pour promouvoir une pseudo-religion universelle dénuée de transcendance divine. Celle qu’ils nomment « laïcité » mais dont ils oublient là aussi jusqu’à ces fondements. Un peu comme lorsque Tsahal ose parler de la Torah, sans jamais suivre les Dix Commandements !
Or, ce processus ne se limite malheureusement pas à Notre-Dame. Il s’inscrit dans une tendance générale à transformer tous les lieux de culte chrétiens qui ont fait la grandeur et la renommée de notre pays en espaces vidés de leurs substances mystiques, où la spiritualité est écrasée par une célébration de mauvais goût, vulgaire et décadente de ce fameux progrès qui mène à l’abîme de la civilisation.
Les travaux de restauration et d’aménagement de Notre-Dame reflètent encore cette dynamique où le beau, le bon et le vrai sont annihilés par la laideur, la grandiloquence et l’inversion des valeurs où le mensonge règne en maître. Ainsi, la Cathédrale, autrefois un haut lieu de prière et de dévotion, est devenu un outil vulgarisé de ce « soft power » au service d’un agenda mondialiste dictatorial.
Cette désacralisation est d’autant plus pernicieuse qu’elle se présente sous des apparences trompeusement festives pour les chrétiens qui croyaient retrouver leur lieu de culte restauré à l’identique. Et en faisant coïncider la réouverture avec la fête de l’Immaculée Conception, les promoteurs Lucifériens de ce projet qui prétendaient honorer la foi catholique et l’héritage national, ont réussi à massacrer une seconde fois la pauvre Notre-Dame qui protégeait la France depuis des siècles. En réalité, ils ont parfaitement inversé toutes ces valeurs en violant la Sainte Vierge, après avoir tenté de tuer par le feu une fois encore son Fils, qu’ils haïssent au plus profond de leur être.
Les catholiques eux-mêmes, devenus si incultes et moutonniers, risquent de ne pas saisir toute l’ampleur de cette manipulation méphitique. Habitués à des décennies de sécularisation, ils vont simplement se réjouir de la réouverture de la Cathédrale sans voir, ni même comprendre qu’elle marque une étape décisive dans la profanation progressive de leur patrimoine spirituel.
L’inauguration politique de Notre-Dame, le 7 décembre 2024, a été orchestrée avec une mise en scène savamment étudiée, et s’inscrit dans une logique affichée de défiguration volontaire du christianisme, portée par Macron et ses alliés de la loge de l’Ordre de l’Étoile Orientale. Signant leurs forfaits avec l’affichage des couleurs ostentatoires de cette loge, présentes sur les chasubles des officiants dessinées par Jean-Charles de Castelbajac. Et ayant marqué leur passage avec une vulgarité cynique, comparable à celle d’un chien marquant son territoire en pissant sur les piliers rénovés.
Les éléments anti-chrétiens n’étaient pas en filigrane mais bien exposés à la vue de tous. Tels que les Archanges peints de noir, le tableau kabbaliste autour de la Couronne d’épines enfermée dans des formes géométriques, les Croix protestantes dépourvues du Christ, le Baptistère aussi saccagé que l’Autel devenu celui de sacrifice de la Chrétienté… Tout cela constituait une insulte, comme un claque en pleine figure à la tradition catholique. À cela s’ajoutait une musique d’orgue d’une tonalité infernale, jouée par un organiste qui semblait plus invoquer les ténèbres que célébrer la Lumière divine.
Enfin, la présence de figures politiques telles que le truand Sarkozy et son épouse échangeable, François Hollande et sa Gayet, (tous divorcés) ou encore une Sandrine Rousseau – ouvertement anticléricale – et tout un parterre de raclures haïssant Jésus-Christ en particulier et Dieu en général.
Sans oublier d’autres ignobles, tels qu’un Zelensky, ayant fermé les églises dans son pays mais venant quémander, non pas sur le parvis comme les clochards de son espèce le font, mais directement à l’intérieur, ont donné à cette inauguration un caractère de parodie macabre où aucune marque de vulgarité n’a été omise. Un événement tragique, mais accepté sinon plébiscité par une caste politique et culturelle en quête de « désencombrement » spirituel et identitaire.
Macron et ses alliés, tout comme leurs prédécesseurs, ont non seulement permis cette profanation, mais l’ont activement orchestrée, dans un alignement parfait avec les objectifs de destruction des racines chrétiennes de notre pays. Leur présence, celle de ces individus qui ont depuis longtemps renié leur héritage spirituel, est une insulte ouverte aux générations qui ont sacrifié leur sang pour défendre cette foi.
Les discours officiels, les choix esthétiques et l’organisation de l’inauguration témoignent d’une volonté de réinterpréter Notre-Dame comme un espace dépouillé de sa transcendance Divine. Loin d’être un hommage à l’héritage chrétien de la France, cet événement s’est transformé en une véritable profanation filmée en mondovision. A l’instar de la cérémonie d’ouverture des J.O.2024 à Paris, cette inauguration montre à quel point la capitale française, envahie par un matérialisme sans âme, est devenue un symbole de la déchéance spirituelle et de la domination démoniaque des mondialistes.
Ce « progressisme » n’est rien d’autre qu’une tentative systématique de diluer l’identité spirituelle et historique de notre nation. De la destruction des églises à la révision de l’histoire, tout est fait pour effacer les racines chrétiennes de l’Europe. Ce processus ne se limite pas à Notre-Dame, mais s’étend à toute une civilisation qu’ils cherchent à déconstruire pour instaurer un monde sans transcendance, sans repères, où l’Homme n’est plus qu’un pion dans un jeu global.
Notre-Dame de Paris avait toujours été plus qu’un simple édifice religieux. Elle est un point zéro, un centre de gravité et de ralliement symbolique pour la nation française. Depuis le Moyen Âge, elle incarne l’Opus Francigenum, cet « art de France » qui mêle foi, royauté et peuple. Sa restauration aurait pu être l’occasion de renouer avec cette continuité historique. Au lieu de cela, elle semble participer à un programme de fragmentation culturelle et de déracinement spirituel où le petit poudré, heureux de refaire la vedette (mais éclipsée par Trump !), s’est encore une fois permis l’innommable en faisant ces 2 discours à l’intérieur malgré des injonctions légales. Se prenant cette fois pour un monarque et se croyant toujours chef d’état !
Le choix vestimentaire des officiants, celui du mobilier, la mise en lumière, et la tonalité de cette réouverture témoignent d’une volonté d’imposer une nouvelle interprétation totalement dévoyée du christianisme et de ce monument désormais moins attirant qu’une cafétéria d’autoroute. Ce n’est plus la Cathédrale de la Vierge Marie, Fille aînée de l’Église. C’est un espace vide, sans âme ni énergie céleste et soumis aux exigences d’une modernité déshumanisante, sinon aliénante. Dans ce contexte, on peut parler d’un acte luciférien au sens propre, où la « Lumière » devient un outil de domination intellectuelle et spirituelle, plutôt qu’un chemin vers Dieu. Ce n’est plus la Lumière divine de l’Immaculée Conception, mais une lumière profane qui enferme l’Homme dans une logique de contrôle technocratique.
Depuis, non seulement Notre-Dame se transforme en un symbole d’oppression, mais nous franchissons un seuil dans la guerre spirituelle qui se joue contre notre civilisation. Ce n’est plus une question de restauration d’un bâtiment, mais celle de la survie de notre âme collective. Si nous laissons ces profanateurs poursuivre leur entreprise, nous abandonnons tout ce qui fait encore l’essence de la France avec la foi, la culture et la dignité humaine. Ce jour marquera donc à jamais la date officielle du saccage de Notre-Dame de Paris et pourrait bien marquer un tournant abyssal dans l’histoire de ce monument qui avait résisté aux plus grandes guerres et invasions jusque-là.
L’incendie de Notre-Dame en 2019 et sa réouverture en 2024 ne sont pas des événements isolés. Ils s’inscrivent dans une guerre spirituelle globale, où les fondements religieux et culturels de nos sociétés sont méthodiquement érodés. La rapidité avec laquelle certains ont évacué l’hypothèse criminelle – alors même que l’ampleur et la nature du feu évoquaient l’usage possible d’accélérateurs – interpelle. Face à ce second attentat organisé par le gouvernement Macron, le premier étant désormais caché sous le sceau du « secret défense », il est essentiel de s’interroger sur ce que peut représenter véritablement Notre-Dame aujourd’hui.
La réouverture de Notre-Dame n’a pas été un hommage, mais un véritable acte de domination. Par ses gestes maçonniques, Macron a envoyé un message clair : la cathédrale appartient désormais à un nouveau symbole, déconnecté de sa dimension chrétienne. Cet acte n’a pas seulement profané le lieu sacré, il a aussi mis en lumière la soumission de l’Église de France aux pouvoirs politiques. En autorisant ce discours, l’archevêché a renoncé à sa mission spirituelle, cédant à un agenda idéologique qui cherche à effacer l’essence chrétienne du monument. Notre-Dame n’est plus un sanctuaire pour Dieu, mais un temple au service des marchands chassés par le Christ.
Est-elle encore un lieu de prière et de recueillement ? Ou est-elle devenue un outil au service d’un agenda idéologique qui cherche à remodeler les valeurs et les croyances au cœur de nos sociétés ? Cet événement invite à une réflexion plus large qui est de savoir comment préserver l’âme d’une nation dans un contexte où ses symboles sont détournés et dénaturés ? Le mystère et le sacré, qui faisaient de Notre-Dame un sanctuaire vivant, ont disparu, remplacés par un vide aussi aseptisé que l’esprit maçonnique et aussi clinquant que leur hybris leur permet.
Loin d’être une célébration de la résilience ou de l’héritage, cette réouverture scelle la transformation de la Cathédrale en un symbole d’une modernité décadente et mondialisée qui nie ses racines spirituelles. À l’image de Notre-Dame, la France est confrontée à un choix décisif : renouer avec ses racines ou s’abandonner à une modernité qui la prive de son essence.
Si cette réouverture de Notre-Dame n’est pas une prise de conscience collective, alors il sera trop tard. Car lorsque l’on voit ce qui se passe aujourd’hui, il est clair que la prochaine étape sera de réduire les derniers bastions de la foi chrétienne à des ruines. À ceux qui veulent encore croire en une France chrétienne, il est temps de se lever et de défendre notre héritage, avant que tout ne disparaisse sous l’ombre de la domination des ténèbres.
La France, Fille aînée de l’Église, semble avoir abandonné son héritage pour embrasser une vision post-nationale et post-spirituelle. Ainsi, une belle page de France se tourne, mais la prochaine ne sera pas forcément celle que l’on croit…